Toute la politique du médicament de A à Z en commençant par la méthodologie des essais cliniques, la place des sponsors, des conflits d'intérêt puis les amm, la fixation des prix etc. mérite d'être reprise à bras le corps par eelv, nfp, .. Le travail sur les pharmacies devrait venir après.

chacun balaie devant sa porte d'abord. Cette recherche d'alternatives tous azimuts est aussi du fait de ces errements scientifiques. Charlatans ou autres n'ont qu'à ouvrir les bras en suivant.

Les anticholesterols dans tout cas de figure, les ipp quand systematisés, l'adoubement de résultats relatifs spectaculaires des rct quand en absolu c'est <5%, l'aspirine au lieu d'antiplaquetaire une fois la double prescription finie, etc. sont de gros declencheurs de recherche d'alternatives. Que

Bien sûr. Sans oublier côté médocs les IPP en prescription longue.
Dans les deux cas : des alertes qui sortent malgré les manques colossaux de moyens et de volonté en pharmacovigilance et en épidémiologie d'observation ; la poussière mise sous le tapis durant des décennies ; beaucoup de morts

Entre les ballons d'essai il y a quelques années pour équiper ces terrains en parcs photovoltaïques (d'ailleurs est ce que ça a été abandonné ?), les remises en cause de ci de là de leur rôle depuis quelque temps et maintenant la quasi-suppression envisagée ... qui pousse derrière? Pourquoi?

Pleins de causes, politiques, etc. Mais à une échelle + globale cette tendance était prévue dès 1972 (club de Rome) pour environ maintenant à cause de : manque de ressources, de sobriété, de solidarité et trop de pollution. On y est.

Oui, ils auraient du l'adapter, car ça paraissait lourd et peu lisible, mais ne pas la supprimer. En attendant la pollution continue à déglinguer les gens.

@mediapart.fr ou autres: en raison du lourd dossier sur ces traitements ultra-distribués, il serait urgent d'enquêter. Beaucoup de publis carrées sérieuses sont là pour appuyer une telle enquête. Par ex. la prescription en cas de diabètes, qui ressemble à une erreur médicale majeure systematisée.

Et toujours pas d'étude clinique randomisée en double aveugle pour le vaccin proposé. Il l'est uniquement sur la base des variations induites d'anticorps, ce qui ne dit rien sur l'efficacité clinique réelle.
C'est une méthodologie scientifique archaïque voire dangereuse.

Merci à L124 de continuer cette vigilance, de la part d'un non végétarien. Vivement que ces pratiques cessent