Ok la pétition, mais le 10 septembre ?

(3/2) oups pardon
Et en raison de l'accumulation politique, ce sont les ménages qui contribuent de plus en plus au système fiscal

(2/2) Étant donné le pouvoir structurel croissant du capital notamment depuis la libre circulation du capital, l'Etat met en place divers dispositifs qui engendrent un soutien financier de + en + important vers les entreprises

(1/2) Accumulation politique = Etat comme institution qui se reproduit au fil du temps - mais jamais à l'identique- à travers soit une extension territoriale soit à travers sa fiscalité. Dans l'article ça passe par la fiscalité

(4/4) Enfin, on n'est pas non plus dans une approche instrumentale de l'Etat, puisque l'Etat soutient le capital en raison de son propre intérêt structurel qui se réalise par une accumulation politique, ce qui nous éloigne d'ailleurs du capitalisme monopolistique d'Etat

(3/4) Le capital n'est donc pas vu comme monolithique, dans cette dynamique

(2/4)Néanmoins il est vrai qu'on a préféré dans cet article mettre en avant les fractions du capital plutôt que de regarder les orga étatiques, car ça, nous semble-t-il, permet de mieux comprendre les causes du renforcement du pouvoir structurel du capital et ses conséquences sur le soutien étatique

(1/4) On ne nie pas que l'Etat est un ensemble d'organisations, bien au contraire, puisque d'un point de vue macro on analyse les dépenses et recettes de la sécurité sociale, la BCE/Banque de France, le gouvernement, mais aussi plus largement les administrations publiques

Le constat est une chose, l'interprétation en est une autre...
On peut ne pas être en phase avec sa ligne politique, mais faut-il rejeter le constat? Je ne le pense pas.
Par ex, il y a plusieurs théories sur les causes de l'inflation qui pourtant ont le même constat : les prix s'apprécient

Et le lien de l'article
doi.org/10.1080/0308...

Je doute fort qu'elle parle d'accumulation du capital et de contradictions pour expliquer cette dynamique

C'en devient pathétique entre les syndicats et le NFP... Quand est-ce que les organisations syndicales et les partis politiques vont comprendre qu'il n'y a rien à négocier, a fortiori avant la mise en place d'un rapport de force sans concession ?

Coup double: ça donne l'impression que le processus est démocratique et non imposé par le gouvernement ; et par la suite quand le patronat aura dit non le gouvernement trouvera un prétexte, par ex la situation financière, pour aller encore plus loin dans le sacage de la sécu et le patronat sera ravi