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Ces pratiques non anodine se retrouvent dans plusieurs prisons américaines, en connivence totale des autorités fédérales et des responsables politiques

se servant d'elles comme d'un outil d'exaltation sexuelle pour les détenus masculins menaçants, ayant pour objectif de calmé les pulsions violentes et la libido des détenus masculins, les rendant moins enclins à la brutalité et plus performants au travail

attentatoires pour les personnes trans vis-à-vis des autres détenus.

En effet avec la conjoncture d'un système juridique et fédéral inégalitaire et discriminatoire, les agents pénitentiaires ont eu la possibilité d'instaurer ce qui constitue un proxénétisme des détenues trans :

Dans un rapport du journal de droit et d'égalité sociale de l'Indiana de 2018 et le journal de droit et de genre de l'UCLA de 2012 ayant analysé le quotidien des personnes trans en prison,

il a été dévoilé des conditions d'emprisonnement

Les femmes trans résistantes aux agressions de leur codétenus masculins se voient souvent être punies par des rallongements de peine ou des internements psychiatriques.

Ce qui rend la justice inégalitaire, discriminatoire, partial et dysfonctionnelle.

mais également que 88 % des femmes trans incarcérées dans des prisons pour hommes avaient été contraintes d'entretenir des relations assimilables à un mariage avec des codétenus qu'elles devaient appeler leur mari, sous peine de représailles.

Dans une étude californienne consacrée à la violence que subissent les détenues transgenre en prison, il est révélé que :

59 % des détenus transgenres ont subis des agressions sexuelles contre contre 4 % sur l'ensemble des détenus interrogés,

Pratique courante aux USA, avec la complicité des agents pénitentiaires, ces femmes trans se voient incarcérées avec des criminels masculins,

souvent les plus violents et turbulents, dans le but de les apaiser en leur offrant un accès facilité à des relations sexuelles.

De ce fait, il est insensé de pénaliser les femmes en leur faisant débourser plus d'honoraires pour éviter des comportements mal intensionnés dont elles ne sont pas responsables

Il passera aux aveux 3 ans plus tard, avouant sont crime. L'ancien candidat du RN exposa la tête décapité de la septuagénaire sur la table du salon tel un trophé de chasse

Alors qu'Evelyne K. aurait tenté de lui retirer le couteau de ses mains cette dernière serait tombée, c'est à ce moment là que Jean-Michel M. l'aurait décapité.

Dans sa version des faits, Jean-Michel Moulun déclare qu'il essayait en fait de l'aider à porter ses courses

dans la maison d'Evelyne K. Jean-Michel Moulun, alors âgé de 51 ans explique avoir "pété un câble" et qu'elle était "sûre d'elle, arrogante"

finira finalement par rompre leur contrat, accusant sa femme de lui avoir volé de l'argent et des bijoux.

C'est un an plus tard, filmé par une caméra de surveillance que la scène montre Jean-Michel M. masqué et ganté tenant un couteau, suivant la septuagénaire jusqu'à chez elle

Après avoir essuyé un nouveau KO en sa carrière de politique, le futur assassin finira par se faire radier du parti de la famille Le Pen pour avoir trafiqué des documents administratifs.

Lui et sa femme seront embauchés comme jardiniers et aides ménagères un temps chez la septuagénaire qui

Ancien boxeur à la carrière calamiteuse, Jean-Michel se livre à un nouveau combat dans la politique.

C'est alors qu'il adhère à l'UMP en 2008 puis au rassemblement national, anciennement nommé FN où il sera candidat aux élections municipales sans parvenir à y être élu