C'est mieux de prendre touts les individus.
fonction de survie : avoir soutenu =1 et ne pas avoir soutenu =0
il faut aussi tenir compte de la censure à droite : ceux qui n'ont pas encore soutenu car en cours de thèse
www.youtube.com/watch?v=Reuq...

Un grand merci à Hélène Bretin pour son accompagnement tout au long du processus de publication de ce numéro spécial

Finalement, ce dossier invite les recherches à venir à mettre au jour l’héritage de logiques discriminantes et de distinctions qui sous-tendent la production universaliste du consentement à la contraception.

Nous encourageons les nouvelles publications à aller dans ce sens.

Une analyse des perceptions féminines face aux messages promotionnels, ou de la manière dont les médecins intègrent (ou contournent) les critiques des femmes envers les contraceptifs hormonaux, aurait aussi été précieuse.

Nous aurions aimé compléter ce numéro par des travaux sur la promotion de la contraception dans d'autres contextes, notamment en Afrique, où les usages sont souvent jugés insuffisants, justifiant parfois une promotion plus agressive.

Ce dossier montre que promouvoir la contraception, c’est aussi promouvoir une certaine vision de la société. Et cette vision mérite d’être interrogée.

3/ Enfin, retour en France avec l’article d’Alexandra Roux qui montre comment les intérêts communs des laboratoires pharmaceutiques et des médecins — via la figure de l’expert médical — ont contribué à construire une valence différentielle des contraceptifs, menant au «pilulocentrisme» français.

2/ Anne-Charlotte Millepied propose une traduction inédite d’un chapitre d’ouvrage d’article d’Elizabeth S. Watkins qui montre comment la pilule est progressivement devenue un lifestyle drug aux USA, càd davantage promue par les labos pharma pour ses effets jugés bénéfiques sur le corps des femmes.

1/ En France, Francis Senseigne montre que la défense de la «cause contraceptive» par les médecins psychiatres et gynécologues a fait de la contraception un véritable «opérateur de stylisation de l’existence» via la valorisation du plaisir sexuel au sein du couple hétéro et d'une certaine ascèse.

Nous proposons ainsi de repenser l’histoire de la diffusion de la pilule et du DIU, en relativisant l’idée d’un engouement «spontané» ou «naturel» des femmes pour ces méthodes.

Dans la lignée de ce que Senderowicz et Nandagiri (2025) ont appelé la "demand creation for contraception", nous y interrogeons les discours qui accompagnent la promotion de la contraception :
📌 Qui les produit ?
📌 Dans quel but ?
📌 Quelles valeurs y sont véhiculées ?

Nous encourageons les nouvelles publications à aller dans ce sens.

Une analyse des perceptions féminines face aux messages promotionnels, ou de la manière dont les médecins intègrent (ou contournent) les critiques des femmes envers les contraceptifs hormonaux, aurait aussi été précieuse.

Nous aurions aimé compléter ce numéro par des travaux sur la promotion de la contraception en Afrique, où les usages sont souvent jugés insuffisants, justifiant parfois une promotion plus agressive.

Ce dossier montre finalement que promouvoir la contraception, c’est aussi promouvoir une certaine vision de la société. Et cette vision mérite d’être interrogée.

3/ Enfin, retour en France avec l’article d’Alexandra Roux qui montre comment les intérêts communs des laboratoires pharmaceutiques et des médecins — via la figure de l’expert médical — ont contribué à construire une valence différentielle des contraceptifs, menant au «pilulocentrisme» français.