C’est pour répondre à cette exigence populaire que nous déposerons une troisième motion de destitution.
C’est pour répondre à cette exigence populaire que nous déposerons une troisième motion de destitution.
Un souffle.
Une seconde.
Et puis…
plus rien,
ou tout.
par Jean-Pierre Lovinfosse aka Kazoar
Un souffle.
Une seconde.
Et puis…
plus rien,
ou tout.
par Jean-Pierre Lovinfosse aka Kazoar
C’est pas demain qu’ça s’fait,
c’est pas plus tard qu’on s’réveille.
Et si j’te disais :
c’est pas une chanson,
c’est un cri sans refrain,
un feu dans le béton.
C’est pas demain qu’ça s’fait,
c’est pas plus tard qu’on s’réveille.
Et si j’te disais :
c’est pas une chanson,
c’est un cri sans refrain,
un feu dans le béton.
si t’entends la faille,
si t’refuses la neige
qu’ils mettent dans les entrailles,
alors l’air peut changer,
alors l’peuple peut danser,
alors même les muets
peuvent soudain s’embraser.
si t’entends la faille,
si t’refuses la neige
qu’ils mettent dans les entrailles,
alors l’air peut changer,
alors l’peuple peut danser,
alors même les muets
peuvent soudain s’embraser.
juste voraces,
pas stratèges,
juste rapaces.
Pas besoin d’plan,
juste des places
où s’gaver pendant qu’ça casse.
juste voraces,
pas stratèges,
juste rapaces.
Pas besoin d’plan,
juste des places
où s’gaver pendant qu’ça casse.
Pas qu’tu parles.
Pas qu’tu vives autrement qu’leur trance.
Ils veulent t’voir calme,
docile, vide, utile,
prêt à tout valider
même c’qui t’humilie.
…/…
Pas qu’tu parles.
Pas qu’tu vives autrement qu’leur trance.
Ils veulent t’voir calme,
docile, vide, utile,
prêt à tout valider
même c’qui t’humilie.
…/…
Tu l’verrais ou tu f’rais l’sourd, dis ?
Tu saurais lever l’poing ?
Ou tu baisserais les yeux ?
Est-ce que t’écoutes encore ?
Ou t’attends que tout soit creux ?
Tu l’verrais ou tu f’rais l’sourd, dis ?
Tu saurais lever l’poing ?
Ou tu baisserais les yeux ?
Est-ce que t’écoutes encore ?
Ou t’attends que tout soit creux ?
c’est ton sommeil.
Que tu t’réveilles plus jamais.
Ils t’écrasent sous les alertes,
les menaces, les fausses guerres,
ils plantent la peur dans tes artères,
te gèlent le cœur, te coupent les nerfs.
c’est ton sommeil.
Que tu t’réveilles plus jamais.
Ils t’écrasent sous les alertes,
les menaces, les fausses guerres,
ils plantent la peur dans tes artères,
te gèlent le cœur, te coupent les nerfs.
pas ton avis, pas tes notes.
Ils ont pas d’projet, pas d’idéal,
pas d’idée claire, juste l’capital.
Le temps des droits ?
Enterré.
Le temps des lois ?
Étranglé.
…/…
pas ton avis, pas tes notes.
Ils ont pas d’projet, pas d’idéal,
pas d’idée claire, juste l’capital.
Le temps des droits ?
Enterré.
Le temps des lois ?
Étranglé.
…/…
Tu l’verrais ou tu f’rais l’sourd, dis ?
Tu saurais lever l’poing ?
Ou tu baisserais les yeux ?
Est-ce que t’écoutes encore ?
Ou t’attends que tout soit creux ?
Tu l’verrais ou tu f’rais l’sourd, dis ?
Tu saurais lever l’poing ?
Ou tu baisserais les yeux ?
Est-ce que t’écoutes encore ?
Ou t’attends que tout soit creux ?
Écoute…
Le silence parle plus fort que tous les discours.
Le monde bascule,
Et toi, tu marches droit.
Quelque chose s’efface pendant qu’on regarde pas.
Le vrai temps…
C’est maintenant, pas plus tard.
Écoute…
Le silence parle plus fort que tous les discours.
Le monde bascule,
Et toi, tu marches droit.
Quelque chose s’efface pendant qu’on regarde pas.
Le vrai temps…
C’est maintenant, pas plus tard.