Paris 13e | #actif #versatile #gay
Mains de bois, caresses de feu. À 60 ans, je vibre pour l’odeur d’un homme, sculptant des frissons dans l’ombre. Viens tisser nos désirs.
Ma queue raide fière dans l’espace,
Le cul offert s’élève, sculpté par la lumière, où l’ombre se mêle à la chair, caresse cette pose audacieuse,
Un instant suspendu, brut, presque silencieux,
Dans un jeu d’équilibre, entre force et sexualité
Ma queue raide fière dans l’espace,
Le cul offert s’élève, sculpté par la lumière, où l’ombre se mêle à la chair, caresse cette pose audacieuse,
Un instant suspendu, brut, presque silencieux,
Dans un jeu d’équilibre, entre force et sexualité
Ton tic-tac martial cogne au creux de l'aube.
La bite gonflée, sentinelle fière et dure,
Se dresse en tumulte, veineuse armure.
Matin coquin, où le désir s'éveille en furie,
Dur comme l'acier, prêt pour l'extase infinie !
Ton tic-tac martial cogne au creux de l'aube.
La bite gonflée, sentinelle fière et dure,
Se dresse en tumulte, veineuse armure.
Matin coquin, où le désir s'éveille en furie,
Dur comme l'acier, prêt pour l'extase infinie !
Un tableau charnel, sauvage et sincère.
Dans l’intime, la peau chante l’univers.
je t'offre tout cela, rien que pour toi...
Un tableau charnel, sauvage et sincère.
Dans l’intime, la peau chante l’univers.
je t'offre tout cela, rien que pour toi...
Urinoir blanc, gardien des voyages.
Flux libérateur de l'aire de repos,
Soulagement post-week-end,
Hymne aquatique à la solitude,
Personne pour mater ma queue se vider.
Urinoir blanc, gardien des voyages.
Flux libérateur de l'aire de repos,
Soulagement post-week-end,
Hymne aquatique à la solitude,
Personne pour mater ma queue se vider.
Entre ombre et rêve, l’homme s'éveille, la queue était dure.
Entre ombre et rêve, l’homme s'éveille, la queue était dure.
La lumière caresse mon sexe bandé.
Les couleurs chantent, le temps s'arrête, le râle du mâle, s'étouffe
Un pouls s'accélère, la queue prête à éjaculer sur le marbre immaculé... Viens, lécher...
La lumière caresse mon sexe bandé.
Les couleurs chantent, le temps s'arrête, le râle du mâle, s'étouffe
Un pouls s'accélère, la queue prête à éjaculer sur le marbre immaculé... Viens, lécher...
Mon corps s’offre, nu, dans une pose audacieuse,
La chair tendre, sculptée par l’ombre,
Une main guide, tendre, sur cette peau sincère.
Mon doigt entre en moi et trouve la chaleur intense
Un cadre intime, où le réel s’émancipe, j'offre mon orifice..
Mon corps s’offre, nu, dans une pose audacieuse,
La chair tendre, sculptée par l’ombre,
Une main guide, tendre, sur cette peau sincère.
Mon doigt entre en moi et trouve la chaleur intense
Un cadre intime, où le réel s’émancipe, j'offre mon orifice..
Sur un escabeau fragile,
La lumière douce caresse mes fesses
Pieds chaussés, mains tendues
Chantier en cours. J'attends ta langue...
En noir et blanc, l’instant suspendu,
Un tableau vivant, brut, pour un
#DéfiCoquinDuDimanche édition monochrome
@lesculsdefrance.bsky.social
Sur un escabeau fragile,
La lumière douce caresse mes fesses
Pieds chaussés, mains tendues
Chantier en cours. J'attends ta langue...
En noir et blanc, l’instant suspendu,
Un tableau vivant, brut, pour un
#DéfiCoquinDuDimanche édition monochrome
@lesculsdefrance.bsky.social
Un reflet danse, je me tiens debout face à la glace
téléphone en main,
J'immortalise l'instant suspendu.
Les miroirs captent son ombre frêle,
Pantalon beige ouvert
Un voyage discret, un monde à l'arrêt,
Dans cet écrin métallique, la bite s'évade.
Un reflet danse, je me tiens debout face à la glace
téléphone en main,
J'immortalise l'instant suspendu.
Les miroirs captent son ombre frêle,
Pantalon beige ouvert
Un voyage discret, un monde à l'arrêt,
Dans cet écrin métallique, la bite s'évade.
Une forme s’élève, étrange et silencieuse,
Un corps dévoilé, nu sous la lumière audacieuse.
Le rose tendre d’une bite épaisse, et des couilles gorgées de jus,
Cerné de poils, le cockring rouge, enlace la peau,
Bon retour à Paris...
Une forme s’élève, étrange et silencieuse,
Un corps dévoilé, nu sous la lumière audacieuse.
Le rose tendre d’une bite épaisse, et des couilles gorgées de jus,
Cerné de poils, le cockring rouge, enlace la peau,
Bon retour à Paris...
La dernière douche scelle l’adieu aux vacances.
La peau encore empreinte de soleil et de sel. Le sexe en débandade,
Une Caresse à l’instant d’un adieu tendre et mélancolique,
Pour clore ce chapitre d’évasion et de rêves.
A l'année prochaine...
La dernière douche scelle l’adieu aux vacances.
La peau encore empreinte de soleil et de sel. Le sexe en débandade,
Une Caresse à l’instant d’un adieu tendre et mélancolique,
Pour clore ce chapitre d’évasion et de rêves.
A l'année prochaine...
La queue douce ornée d’un cockring rouge, fétiche ardent,
Les couilles gorgées d’un nectar délicieux,
Et l’odeur enivrante du fumet mâle emplit l’air d’une ivresse troublante.
La queue douce ornée d’un cockring rouge, fétiche ardent,
Les couilles gorgées d’un nectar délicieux,
Et l’odeur enivrante du fumet mâle emplit l’air d’une ivresse troublante.
Le corps repose
Sous un ciel clair, où l’azur s’aventure,
La peau dorée danse avec la lumière qui s’éveille.
Les couilles s’entrelacent, naturelles et libres,
Un sexe vivant, peint par le vent léger,
Le soleil caresse, dans un éclat qui vibre...
Le corps repose
Sous un ciel clair, où l’azur s’aventure,
La peau dorée danse avec la lumière qui s’éveille.
Les couilles s’entrelacent, naturelles et libres,
Un sexe vivant, peint par le vent léger,
Le soleil caresse, dans un éclat qui vibre...
La mer chuchote, l’instant s’éveille,
Un frisson monte, le sel me murmure,
L’instant s’arrête, le temps se fissure. Ô vague première, toi qui viens m’embrasser...
La mer chuchote, l’instant s’éveille,
Un frisson monte, le sel me murmure,
L’instant s’arrête, le temps se fissure. Ô vague première, toi qui viens m’embrasser...
Comme une carte au trésor gravée dans la chair,
Des poils denses dansent, caressés par l’ombre.
Un écrin de coton blanc, marqué d’un lion,
Couve un sexe brut, audacieux et tendre, au prépuce entrouvert,
L’air porte un souffle doux, un murmure d'une envie...
Comme une carte au trésor gravée dans la chair,
Des poils denses dansent, caressés par l’ombre.
Un écrin de coton blanc, marqué d’un lion,
Couve un sexe brut, audacieux et tendre, au prépuce entrouvert,
L’air porte un souffle doux, un murmure d'une envie...
Accroupi, mon sexe pendant, un mystère en son regard,
La moustache fière,
Le vent caresse sa peau,
Sous le soleil ardent, il pose sans fard,
Un instant capturé, où l’âme se perd,
Entre ciel et terre, un lien silencieux, les vagues juste derrière
Accroupi, mon sexe pendant, un mystère en son regard,
La moustache fière,
Le vent caresse sa peau,
Sous le soleil ardent, il pose sans fard,
Un instant capturé, où l’âme se perd,
Entre ciel et terre, un lien silencieux, les vagues juste derrière