DIS DONC.

(Oui en effet).

("On", je veux dire : Groucha et Lola. Le générique. Les gluons. "Le soleil est ton père". Tous me disaient que le spectacle humain était bizarre, et que ce qui aurait été encore plus bizarre, c'est que je ne le trouve pas bizarre).

Pour moi c'était l'inverse : on me montrait que les choses qui me mettaient mal à l'aise étaient effectivement malaisantes, & donc c'était très réassurant/rassurant. On me disait que c'était normal de trouver Léguman bizarre. On me disait que c'était approprié de trouver inapproprié plein de choses.

Et pourquoi c'est Grenoble qui est choisie pour illustrer l'auto-brasserie, mmmh ?

C'est d'ailleurs un camouflet tellement maousse que je dormirais pas bien à sa place (Gérald). "On rappelle nommément au Garde des sceaux qu'il n'est pas approprié d'aller en prison rencontrer un condamné dans une démarche transparente (et stupide) de critique de l'appareil justiciaire".
Outch.

Oh ?

Il n'y a pas de pluriel à "c'" ou "ça" ;-)

Plutôt le virus de la rage, avec cette forme ...

"Pouvez-vous nous apporter la preuve de ce consentement, messieurs ?"

(Pour moi, la loi ne dit pas que par définition toute pénétration est consentie sauf si la personne pénétrée peut prouver que ce n'était pas le cas : au contraire).

A voir effectivement si dans les faits c'est utilisé contre les victimes.

Mais justement, le fait que toutes ces agressions ne finissent pas par des condamnations était lié au fait qu'on disait aux personnes agressées qu'elles étaient consentantes et ne voulaient pas l'admettre rétrospectivement.
Je vois cette évolution comme bénéfique sur ce point.

Je comprends plutôt l'inverse : avant, on pouvait dire aux personnes agressées « si vous avez été pénétré.e, c'est peut-être que vous étiez consentante » ; maintenant, le non-consentement devient la situation « par défaut », et ça enlève un poids à la victime quant à la charge de la preuve.