3/3 À titre d'individualiste libertarien, j'ai appris qu'il y a toujours une part de déterminisme & d'indéterminisme en toutes choses. Or, l'enfant n’exerce aucune souveraineté véritable sur ses choix et l'environnement dicte souvent son devenir ; s'y arracher relève souvent d'une tâche herculéenne

2/3 Autrement dit, ce sont les interventions ciblées sur la petite enfance et l'enfance qui tendent à produire des gains plus durables pour l'apprentissage et les performances scolaires, d'où la primauté vitale des services aux apprenants, particulièrement des EHDAA.

1/3 L'objectif n'est pourtant pas de répondre aux besoins de base des parents, mais bien des enfants, de l'Élève, afin qu'il puisse, non pas être déconcentré par ses besoins de bases, mais se concentrer à explorer le monde, à apprendre, favorisant ainsi une égalité des chances.

7/7 Peut-on réellement soutenir que le rapport de force penche en faveur du Québec, alors même que les souverainistes estiment que le Canada centralisateur et autoritariste méprise systématiquement les spécificités québécoises. Que vaut ce rapport dans l'émancipation québécoise à l'internationale.

6/7 Sur la scène internationale, l’émancipation d’un peuple dépend de sa capacité à agir comme sujet politique autonome : négocier, signer, représenter, et défendre ses intérêts sans médiation. Or, s'il est incapable d'agir au sein du Canada, pourquoi en serait-il autrement à l'international.

5/7 Le rapport de force renvoie à la capacité stratégique du Québec d’exercer une influence réelle dans ses interactions avec le Canada et avec la communauté internationale. Le Québec constituant partenaire économique important pour le reste du Canada n’équivaut pas à un rapport de force décisif.

4/7 Ainsi, quels seraient les procédures d'adhésion aux alliances de l'OTAN et du NORAD pour un Québec indépendant ? Qu'a-t-il à offrir ? Encore, quels en seraient les couts stratégiques ? Rappelons seulement que l'adhésion à L'OTAN se fait par invitation unanime des Parties !

3/7 Quel serait les couts stratégiques d'une doctrine Monroe Trumpiste pour un Québec indépendant, et que vaut cette prétendue "protection" militaire. L'adhésion à l'OTAN exige le consentement de tous ses membres, un ou plusieurs membres peuvent faire obstruction, dont les États-Unis et le Canada.

2/7 Or, présenter la doctrine Monroe comme une garantie juridique d’intervention Américaine automatique, ou affirmer qu’un Québec « hériterait au premier jour », sans négociation, de l’ensemble des bases et équipements militaires canadiennes sur son territoire, relève d’une simplification excessive.

1/7 Et qui dit que cette obsession à l'indépendance du Québec n'est pas motivé par une peur irraisonnée, peur irrationnelle, que l'on tente vainement à rationaliser, le projet souverainiste agissant comme cadre de rationalisation pour transformer une peur viscérale en une quête d'autonomie.

3/3 Les données de StatCan sont actuellement indisponibles.

Source : Arrêts de travail au Canada selon la jurisdiction, l'industrie basé sur le système de classification des industrie de l'Amérique du Nord (SCIAN) et l'indice à la vie chère (IVC)...

www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/t...

2/3 «Les données sur les conflits de travail au Québec pour la période 2022-2025 qui ont été publiées sur la page web de Statistique Canada étaient erronées», indique Nathalie Huneault, l’une des porte-parole d'Emploi et Développement social Canada (EDSC).

www.journaldemontreal.com/2025/07/17/l...

1/3 Semble-t-il que le jeux de données de statistique Canada sur lequel repose la publication de l'IEDM et ainsi l'article en question, est erroné. Ainsi donc, les fait cités sont également eronnés. www.iedm.org/fr/le-quebec...

Peut-être que cette "fédération" c'est rendu compte que Mme France-Élaine Duranceau n'a de "Cruella" que le nom ! Il faut notamment remarquer que le lien de confiance n'a pas été "brisée" en raison de l'incompétence du Ministre Dubé. Ainsi, ce sont les fédérations qui gouvernent le gouvernement.

Lorsque les grands syndicats présentes comme une évidence que l'État doit s'endetter, voire en pigeant dans le fond des générations, pour financer la rémunération globale des employés de l'État, on comprend la philosophie "économique" des syndicats.

Je doute que cela soit rassurant en termes de résolution de problème complexe et multidimensionnel nécessitant des réponses holistiques et intégrées : l’itinérance est un phénomène bien plus complexe qu’il n’y paraît. La guerre s'accommode peu de la complexité.

2/2 La solution résiderait dans un régime réinventé, axé sur la responsabilisation syndicale et patronale, et l'autorisation de la grève partielle pour éviter la fermeture complète des entreprises. L'objectif est d'équilibrer le droit de grève avec l'exigence de services publics minimaux.