Aujourd'hui, comment accepter de continuer à financer un système qui bafoue le réel, méprise le bon sens et retourne l'argent des contribuables contre ceux qui le produisent ?

Il y a plus d'un an que quelque chose s'est cassé en moi : la légitimité de payer mes impôts. Avant, je me disais qu'il fallait bien « participer » malgré tout.

et ces conclusions atterrissent dans les politiques publiques comme des évidences intouchables. La technocratie a pris le dessus sur la démocratie. Des experts non élus jouent aux ingénieurs sociaux avec notre argent et notre réalité quotidienne.

L'Union européenne s'est transformée en machine à fabriquer du consensus progressiste. On crée de toutes pièces des « crises » sociétales, on arrose des pseudo-recherches pour leur donner l'apparence de vérité

Ce n'est plus du gaspillage, c'est une mécanique bien huilée : on commande des rapports qui ressemblent à de la science, on les habille d'une caution officielle, puis on s'en sert pour imposer des lois et des normes par la force de l'argent public.

Pendant ce temps, Paris compte près de 100 viols de rue par an, soit deux par semaine, sans inclure ceux non déclarés. Et pourtant, silence total. Jusqu'à quand va-t-on détourner le regard avant d'admettre que les quais de métro sont des zones de non-droit, où l'insécurité règne ?

L'État ne protège plus ses citoyennes ; il préfère surveiller les automobilistes et prêcher la bien-pensance. Les femmes n'ont plus qu'une arme : sortir leur téléphone, filmer et diffuser l'agression sur les réseaux.

c'est une réalité établie. Aujourd'hui, on reconnaît que ces structures publiques, exemptes de toute compétition et de véritable responsabilité, sont non seulement intolérables, mais aussi nuisibles à la société entière.

Ceux qui orbitent autour de ce système baignent dans un cercle fermé et corrompu, s'attribuant des avantages et des faveurs payés par les contributions des autres. Ce n'est plus une supposition :

Cette chaine pour mongoliens est de plus en plus extraordinaire.

L'ami Wallace a deux messages à faire passer.