C’est l’image qu’en donne les journalistes, dans les filières sélectives que je connais, les dossiers sont lus et évalués par des enseignants. Ce n’est pas le résultat d’un deus ex machina informatique

Vu mon anglais cela fait déjà quelques temps que j’utilise deepl intensivement pour écrire mes publis. Par ailleurs j’ai publié dernièrement dans Athena Journal of Sciences qui préconise d’utiliser ces outils. Je me suis pas gêné

Après les fêtes, voici venu la saison du parcoursup bashing.
Ce logiciel n’empeche pas de s’inscrire en fac de psycho ou staps, ce sont des filières non sélectives. Il permet à des jeunes de s’informer et postuler sur plein de filières sans se déplacer et aux filières sélectives de recruter

J’ai pas mal de collègues enseignants qui se demande comment on va empêcher les étudiants d’utiliser ces outils. Je pense moi qu’il faut se demander comment on va leur apprendre a les utiliser

Effectivement c’est bluffant. Le sujet de ma thèse en 97 portait sur les réseaux de neurones. J’en connais donc la puissance depuis longtemps mais je suis totalement bluffé par ce qu’est capable de faire chat gpt ou deepl.

Effectivement, ce qui a permis l’explosion du machine learning c’est les capacités de calcul et surtout l’accès aux données. Les algos n’ont quasiment pas évolué depuis la fin des années 80.

Pour faire court, l’origine c’est le modèle du neurone de McCullogh et Pitt dans les années 40, la règle d’apprentissage de Hebb le perceptron de Rosenblatt et enfin la redécouverte de la rétro propagation du gradient (Rumelhart et McLelland) en 86.

Passionant

Contextualisation pour tous les #insoumis #NFP et #rougebruns qui s'offusquent que cette image soient publiée sur tous les RS voulant nous faire croire que leur #gourou n'a jamais été ambiguë vis a vis des + grands dictateurs et bouchers de la planète
Halte à la supercherie😡
C'est plus clair là ? ⤵️

Tant qu’ils ne sont pas trois ça va