L'ancien directeur commercial d'Amesys, s'était empêtré dans des explications vaseuses après nos révélations. Un grand moment (le moment stylo).

C'est de famille de ne pas vouloir parler aux journalistes. Nicolas Sarkozy nous avait fait un cours de bonne éducation quand nous l'avions appelé dans le cadre de notre documentaire sur la mise en place des radars automatiques.

Ce que décrit @theregister.com probablement encore très loin de la réalité. Nous avons toujours dit que nous, journalistes (ou les militants des droits de l'homme), avions toujours un train de retard. (5/n)

Les sociétés en questions, qui oeuvrent main dans la main avec les services de renseignement de chaque pays concerné, sont soutenues depuis 2011 et s'en sortent sans aucun souci, quelles que soient les révélations de la presse. (3/n)