Ce grand angle est ma quatrième collaboration avec @RFIMusique, après les itv de Benjamin Epps et Toma Sidibé, mais aussi le portrait des "reines sénégalaises" DefmaaMaadef qui ont retourné les dernières Transmusicales ⬇️

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Scenario original : Vingt dieux/Miséricorde
Film étranger : serré, The Substance/Zone d'intérêt
Adaptation : Monte-Cristo
Musique originale : Emilia Perez
Photo : je crains Monte-Cristo
Effets visuels : La Bête
Montage/son/costume/documentaire/courts : ?

Meilleure actrice : Adèle Exarchopoulos (H.Herzi ⭐)
Meilleur acteur : P.Niney/T.Rahim
Meilleur actrice 2nd rôle : Catherine Frot
Meilleur acteur 2nd rôle : Chabat (Ayala/Develay ⭐)
Révélation féminine : Mallory Wanecque
Révélation masculine : Abou Sangare

Côté déception, on retient le projet insipide de Coelho, la pop pseudo-engagée pleine de bons sentiments des Terrenoire (les Vianney de gauche ?), les ambitions de Rilès qui tente un fourre-tout manquant de singularité, ou les Delivery et leur rock garage sans substance

Mention aussi aux projets des Kompromat, de Solann, Edge, Benjamin Epps ou encore Ela Minus

Top : Miséricorde (et mention à l'Histoire de Souleymane)
Flop : Megalopolis

Et dans le même journal, retour sur l'intriguante exposition photo de la Maison Européenne de la Photographie proposant une ode à l'ecologie et à la symbiose du vivant, à mi-chemin entre fiction et réalité. De quoi questionner l'opposition occidentale entre nature et culture.

précarité et discriminations.
Si les Transmusicales accompagnent le mouvement de "réequilibrage" du milieu par sa programmation paritaire en 2024, "plus de parité ne signifie pas moins d'inégalités", rappelle Théo Muller, l'un des programmateurs du festival.
www.humanite.fr/culture-et-s...

Et dans le quotidien demain, l'interview du réalisateur de ce premier film réussi, Mehdi Fikri. L'occasion d'échanger des rapports racialisés dans la société française, du lien entre son passé de journaliste et le cinéma, ou de la "double-absence" subie par les enfants d'immigré

L'artiste y évoque son rôle de Malika, qu'elle compare à Antigone, contrainte à défendre la mémoire de son frère pour pouvoir faire son deuil, mais aussi le question des violences policières et l'amour de l'art qui porte sa carrière.