Sans oublier les brutes de sécurité privée et les fascistes qui terrorisent les rues et les bars associatifs, trop souvent avec l'aimable laisser-faire des "forces de l'ordre"... Il faut les juger, les condamner, et les écarter définitivement de toute position de pouvoir ou d'autorité.

Et on n'en aurait pas encore fini. Toute la chaîne de commandement, toute la machine à impunité, tous les perpétrateurs de violences, leurs complices, leurs donneurs d'ordres et de caution, leurs recruteurs, leurs accompagnateurs médiatiques, ...

Faudrait traîner devant les tribunaux tous les ministres de l'Intérieur, de la Justice, tous les premiers ministres, tous leurs secrétaires d’État, dircabs et porte-parole, tous les préfets et gradés, tous les responsables de l'IGPN et IGGN depuis au moins Rémi Fraisse...

Et pas de contournement du point 1) par des "groupes de niveaux" ou des classes socialement non mixtes...

J'ai vécu deux ans (et un confinement) en face de cette plaque. :-)

Il faut vraiment qu'on les arrête, qu'on les empêche de tuer la jeunesse et avec elle toutes les possibilités de bifurcation, tous les germes de révolutions. On n'en peut plus, là.

La Macronie et les Droites, c'est Kronos l'Avaleur, prêt à dévorer ses propres enfants pour déjouer sa fin annoncée, inéluctable. Ils sont déjà morts alors ils haïssent la vie, l'idée-même du changement ; ils emmèneront le monde dans leur sarcophage plutôt que de renoncer à une once de privilège.

Oui, évidemment ! :)

Nous étions enfermés, mais le futur m'avait semblé s'ouvrir.

Je sais que c'est un signe de grand privilège, mais j'en viens à être nostalgique des premiers jours du confinement. De cette grande interruption, du (prin)temps libéré, de l'extinction des tumultes, du calme des rues vides sauf d'oiseaux, contemplées depuis ma fenêtre.

Quand est-ce qu'on s'arrête, tous, qu'on tire le frein et qu'on arrête tout, pour souffler un bon coup, et réfléchir. Penser à ce qu'on veut, ce qu'on peut, et sur quels chemins on veut s'engager.

Je suis prof, je suis censé préparer des ados à leur avenir, mais d'avenir, ils n'en ont pas, ou alors conditionné aux soubresauts des délires d'hommes beaucoup trop riches et trop puissants.

Je suis le seul à trouver que ça n'a pas de sens de continuer à travailler, à effectuer nos tâches quotidiennes ? Que plus rien n'a de sens ?

plages et des sentiers de campagne, qui dans la fabrication de savons artisanaux, qui dans l'aide à la réinsertion, qui dans le soin aux personnes fragiles en tant qu'auxiliaires de vie, qui dans l'ermitage contemplatif... et surtout loin, très très loin de toute fonction de décision...

Après avoir été ainsi frappées par la révélation de leur nocivité, elles passeraient une année humainement très épanouissante à chercher la rédemption, qui dans la distribution de soupe populaire, qui dans le jardinage communautaire zen, qui dans l'agroforesterie permacole, qui dans le nettoyage des

Même aux immondes ordures qui nous dominent et nous gouvernent. À elles, je souhaite d'être frappé d'une épiphanie suite à la consommation d'un space cake aux champignons magiques, à la farine de seigle au LSD, parfumé à l'ayahuasca et glacé à l'ibogaïne.