2) Je ne connais pas de solution durable de paix qui n’ait, à un certain moment, nécessité un projet pour l’avenir au moins autant qu’une référence aux racines culturelles et au passé.

4) À quel titre les innovations présentées comme sans danger pour l’environnement et pour la santé et efficaces pour lutter contre les ennemis des cultures bénéficieraient elles d’un sauf-conduit vis-à-vis du principe de précaution au motif qu’elles seraient "écologiques"?

3) Est-ce tout cela tient vraiment debout ?
Est-il censé de s’abriter derrière un "principe de précaution" que chacun interprète à sa guise, et de préférence afin de geler chaque innovation ?

2) Il prône aussi que l’Etat compense financièrement les agriculteurs confrontés au manque de solution écologique efficace contre les ennemis des cultures: une posture inefficace pour que chacun mange sainement à un coût abordable.

4) Lorsqu’une implication des soignants dans un dialogue de vérité sur la fin de vie avec un patient ou sa personne de confiance est éludée, qui cherche t’on à protéger: le soignant ou le patient ?

3) … ou même - et ce serait peut-être le plus pertinent - à un collège {soignants + patient/personne de confiance}.
Cela prendrait du temps, donc de l’argent - public - , mais pas forcément plus que le soin prolongé.

2) Contrairement à ce que prétendent des commentateurs, le débat sur la fin de vie ne fracture pas les partis: la césure progressistes/conservateurs est claire.
Le conservatisme choisit la voie du déni, laissant de fait le droit de choisir aux soignants et non au patient…