Une percée de feu troue d’un rayon nacré,
Le manteau frémissant d’un ciel immaculé,
Tandis que le cri fou de la mouette sauvage
Enivre l’horizon, invitant au voyage,
Il y a comme un goût de bonheur dans le vent,
Qui se vague de sel au bris de l’océan…
#Ombres
Peintre Oleg Riabchuk
Une percée de feu troue d’un rayon nacré,
Le manteau frémissant d’un ciel immaculé,
Tandis que le cri fou de la mouette sauvage
Enivre l’horizon, invitant au voyage,
Il y a comme un goût de bonheur dans le vent,
Qui se vague de sel au bris de l’océan…
#Ombres
Peintre Oleg Riabchuk
Un tout dernier regard vers son onde sauvage,
Et vers la plage floue balayée par le vent,
Ne reste qu'un soupir du soleil en voyage
Au pied des îles bleues au loin de l'océan.
Je garde sur ma peau au sel de mon visage,
La douceur des embruns et un goût de printemps…
#Ombres
Un tout dernier regard vers son onde sauvage,
Et vers la plage floue balayée par le vent,
Ne reste qu'un soupir du soleil en voyage
Au pied des îles bleues au loin de l'océan.
Je garde sur ma peau au sel de mon visage,
La douceur des embruns et un goût de printemps…
#Ombres
Un filet transparent irisé de cristaux,
Abandonne son voile à la plage étourdie
De douceur printanière, attirant les oiseaux
Qui laissent sur le sable une trace de vie,
Le vent fait frissonner les embruns sur ma peau
Que j’aime l’océan quand il oublie l’hiver !
#Ombres
Photo perso
Un filet transparent irisé de cristaux,
Abandonne son voile à la plage étourdie
De douceur printanière, attirant les oiseaux
Qui laissent sur le sable une trace de vie,
Le vent fait frissonner les embruns sur ma peau
Que j’aime l’océan quand il oublie l’hiver !
#Ombres
Photo perso
Je t’ai tant attendu, en silence d’oubli
Le coeur pendu au fil d’un mot, d’une pensée,
Imaginant ta peau à la mienne mêlée
Mais tu n’étais que lune, alors je t’ai écrit
Des pages de bonheur, mes longues insomnies,
Et notre mélodie aux arpèges brisés…
#Ombres
Peintre Malerei von Jon
Je t’ai tant attendu, en silence d’oubli
Le coeur pendu au fil d’un mot, d’une pensée,
Imaginant ta peau à la mienne mêlée
Mais tu n’étais que lune, alors je t’ai écrit
Des pages de bonheur, mes longues insomnies,
Et notre mélodie aux arpèges brisés…
#Ombres
Peintre Malerei von Jon
Je me sens hors saison, pleine de souvenirs
D’incertaines amours que je ne peux chérir,
Comme si les passions s'étaient évaporées
Pour laisser sur ma peau une trace fanée,
Lissant la neige blanche à mes cheveux d’hiver,
Et le temps est si long avant que je t'espère…
#Ombres
Je me sens hors saison, pleine de souvenirs
D’incertaines amours que je ne peux chérir,
Comme si les passions s'étaient évaporées
Pour laisser sur ma peau une trace fanée,
Lissant la neige blanche à mes cheveux d’hiver,
Et le temps est si long avant que je t'espère…
#Ombres
J’ai aimé cette attente en sentiment de toi,
Ce reste de pensée lue et relue cent fois,
J’ai même parcouru nos échanges feutrés,
Où l’amour débordait sans jamais se nommer,
Les heures sont encore impatientes de nous,
Même si ton prénom ne brûle plus ma joue…
#Ombres
J’ai aimé cette attente en sentiment de toi,
Ce reste de pensée lue et relue cent fois,
J’ai même parcouru nos échanges feutrés,
Où l’amour débordait sans jamais se nommer,
Les heures sont encore impatientes de nous,
Même si ton prénom ne brûle plus ma joue…
#Ombres
Avril va déposer son manteau irisé,
Sur la soie des bourgeons dans leur lit de rosée.
Puis le soleil viendra se poser ci et là,
Fleurissant les pensées de ses tendres éclats,
Le ciel se mire à l’onde claire du ruisseau,
Et les oiseaux ravis chantent le renouveau…
#Ombres
Avril va déposer son manteau irisé,
Sur la soie des bourgeons dans leur lit de rosée.
Puis le soleil viendra se poser ci et là,
Fleurissant les pensées de ses tendres éclats,
Le ciel se mire à l’onde claire du ruisseau,
Et les oiseaux ravis chantent le renouveau…
#Ombres
La mer se fait turquoise et s’étoile aquarelle,
Au fuseau d’un soupir où la nuit étincelle,
Ennuagé d’écume et mousseline blanche,
Un reste d’horizon se nuance pervenche.
Éole est attendri, il parfume la toile
En délices d'embruns au reste d’une étoile…
#Ombres
La mer se fait turquoise et s’étoile aquarelle,
Au fuseau d’un soupir où la nuit étincelle,
Ennuagé d’écume et mousseline blanche,
Un reste d’horizon se nuance pervenche.
Éole est attendri, il parfume la toile
En délices d'embruns au reste d’une étoile…
#Ombres
De ce printemps bonheur,
Où fredonnent les bas
Sous les jupes en fleur,
J’aime les seins pointés
Ondulants sous la soie,
D’un tissu si léger
Qu’il s’enlève déjà,
J’aime le goût du jour
Des sourires charmants,
Quand ils chantent l’amour
Aux lèvres des amants…
#Ombres
De ce printemps bonheur,
Où fredonnent les bas
Sous les jupes en fleur,
J’aime les seins pointés
Ondulants sous la soie,
D’un tissu si léger
Qu’il s’enlève déjà,
J’aime le goût du jour
Des sourires charmants,
Quand ils chantent l’amour
Aux lèvres des amants…
#Ombres
L’heure se fait rebelle aux lointaines amours,
Tant mon pouls s’accélère, aigri de petit jour.
Geignant tout doucement comme pour m’éprouver,
Le cri rauque du temps, de sa voix éraillée,
Rappelle la sentence, épuisée d’insomnie,
De la lune qui danse en apnée dans la nuit..
#Ombres
L’heure se fait rebelle aux lointaines amours,
Tant mon pouls s’accélère, aigri de petit jour.
Geignant tout doucement comme pour m’éprouver,
Le cri rauque du temps, de sa voix éraillée,
Rappelle la sentence, épuisée d’insomnie,
De la lune qui danse en apnée dans la nuit..
#Ombres
J’aurais aimé voler ce trop plein de chagrin,
Dessous ta bouche close, et au creux de mes mains,
Caresser ce chagrin où s’est cachée ta peine
Pour un faire une fleur, et de toi une reine,
Mais tu restes silence, exsangue de douleur,
Une larme posée où s’est brisé ton cœur…
#Ombres
J’aurais aimé voler ce trop plein de chagrin,
Dessous ta bouche close, et au creux de mes mains,
Caresser ce chagrin où s’est cachée ta peine
Pour un faire une fleur, et de toi une reine,
Mais tu restes silence, exsangue de douleur,
Une larme posée où s’est brisé ton cœur…
#Ombres
Tu ne m’écriras plus de jolies poésies,
Toi dont le long silence à effacé la page
Où se liaient nos cœurs, pourtant je te dédie
Les écheveaux du ciel, au crépuscule sage
Où se perd mon regard un peu avant la nuit,
Et les vagues de lune endormies sur la plage…
Tu ne m’écriras plus de jolies poésies,
Toi dont le long silence à effacé la page
Où se liaient nos cœurs, pourtant je te dédie
Les écheveaux du ciel, au crépuscule sage
Où se perd mon regard un peu avant la nuit,
Et les vagues de lune endormies sur la plage…
Souvent la nuit venue, l’océan cherche encore,
Au fragile fusain du pas des amoureux,
Sur le sable si blanc, au plus près de son bord,
Leurs deux chaleurs mêlées comme un coin de ciel bleu…
#Ombres
Illustration Black and White de Darius Aniunas
Souvent la nuit venue, l’océan cherche encore,
Au fragile fusain du pas des amoureux,
Sur le sable si blanc, au plus près de son bord,
Leurs deux chaleurs mêlées comme un coin de ciel bleu…
#Ombres
Illustration Black and White de Darius Aniunas
J’ai chuté dans tes yeux fermés
Me suis saoulée de ton errance,
En longues agonies brisées
Dans un fracas d’indifférence,
Puis j’ai relu tes poésies
Si belles de ton silence,
Et les mots tendres de l’oubli
M’ont fait oublier ton absence…
#Ombres
Illustration Frédéric Martin
J’ai chuté dans tes yeux fermés
Me suis saoulée de ton errance,
En longues agonies brisées
Dans un fracas d’indifférence,
Puis j’ai relu tes poésies
Si belles de ton silence,
Et les mots tendres de l’oubli
M’ont fait oublier ton absence…
#Ombres
Illustration Frédéric Martin
Un bruissement léger a brisé la torpeur,
De ce petit matin, sans y être invité,
Peut-être est-ce le chant de cet oiseau siffleur,
Dont l’écho délicat semble s’enamourer,
Ou bien est-ce le temps qui lentement se meurt,
Dans l’attente de toi, dessous les draps froissés…
#Ombres
Un bruissement léger a brisé la torpeur,
De ce petit matin, sans y être invité,
Peut-être est-ce le chant de cet oiseau siffleur,
Dont l’écho délicat semble s’enamourer,
Ou bien est-ce le temps qui lentement se meurt,
Dans l’attente de toi, dessous les draps froissés…
#Ombres
Lorsque le ciel perdu à l’horizon se noie
Dans d’étranges contours,
Il me semble parfois
Sous ma peau ressentir,
Le saphir infini
De l’onde qui chavire
En voile d’éclaircie,
Et cette déraison
Se fond dans la lumière,
Au tendre du frisson
Qui luit sous ses paupières.
#Ombres
Lorsque le ciel perdu à l’horizon se noie
Dans d’étranges contours,
Il me semble parfois
Sous ma peau ressentir,
Le saphir infini
De l’onde qui chavire
En voile d’éclaircie,
Et cette déraison
Se fond dans la lumière,
Au tendre du frisson
Qui luit sous ses paupières.
#Ombres
Il marche lentement dans la vie qui s’en va,
Petite trace floue au sable brun des ans,
Si léger et tremblant, fatigué d’être là,
Exsangue de jeunesse, en éternel absent.,
Je suis là près de lui, j’accompagne son pas,
Le guidant doucement comme un petit enfant…
#Ombres
Il marche lentement dans la vie qui s’en va,
Petite trace floue au sable brun des ans,
Si léger et tremblant, fatigué d’être là,
Exsangue de jeunesse, en éternel absent.,
Je suis là près de lui, j’accompagne son pas,
Le guidant doucement comme un petit enfant…
#Ombres
De ce rêve oublié
En prison sous tes cils,
Il reste l’avoué
Puis la peine servile,
En quelques larmes nées
Sous ta bouche bien close,
À peine desséchée
De mes baisers de rose,
Et puis ce cri perdu
Que côtoie le silence,
Où tu ne cherches plus
L’ivre de son absence…
#Ombres
De ce rêve oublié
En prison sous tes cils,
Il reste l’avoué
Puis la peine servile,
En quelques larmes nées
Sous ta bouche bien close,
À peine desséchée
De mes baisers de rose,
Et puis ce cri perdu
Que côtoie le silence,
Où tu ne cherches plus
L’ivre de son absence…
#Ombres
La nuit s'étire encore, et ses longs bras nacrés,
Enveloppent l'hiver dont la dernière brise
Est un chuchotement de frimas et gelées,
Pourtant la fleur déjà, à la tendre cerise
Emmêle sa blancheur à la blondeur des blés,
Rappelant le printemps et sa douceur exquise…
#Ombres
La nuit s'étire encore, et ses longs bras nacrés,
Enveloppent l'hiver dont la dernière brise
Est un chuchotement de frimas et gelées,
Pourtant la fleur déjà, à la tendre cerise
Emmêle sa blancheur à la blondeur des blés,
Rappelant le printemps et sa douceur exquise…
#Ombres
Où s’en va ta pensée quand sans moi tu t’endors
A-t-elle ce bleu pâle emprunté à mes yeux,
Ou bien est-elle feu pour tous ces jolis corps
Dont les photos te rendent un peu trop fiévreux ?
Où s’en vont tes regrets et m’aimes tu encore
Ébouriffé de nuit à l’ombre de nous deux…
#Ombres
Où s’en va ta pensée quand sans moi tu t’endors
A-t-elle ce bleu pâle emprunté à mes yeux,
Ou bien est-elle feu pour tous ces jolis corps
Dont les photos te rendent un peu trop fiévreux ?
Où s’en vont tes regrets et m’aimes tu encore
Ébouriffé de nuit à l’ombre de nous deux…
#Ombres
La douceur oubliée de quelques mots fanés,
La fusion d'un regard qu'on a trop désiré,
Puis le coeur essoufflé de ce désir en crue
Dévastant les pensées et les berges perdues,
Il est si tôt ce jour, et mon cœur tourbillonne,
À la rosée de l’aube, une rose frissonne…
#Ombres
La douceur oubliée de quelques mots fanés,
La fusion d'un regard qu'on a trop désiré,
Puis le coeur essoufflé de ce désir en crue
Dévastant les pensées et les berges perdues,
Il est si tôt ce jour, et mon cœur tourbillonne,
À la rosée de l’aube, une rose frissonne…
#Ombres