Mais oui, tu as raison, évidemment. Allez, prends un Xanax, respire un coup… et essaie de pas te défouler sur les gosses demain.

Donc, si je résume : le prof qui m’interpelle parce qu’il n’est pas d’accord s’offusque ensuite que je lui réponde et en plus il s’attendait à être insulté. On imagine l’ambiance en classe quand un élève ose lever un sourcil. Tout s’explique, CQFD. Allez, bonhomme va faire dodo.

Samuel Paty, un homme courageux, lâchement abandonné par ses collègues et par l’Éducation nationale, puis honteusement récupéré par la droite pour servir ses récits. Et toi, tu viens te poser là, avec tes grands airs ? Tu crois être à la hauteur de ce qu’il incarnait ? Passe ton chemin.

J’aimais bien ta photo de profil… puis j’ai vu que tu bossais dans l’Éducation nationale. Dommage, le charme a expiré en même temps que ma foi en l’institution.

Choron n’a pas suivi Val en 91. Cavanna s’est fait avoir. Ils ont viré Siné, perdu au tribunal. Moi, j’ai souri. Cabu et Charb, respect. Le reste ? Je dis ce que je pense. Votre droite dure me fait doucement rire… Tellement sûre de votre bêtise qu’elle en devient grotesque.

Ce journal avait du souffle du temps de Cavana et Choron. Même après, il restait des grandes plumes. Mais en 2009, le virage a commencé : virer Siné, c’était clair. Aujourd’hui, c’est un journal de droite. Avec Fourest et Enthoven en visiteur du soir avec rond de serviette, rien d’étonnant.