, qui n'entrera en vigueur que si elle est ultérieurement approuvée par le peuple équatorien lors d'un référendum ?"

Les résultats sont sans appels :

1⃣ OUI 39.56% / NON 60.44%
2⃣ OUI 42.29% / NON 57.7%
3⃣ OUI 46.91% / NON 53.09%
4⃣ OUI 38.42% / NON 61.58%

4⃣ "Êtes-vous d'accord pour qu'une Assemblée constituante soit convoquée et installée, dont les représentants seraient élus par le peuple équatorien, conformément aux règles électorales prévues par le Statut constituant, afin de rédiger une nouvelle Constitution de la République

3⃣ "Êtes-vous d'accord pour réduire le nombre de membres de l'assemblée et les élire selon les nouveaux critères ?"

2⃣ "Êtes-vous d'accord pour que l'obligation de l'État d'allouer des ressources du budget général de l'État aux organisations politiques soit supprimée par une réforme partielle de la Constitution ?"

1️⃣ "Êtes-vous d'accord pour que l'interdiction d'établir des bases militaires étrangères ou des installations étrangères à des fins militaires, et de céder des bases militaires nationales à des forces armées, soit supprimée par une modification partielle de la Constitution ?"

Ce dimanche, un référendum était organisé en Équateur, et 4 questions étaient posées.

Toutes ont été largement rejetées.

Une défaite politique majeur pour Noboa, pour ses visées néolibérales et pour les États-Unis qui ne pourront pas remettre un pied dans le pays andin.

Elle doit également surmonter le sentiment anticommuniste profondément ancré dans une partie de la société, sentiment attisé tant par l'extrême droite que par la droite traditionnelle durant cette campagne.

Le Chili aura deux choix le 14 décembre : Pinochet 2.0 ou Jara.

a gauche est à la croisée des chemins, compte tenu du rejet de Gabriel Boric et d'une droite unie pour le 2ᵉ tour du 14 décembre.

Jara doit relever le défi de ne pas être perçue comme la candidate du gouvernement, mais comme une véritable alternative pour les travailleurs 🇨🇱

Georges Marchais est resté un ouvrier communiste dans l’âme et c’est la raison pour laquelle la bourgeoisie l’a tant insulté, caricaturé.

Aujourd'hui, il est toujours la cible des gauchistes, car il continue de représenter ce qu'ils détestent : La classe ouvrière.

Il était un militant communiste sincère, un dirigeant politique issue de la classe ouvrière.

Georges Marchais a dirigé le PCF pendant une période difficile, où l’opportunisme et le révisionnisme, a fini par détruire le mouvement communiste.