cliniciens grâce aux sciences cognitives ***

Enfin bon.

Bien tenté quand même, amusant et distrayant. Hâte de ne plus en entendre parler dès le 25.

Bénéficier d’un bon petit programme de remediation cognitive.

Il faut sortir ces pauvres psychologues experiementalistes qui ont voulu jouer aux cliniciens de la par les sciences cognitives qui les amènent directement vers la préfecture de police…

3. Alors que justement il n’y pas besoin d’ordonnance. Qui plus est.

Durant les attentats personne ne courrait dans les rues en demandant des programmes de remédiation cognitive.

Vivement que cette mode passe.

2. Je ne vais pas commenter un traitement d’une hépatite, ou d’une phlébite.

Alors que chacun reste un peu dans sa fonction. Un médecin G n’est pas un professionnel du psychisme. Il fait ce qu’il peut certes, mais ce débordement indique bien une rupture.

3. Voilà, n’importe quel humain avec une IA peut produire plein de trucs qui n’ont aucuns sens. Ci-joints, l’exemple qui vise à démontrer que la psychanalyse c’est mieux.

Bon…

2. Nous sommes encore dans l’héritage d’une tentative avortée et échouée d’une neuro psychanalyse sur le plan épistémologique.

« Le canular de la neuropsychanalyse » Fédida, La Recherche, avril 2000.

Utilitaristes *

3. Puisque : ce sont les TCC qui découlent de la psychanalyse, et non l’inverse.

Le partis pris athéorique de FR conduit à de l’aclinique soumise au vent de l’époque. Girouette.

Enfin, TR devrait également déplier le concept flou de « personnalité »

2. Enfin, les arguments de FR sont utilitariste et pragmatiques. Il y a donc un parti pris épistémologique. Enfin, il faudrait le démontrer solidement, je le concède.

L’empirisme évoqué par FR est de laboratoire rue d’ULM, il est loin de la pratique clinique.

Enfin, il y a un révisionnisme

Il a fait un discours médical… symptôme, diag, traitement…

Il dit qu’il n’y aura plus de politique au sujet de l’économie car c’est un état d’urgence.

C’est un coup assez fidèle à sa politique aveugle…