Noémie
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Noémie
@nomirazowski.bsky.social
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lesbienne féministe. doctorante (constructions discursives du viol). JCGL @genrelangage.bsky.social, GLAD! @revue-glad.bsky.social, GSL et ConSent. tricot 🧶 danse 💃🏼 https://linktr.ee/noemie_trovato
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ma poulette 🐓
tricot avec motif d’une poule blanche. ses pattes sont rouges, tout comme sa crête. son bec est jaune. le fond est marron.
November 1, 2025 at 6:29 PM
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📫🗣️👁️ JE du Laboratoire junior NEED (ENS Lyon)
C'est maintenant en visio si ça vous intéresse !
On va parler santé mentale, sujets sensible et solitude dans la recherche

Je participe à la table ronde à 10h pour parler VSS notamment (avec @arianejrobert.bsky.social !!!!!) meet.google.com/azt-bnws-vvz
October 16, 2025 at 7:34 AM
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juste mon nouveau tatouage en fait
tatouage sur bras - le M logo de monstres et compagnie en couleur (bleu)
October 9, 2025 at 5:44 PM
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📬 c'est la rentrée pour Critiques sociales du langage qu'on organise avec @selinguistics.bsky.social et Juliette !
le 28/10 on accueillera Léonita Catot (@leogalica.bsky.social), doctorante en SDL à l'USN qui nous parlera d'ethnographie en fête 🥳🍾🪩
+de détails ici : critiquessdl.hypotheses.org/1916
Critiques sociales du langage Séminaire doctoral proposé par Selene Monfort, Juliette Thiriet & Noémie Trovato 28 octobre L’Ethnographie en fête Leonita Catot 25 novembre D’« héroïnes » à « gens qui ne veulent pas » Nommer les apprenant•es migrant•es : enjeux discursifs et sociodidactiques Céline Robillard 16 décembre La douleur à l’ère du numérique Construire et analyser un corpus Reema Altamimi
September 30, 2025 at 1:41 PM
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ci-joint les notes de Salomé, mon amie en master 2, qui m’a écoutée parler dans un séminaire :
September 25, 2025 at 7:46 AM
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j’ai tricoté une paire de chaussettes qui sont extraordinaires
photo de mes pieds avec chaussettes beiges tricotées à la main avec des torsades, mules marrons avec boucle en argent et jean. le sol est en parquet photo de mes deux pieds dans les chaussettes beiges tricotées main avec des torsades. je porte un jean bleu. le sol est en parquet
September 21, 2025 at 2:52 PM
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September 4, 2025 at 10:11 AM
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heraklion, 2025
photographie d’une rue à Héraklion (Crète) avec un tag écrit en rouge sur le mur qui dit « Queers for Palestine »
August 6, 2025 at 6:27 PM
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sous verre ours
June 9, 2025 at 5:44 PM
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j’ai fait (aussi) un sous verre chien
sous verre en crochet chien blanc avec oreilles marrons
June 6, 2025 at 7:46 PM
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j’ai fait un sous verre mouton
sous verre rond en forme de mouton blanc et marron crocheté à la main
June 6, 2025 at 5:37 PM
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accepté mais demande des « modifications majeures »
June 5, 2025 at 9:15 AM
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📫 la troisième séance du séminaire Critiques sociales du langage aura lieu le 15/04 à 16h, salle J536 à UPC !

avec @selinguistics.bsky.social on parlera des enjeux du travail catégoriel en context militant (lutte antivalidiste) et éducatif (éducation à la sexualité) !!!!
Résumé de la séance : À la lumière des réflexions militantes et institutionnelles sur le pouvoir accordé aux mots, récemment réactualisées par la politique sémantique de Trump aux États-Unis, nous proposons dans cette communication de revenir sur les enjeux du travail catégoriel effectué dans les contextes militants et éducatifs. Si « mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde », comme l’écrivait Camus en 1944, il peut faire sens d’interroger le poids des mots par la catégorisation des objets et concepts du monde. On se focalisera précisément sur la terminologie des violences sexistes et sexuelles (Zaccour & Lessard, 2021) dans un contexte préventif et éducatif, ainsi que sur les métadiscours de militant·es antivalidistes qui font la part belle au choix des mots dans la (dé)pathologisation de certaines conditions. Il s’agira, pour nous, de réfléchir à la théorie du langage-action en questionnant les théories de la nomination (Moirand, 2011), les différents procédés de correction discursive comme le « politiquement correct » (von Münchow, 2021), et la nécessité de « bien choisir ses mots », pensée comme véritable processus didactique. On discutera, enfin, les limites de cette activité de catégorisation (Marignier, 2018) et la place accordée à la lutte lexicale en contexte militant et éducatif : nommer, est-ce toujours prévenir ? renommer, est-ce toujours guérir ?
April 3, 2025 at 3:55 PM
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La combinatoire straight, Jules Falquet (2025)
qu'elle dit « clair », l'hétérosexualité a aussi été constrite a En effet, en Europe, le terme même d'« hétérosexualité» n'apparait qu'à la toute fin du xixe siècle. Il est popularisé pa le psychiatre austro-allemand Richard von Krafft-Ebing, qui le définit comme une attirance pour l'autre sexe liée à un désir de procréation (Krafft-Ebing, 1999 (18861). C'est seulement à partir de ce moment-là qu'on commence à penser l'hétérosexualite comme telle et à lui opposer l'homosexualité. Cependant, pour faire apparaitre ces deux catégories, il est nécessaire de réaliser une série d'opérations mentales absolument nouvelles. D'abord, il faut déplacer l'attention des pratiques sexuelles concrètes, qui étaient jusqu'alors au centre, vers le sexe des partenaires en présence, qui ne constituait jusqu'alors qu'un épiphénomène. Ensuite, il faut que l'on commence à attribuer aux personnes une particularité sexuelle en fonction du sexe de leur (s) partenaires). Puis il faut en venir à considérer cette particularité comme stable et fixe. Par suite, il est nécessaire que cette particularité devienne centrale pour la définition de la sexualité de la personne. Enfin, il faut que cette sexualité désormais considérée comme particulière devienne centrale pour l'identité de la personne elle-même (Katz, 2001 [1995l), ce qui n'a rien d'une évidence. Rappelons en effet, par exemple, que le marquis de Sade appréciait tout particulièrement d'être sodomisé par son valet en même temps qu'il pratiquait d'autres activités sexuelles sur une femme. Pourtant, il est loin d'être passé à la postérité comme un homosexuel ou même comme un bisexuel. En revanche, les pratiques qu'il s'est plu à décrire avec les femmes apparaissent à beaucoup aujourd'hui comme une sorte de paroxysme de la sexualité hétérosexuelle masculine. C'est en tout cas ce que la mondialisation néolibérale des imaginaires sexuels occidentaux tend à « universaliser » en matière de sexualité. 226 La combinatoire straight cela ne nous dit rien non plus des anti-alliances absolues imposées à des petits garçons par des frères ou des pères. Enfin, s'il s'agit d'un tabou universel garant de l'entrée dans la culture, comment expliquer qu'il advienne si massivement aujourd'hui, en France ? Le tabou, en fait, comme l'avaient très bien montré les recherches empiriques précurseuses de l'anthropologue Dorothée Dussy, n'est pas l'imposition aux enfants de la pédo-criminalité incestueuse, extrêmement fréquente, mais sa mise en visibilité et sa dénonciation par les S (Dussy, 2013 a et b). Le discours des « grands hommes » de l'anthropologie française - celui de Claude Lévi Strauss, désigné par Monique Wittig (1980) comme le principal propagateur de la pensée straight, et celui de Maurice Godelier selon lequel les femmes consentent à leur propre domination, passé au crible par Nicole-Claude Mathieu (1985) - constitue de fait un puissant écran de fumée. (In)visibilité paradoxale et omniprésence Si la pédocriminalité incestueuse et les D qui l'exercent sont protégées par cet écran de fumée qui les rend presque invi-sibles, les autres figures de l'anti-alliance absolue (pédocrimi-nalité classique ou lointaine) font plutôt l'objet d'une visibilité paradoxale. En effet, les D suggèrent Пор. Place Pper IS les lest * (ce leme ragi- tles mes qui ver que ans ou oir tes 8a c Its IS е- Les anti-alliances: l'envers du décor 243 pouvoir acquis par l'exercice de cette violence, d'exercer plus de violence encore avec la garantie croissante de l'impunité. La culture dominante déborde de tels exemples, de Gabriel Matzneff à Dominique Strauss-Kahn et d' Harvey Weinstein à Gérard Miller, en passant par Gérard Depardieu, soutenu publiquement, de manière sidérante, par le président de la République lui-même. Il est tout à fait possible que ces hommes puissants aient commencé leur ascension en vivant eux-mêmes l'imposition d'une anti-alliance absolue ou relative - de nombreuses analyses mettent en avant une dimension psychologique et un cycle de reproduction de la violence pour expliquer leur comportement, arguant de traumatismes infantiles qui expliqueraient leurs comportements d'adultes. Je dis pour ma part que ce type d'explication ne doit pas nous aveugler au fait qu'il existe toujours un degré de libre arbitre au moment d'exercer la violence, même sous l'effet des pires contraintes, et surtout que l'exercice individuel des violences génitalisées ne peut se comprendre pleinement que rapporté à un cadre moral et juridique qui permet l'impunité, et surtout aux logiques collectives et institutionnelles qui offrent du pouvoir et des avantages matériels concrets à certain-es personnes qui exercent la violence. Dans ce chapitre, jal proposé d'examiner l'anti-alliance en séparant trois formes, qui sont en réalité emboîtées: la pédo-criminalité incestueuse familiale, la pédocriminalité institutionnelle et, enfin, la pédocriminalité impersonnelle. Elle Pose Doma alle brouille un Quant à l'apparition ou l'expansion démesurée de l'anti-alance, il s'agit réellement du point central de la nouvelle combinatoire straigbt. L'anti-alliance relative (surtout les viols de guerre, coloniaux, ancillaires et esclavagistes) a constitué une arme puissante contre des populations entières, désorga-niant radicalement leur fonctionnement social et traumatisant durablement quantité de personnes. Elle a également permis de leur faire produire massivement des enfants illégitimé-es, fort utiles à un ensemble de tâches spécifiques du processus colonial, notamment à la mission d'assurer le peuplement de remplacement. Enfin, l'imposition (très) précoce de l'anti-alliance absolue (pédocriminalité incestueuse ou non), d'abord par des étrangers (notamment par le biais de l'Église), puis, une fois semés les germes de la confusion et le traumatisme transgénéra-tionnel, au sein-même de la communauté et de la famille, constitue peut-être la clé de voûte de la domination coloniale-patriarcale et raciste. En effet, ce processus, qui s'est avéré redoutablement auto-répliquant, installe et cimente une série de confusions profondes, durables et extrêmement problématiques entre des choses qu'il ne va pas du tout de soi de rapprocher et qui sont bien distinctes les unes des autres dans d'autres cultures. D'abord, la sexualité et les violences génita-lisées, ensuite, les violences génitalisées et l'amour (parental et en général), puis la protection (parentale et religieuse, notam-ment), le pouvoir et l'exercice de la violence génitalisée. Cette chaine de confusions imposées dès le plus jeune âge produit finalement un amalgame complet entre exercice de la violence génitalisée, sexualité, amour et pouvoir. Cet amalgame, qui est le discours des perpétrateurs, se diffuse de proche en proche, non seulement aux S et à leurs proches mais à l'ensemble de la société.
March 25, 2025 at 6:26 PM
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📫📩on vous partage l'appel à comm° de la 5e JEJC du laboratoire EDA : “La circulation des savoirs informels : perspectives éducatives, didactiques et langagières”

les doctorant·es en sciences du langage et sciences de l'éducation, vous avez jusqu'au 4/04 pour proposer un petit truc !!!!
APPEL À COMMUNICATIONS 5e journée d’étude des jeunes chercheur·euses du laboratoire EDA Semaine du 6 au 10 octobre 2025 (jour à déterminer) La cinquième édition de la Journée d’étude des jeunes chercheur·euses du laboratoire EDA (Éducation, Discours, Apprentissages) a pour objectif d’offrir un espace d’échange et de réflexion autour de la circulation des savoirs et des compétences informelles, dans le double cadre des sciences du langage et des sciences de l’éducation. Nous proposons d’articuler le thème autour de trois axes de recherche qui tracent un aller-retour des savoirs entre les sphères scolaires et universitaires et le reste de la société. Il s’agit tout d’abord de questionner le concept de « savoir informel » et ses caractéristiques (axe 1). Nous invitons ensuite les chercheur·euses à réfléchir à la mobilisation, en théorie et en pratique, des savoirs et compétences informelles dans des contextes d’éducation formels (axe 2). Enfin, dans une réciprocité, nous souhaitons interroger les possibilités et les modalités de la diffusion et de la vulgarisation des savoirs et des connaissances apprises et produites à l’école ou à l’université (axe 3). Les participant·es pourront présenter leur corpus, leurs méthodologies et leurs résultats d’analyses, ainsi que, plus largement, toute réflexion épistémologique, théorique ou éthique sur la place des savoirs et des compétences informelles et la diffusion des savoirs dans leurs propres pratiques de recherche. Axe 1 – Définir le savoir informel en tant que savoir : le défi de saisir le hors-cadre Ce qui est « informel » est défini par la négative : est informel ce qui n’est pas officiel, sans règles préétablies. En tant que concept, « savoir informel » n’a donc aucune consistance, et il peut être difficile de s’y retrouver. Cet axe vise à y regarder de plus près, quitte à ouvrir une boîte de Pandore dans laquelle il faudra mettre de l’ordre pour espérer saisir ce que signifie cette expression (Schugurensky, 2007). Pour l… Les contributions visant à déterminer l’éventuelle nature informelle de certaines pratiques en marge des codes de transmission formelle auront également leur place dans cet axe. Ainsi, qu’en est-il des apprentissages liés à l’imagination, à la création, à l’écriture d’invention (Galluzzo-Dafflon, 2011) ? De ceux qui prennent appui des ressources essentiellement adidactiques (médias, technologies), comme dans les cas de la littératie numérique (Combe, 2021) ? Derrière ces enjeux subsiste la question de la frontière, parfois poreuse, entre les savoirs formels et informels, quitte à venir toucher du doigt le sens même de cet effort de définition (Brougère & Bézille, 2007). Et si le savoir informel constituait un espace dont les incursions de la recherche ne font qu’effleurer la surface, tentant vainement de typologiser ce qui échappe aux catégories ? Les travaux s’inscrivant dans cet axe tenteront de répondre à certaines de ces questions, autour d’une grande thématique : appréhender le savoir informel. Axe 2 – Mobiliser les savoirs et compétences informelles en contexte formel : un défi entre curricula et pratiques Cet axe propose de questionner la mobilisation des savoirs et compétences informelles dans les lieux d’enseignement formel. Du point de vue curriculaire, on pourra étudier si, et le cas échéant comment, des savoirs et compétences informelles peuvent être transformées en savoirs et compétences scolaires. Il s’agira ici de questionner les conditions nécessaires (ou suffisantes) à la transposition didactique (Chevallard, 1985) – celle-ci concernant alors non pas les savoirs savants mais bien les savoirs informels. On pourra aussi se demander si la formalisation des savoirs implique leur dénaturation et si certains savoirs, par exemple essentiellement oraux (Salaün, 2016 sur les savoirs autochtones), sont à cet égard spécifiques. informelles et savoirs et compétences scolaires : comment celles-ci peuvent-elles soutenir les apprentissages des élèves (Traoré, 2024) ou des étudiant·es (Fierro Porto & Schofield, 2022) ? Enfin, les communicant·es pourront s’intéresser à la construction de savoirs populaires, produits par des « non-savant·es » (militant·es, enfants) en contextes formels et informels (Paveau, 2008, 2020 ou Meunier & Rosier, 2014, pour la linguistique folk). Axe 3 – Diffuser et vulgariser : le défi de partager les savoirs Cet axe propose de réfléchir à la possibilité d’une vulgarisation ou d’une « médiation scientifique » (Reboul-Touré, 2012) des travaux en sciences de l’éducation et en sciences du langage – et plus largement en sciences humaines et sociales – ainsi que la place accordée à celle-ci par l’Université. D’une part, il pourra s’agir de déterminer le(s) but(s) de « [c]ette opération de diffusion qu’on a longtemps appelée vulgarisation scientifique [qui] consiste à répandre les savoirs, à les partager, à les faire circuler » (Fraysse & de Bideran, 2017, §2) : vise-t-elle à informer les citoyen·nes, à valoriser la recherche d’un point de vue politique, associatif, militant (Allemand, 2016) ? D’autre part, il conviendra de définir les publics visés (Fraysse & de Bideran, 2017) : amateur·ices, passionné·es, professionnel·les, étudiant·es, collègues d’autres disciplines... À cet égard, la question de la réception de ces discours vulgarisés et de leur diffusion au grand public, en dehors de la sphère académique et en dehors du domaine scolaire, pourra être soulevée. Les communicant·es pourront par exemple analyser les modalités des discours de transmission des connaissances en ligne et hors-ligne (Reboul-Touré, 2004) et les reconfigurations de « discours-limites » (Beacco & Moirand, 1995), qui produisent des connaissances en même temps qu’ils les diffusent (cf. la circulation de la recherche sur des plateformes en open access). Enfin, les communications pourront porter sur les supports de vulgarisation et de diffusion de la recherche : carnets de recherche en ligne (notamment Hypothèses, Rahal, 2019) et blogs, réseaux sociaux numériques (Twitter/X, Instagram, TikTok), chaînes YouTube ou Twitch, podcasts. Ces « journaux intimes ou carnets de bord » (Fraysse & de Bideran, 2017, p. 10) permettent-ils une réflexion éthique, méthodologique et épistémologique sur la position de chercheur·euse ? Si ces supports favorisent l’accessibilité de la recherche et garantissent une certaine liberté aux chercheur·euses, il pourra faire sens de questionner les limites de la diffusion des savoirs dans les espaces qui y ont peu ou pas accès (Suds globaux, prisons, censures politiques, etc.). Soumission des propositions Les jeunes chercheur·euses qui le souhaitent sont invité·es à soumettre une proposition de communication de 5 000 signes maximum (bibliographie comprise), avant le 4 avril 2025, à l’adresse suivante : jejc.eda@gmail.com Les propositions devront être anonymisées et s’inscrire clairement dans l’un ou plusieurs des trois axes présentés. La notification des acceptations est fixée au 6 juin 2025. L’événement se déroulera au format hybride : en présentiel au sein des locaux de l’Université Paris Cité (45, rue des Saints-Pères, 75006 Paris) et en visioconférence. Comité d’organisation Rémi Barrès, Juliette Fanjat, Selene Monfort, Noémie Trovato.
March 3, 2025 at 11:33 AM
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j’ai fini ma (très) petite couverture en crochet !
chaise de bureau format club gris en tissus avec une couverture en granny square multicolores en crochet posées dessus en arrière plan on voit mon bureau et le mur en appentis chaise de bureau avec couverture multicolore en granny square en crochet posee dessus. en arrière plan mon bureau avec un écran d’ordinateur éteint, des livres, des tasses, une lampe, une fleur en lego
February 18, 2025 at 8:00 AM
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📫 la team linguistes !!!! on reprend l'organisation du séminaire Critiques sociales du langage avec Selene et Juliette !!!

🗓️la première séance aura lieu le 11/02 à 15h à la MDR de l'USN ; on accueillera Axelle Houbani pour une séance intitulée "Ethnographie chez soi, ethnographie chez ses parents"
Affiche du séminaire Critiques sociales du langage. Séminaire doctoral proposé par Selene Monfort, Juliette Thiriet & Noémie Trovato Printemps 2025 11 février Ethnographie chez soi, ethnographie chez ses Parents Les clefs pour entrer sur le terrain Axelle Houbani 11 mars « je fini de tecrire ai non de temAi» Enjeux sociolinguistiques du contact épistolaire des peu-lettrés entre la France et les Antilles au XVIIIe siècle Claire de Mareschal & Juliette Thiriet 15 avril «Encore des mots, touJours des mots » Enjeux du travail catégoriel en contexte militant 13 mai et éducatif Selene Monfort & Noémie Trovato « je doute donc je suis » Dialogue entre esprit critique et complotisme Charlotte Barbier & Théophile Robineau
February 2, 2025 at 12:42 PM
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📫🗓️ les info pour les prochains ateliers Genre & Langage
"La colonialité du langage": séance le 21/02 à UPC St Pères 14h, inscriptions pour participation en présentiel ou en visio obligatoire : framaforms.org/atelier-jcgl...

on vous attend nombreuxses pour discuter des textes de Mariem et de Marc !
affiche du programme des ateliers Genre & Langage 27/09/2024 14h00 U n i v e r s i t éP a r i sC i t é C a m p u sSaint-Germain-des-Prés B â t i m e n tJ a c o b- S a l l eJ 5 3 6 Lectures:L epouvoird e smots& Troubled a n sl e genre(J.Butler) A v e cM o n aGérardin-Laverge & NoémieMarignier 5202/20/12 14h00 Unvierséti siPra Cité 06/12/2024 12h00 CampusCondorcet Bâtimentd eRechercheSud Salle0.019 Lectures: Annette S. (2011).Do VoicesMatter? Vocality, Materiality, Gender Performativity. &Holly P . e t T mo e k . K ( 2 0 1 8 ) . T r a n s * V o c a l i t y : l i v e d experience, singingbodies, and joyful politics. AvecAronArnold & J u s t i nJ a c o b s 04/04/2025 14h00 Informationsà venir ectures:Fraser N.(1992).Repenserlasphère publique:u n econtribution àla critiquede la démocratietellequ'elleexiste réellement M e n d e s K., Ringrose J . e t Keller J . (2019). Theoretical a n dMethodologicalApprochest oStudyingDigital F e m i n i s tA c t i v i s m . Avec Irène Despontin-Lefevre & NellyQuemener * Organisés parlesdoctorants affiliéesà JCGL (Jeunes Chercheur u s e s en Genre & Langage). EFIGiES e tGSL (GenresSexualitésLangage) Campus mtnieBtâ seurLtce : pratiques hajhaJ.M 2023)( les eségiocatr aniMlo serTor Saint-Germain-des-Prés Jacob -Salledes seshèt e5 étage Gouluzel M&KabailiS.(2023)Francoféminisme ne Tunisie: langagières et xuejne institutionnels. raciales S&. Padiou danlseweb gay I.(2022)Une communication sans dialogisme. aL colonialité du Veronelli. alngage selon Gabriela cevA Marc Jahjah & MariemGuellouz "Salope blanchpeour rebeu dominateur" contemporain. ntreperformativité et performance q u e e r a c o l o n i a l i t é a g e l a n g d u
January 16, 2025 at 12:23 PM
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le dernier tricot tombé de mes aiguilles 6mm : la #blouseno1light de my favourite things knitwear tricotée avec tous les restes du stash de mohair de la maison (j’en suis amoureuse)
(je repose ici car pas de raisons que vous soyez privées de ce magnifique pull ici !!!)
je porte un pull tricoté en mohair avec des rayures multicolores, j'ai les cheveux blond bouclés, je porte des lunettes, un jean et j'ai les mains dans les cheveux. le fond de la photo est une armoire bleue claire avec des rideaux blancs
December 28, 2024 at 2:18 PM
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« I was asking for the support I desperately needed. I wasn’t asking to be fucked. » Being Lolita - Alisson Wood
December 8, 2024 at 5:37 PM
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📫🗣️ On vous partage la suite du programme des ateliers Genre & Langage du groupe JCGL en partenariat avec Effigies et GSL !
Le lien pour vous inscrire à la deuxième séance, le 06/12 qui sera consacrée à la linguistique queer et aux vocalités : framaforms.org/atelier-jcgl...
December 2, 2024 at 4:33 PM
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je vous avais pas montré mes super chaussettes ici !
le patron des "chaussettes colères" de Rebecca Colère, tricotées avec des restes de laine à chaussette !
(le patron est gratuit et est absolument super pour une première paire de chaussettes !)
une paire de chaussette tricotées mains avec des rayures aléatoires dans les tons roses bleus gris portées, les pieds sont posés sur une couverture rose et bleue tissées chat, on voit une plante verte, un fauteuil et un radiateur dans le fond de la photo
November 27, 2024 at 1:33 PM
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c’est demain !
November 13, 2023 at 3:48 PM
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Gwenaelle, ou Gwen, pour les intimes !
November 6, 2023 at 6:25 PM
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moi j’ai tricoté une grenouille avec une marinière et elle regarde tomber la pluie d’automne
October 28, 2023 at 8:11 PM