Maëlig, le Piranha
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Maëlig, le Piranha
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Piranha ace, cis malheureusement.
Pronoms he/him de préférence pour le moment, ça va peut-être bientôt changer.
Gars misandre.
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Yes, but at the beginning of the previous page:
"Moperville South, after the final finals..."

It might be different in the US, but in France, all the finals take place the same day, for all highschools of the country.
October 6, 2025 at 11:34 AM
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Ooooh I hope we will have the opportunity to see the Dunkels parents interacting with Hope. The result may be interesting !
October 6, 2025 at 11:22 AM
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The finals aren't finished yet ?
October 6, 2025 at 11:21 AM
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En plus, c'est pas comme si l'Espagne était réellement socialiste. Elle est juste réellement social-démocrate, mais même ça paraît incompréhensible dans le paysage politico-médiatique français.
September 20, 2025 at 7:01 PM
Reposted by Maëlig, le Piranha
antoinehasday.bsky.social
il faut écouter ce que la gauche ukrainienne (très critique sur certains choix de Zelensky, notamment économique), nous dit sur la guerre www.mediapart.fr/journal/inte...
Quid de la guerre elle-même, ses causes et son avenir ? Qu’en ont à dire ces représentants de la gauche anti-autoritaire ? Beaucoup ne le cachent pas : le dialogue à ce sujet avec des militants non ukrainiens peut parfois être frustrant. Pour l’historien, soldat et socialiste Taras Bilous, il génère surtout « de la fatigue et de la déception » : « trop de temps à devoir réfuter la propagande russe manifestement fausse », « trop de temps à affirmer les prémices de base de l’autodétermination avec lesquelles tout militant·e de gauche devrait déjà être d’accord », et des débats trop souvent caractérisés par le « fait d’ignorer l’opinion des Ukrainiens », réduits soit à « des victimes passives avec lesquelles il faut compatir », soit à « des nazis qu’il faut condamner ». L’écrivain Artem Chapeye partage cette frustration. D’un ton généralement posé, il s’anime à l’évocation de ces « westplainers » – terme péjoratif désignant les Occidentaux qui tiennent à expliquer aux Européens de l’Est, en l’occurrence les Ukrainiens, leur propre histoire, et à leur donner leur avis sur ce qu’ils devraient faire. Il lui est particulièrement « pénible », dit-il, d’observer les manifestations, en Allemagne notamment, appelant à ne pas aider l’Ukraine. « Se dire de gauche et demander à ce qu’on ne livre pas d’armes à l’Ukraine parce que cela causerait une “escalade de la guerre” ? Mais alors, soit nous sommes massacrés, soit nous sommes opprimés pour cent nouvelles années. Si ces gens pensent que c’est mieux pour l’Ukraine d’être recolonisée, c’est qu’ils sont racistes et ne le comprennent pas », balaie-t-il. « Puisque nous sommes critiques de certaines choses, comme la politique de Zelensky par exemple, certains militants étrangers pensent que nous avons un jugement complètement différent [des autres Ukrainiens – ndlr] sur la guerre et les objectifs de la résistance ukrainienne », observe Olena Slobodian. « Du genre : “Oh, si vous comprenez que les syndicats sont importants, vous êtes probablement d’accord pour céder la Crimée !” », raconte la chercheuse et militante dans un rire navré. De fait, une petite musique, de plus en plus audible depuis l’échec de la contre-offensive ukrainienne de l’été 2023, suggère que, puisque la guerre semble stagner d’un point de vue militaire, il serait peut-être temps pour les Ukrainien·nes de déposer les armes pour négocier avec la Russie, quitte à céder une partie de leur territoire. Alors que s’ouvre une troisième année de guerre, et en dépit des terribles sacrifices qu’elle impliquera, militants et militantes de gauche d’Ukraine sont clairs : il n’en est pas question. Les Ukrainien·nes sont « fatigué·es », constate Hanna Perekhoda, mais cette fatigue se double d’un autre sentiment, lui aussi très présent dans la société : « L’envie que la lutte ne soit pas faite en vain. » Pour elle, les encouragements à négocier avec Poutine relèvent du « déni de réalité » : « J’y vois une envie de s’accrocher à un certain statu quo, où l’on vivait tranquillement sans se soucier de ces questions de guerre, où l’on commerçait avec des autocrates sans se poser de questions, où l’on consommait et on avait une vie paisible sans ces Ukrainiens qui demandent de leur fournir de l’aide financière et militaire. » Or, croire qu’il serait possible de revenir à ce statu quo à travers une solution locale, qui passerait par la cession d’une partie du territoire ukrainien à la Russie, est pour elle une « illusion », que certains entretiennent pour deux raisons : « Les acteurs politiques qui avancent cette solution sont soit politiquement naïfs – en pensant qu’il est possible de résoudre localement ce qui est en réalité une crise globale de l’architecture de sécurité internationale –, soit cyniques – en soutenant le projet d’un monde où la compétition impérialiste prédominerait, et où chaque grande puissance aurait sa zone d’influence. »
March 6, 2025 at 6:29 PM