Le prunier de Petite-Rivière-Saint-François n’aura pas survécu à l’assaut d’un rongeur qui a dévoré son écorce au niveau du sol, le printemps dernier.
L’idée de le recouvrir de pigments phosphorescents m’est apparue comme une évidence. L’arbre reprend vie au fur et à mesure que tombe la nuit.