En ce 11 novembre, nous nous souvenons de la fin d'une guerre. Chaque jour, soyons du camp de celles et ceux qui construisent un monde où la fin de toute guerre est possible.

Et le chemin vers cet objectif est peut-être de s'approprier la seconde interprétation possible. Nous devrions refuser la guerre qui est l'expression la plus extrême de la domination des peuples : leur commander de s'entre-tuer.

Je suis d'un naturel optimiste et j'ai bien envie de penser que la première interprétation n'est pas une fatalité. Je pense qu'une humanité mature saura mettre fin à toute guerre.

- on ne connaît la fin de la guerre qu'en mourant car il y en aura éternellement,
- ou, la "fin" de la guerre, en tant que finalité, une finalité qui se résumerait à donner la mort ou la recevoir.