6/ Un territoire qui renonce à des recettes est condamné à s’endetter davantage pour investir. Ce n’est pas une question d’amour de la dépense publique, c’est une question de choix politiques. Contribuer à sa juste part, c’est une question de justice fiscale.

5/ Côté investissements, le bluff continue : en euros par habitant, ils baissent depuis 2020.
Seulement deux trains achetés depuis le début du mandat et alors que le grand plan de rénovation des lycées n’est pas lancé.

Un retard maquillé en “accélération”.

4/ En réalité, la majorité applique les mêmes recettes austéritaires que Bruno Le Maire, tout en creusant la dette : couper dans les dépenses de fonctionnement — donc dans les services publics, les associations, les emplois locaux — au lieu d’aller chercher des recettes nouvelles.

2/ Derrière le vernis de la “bonne gestion”, les chiffres du Débat d’Orientations Budgétaires racontent une toute autre histoire. Une épargne en chute libre, une dette qui explose et une trésorerie parmi les plus basses de France. Et pourtant, la majorité régionale se vante d’être exemplaire.