Haitians cannot endure more violence — especially children.

The international community should urgently support the recently UN-authorized Gang Suppression Force with the personnel and resources needed to protect Haitians from criminal groups.

"À Cap-Haïtien, je vis chez des amis. Je dépends d'eux et je ne vois aucune issue. Je n'ai pas de travail ici...

Je suis épuisée. Je ne peux pas continuer à fuir. Quelqu'un doit dire que ça suffit."

En savoir plus : www.hrw.org/fr/news/2025...

"Nous avons passé près d'un mois là-bas, mais la violence nous a suivis. Nous avons réussi à nous échapper vers Cap-Haïtien."

"À Hinche, nous sommes restés dans un garage, dormant à même le sol sur des morceaux de carton recouverts de quelques draps. Les voisins nous ont apporté des couvertures, de la nourriture et de l'eau. Leur générosité nous a aidés à survivre."

"Tout le monde s'est enfui dans toutes les directions, à pied, en camion, en moto. C'était le chaos...

Un ami nous a conduit ma famille et moi à Hinche."

"Nous avons fui vers Mirebalais, dans l'espoir d'y trouver la sécurité.

Nous sommes restés environ 4 mois à Mirebalais, jusqu'à ce que les bandits arrivent là aussi. Nous avons entendu des avertissements diffusés par haut-parleurs, qui disaient aux gens de fuir."

"Fin novembre 2024, les bandits sont arrivés à Cabaret. Ma famille et moi avons passé 15 jours à entendre des coups de feu alors qu'ils parcouraient librement les rues. Ils ont détruit notre jardin et tué nos animaux. Nous n'avons eu d'autre choix que de partir."