2/2 ➡️En principe, le mandat de Frontex ne lui permet pas d’intervenir directement hors de l’UE. Pour contourner cette limite, l’agence ne déploiera pas son propre personnel mais externalisera la surveillance à des acteurs privés, tout en recevant les images en temps réel à Varsovie.

2/2 ❌Le ministre affirme que « la naturalisation doit couronner l’intégration et non la précéder ». En réalité, cette rhétorique instrumentalise l’intégration pour marginaliser les personnes étrangères, considérées comme un risque pour l’homogénéité fantasmée de la nation.

3/3➡️En réalité, cet outil de « modernisation » de la gestion des frontières, vise à restreindre et à contrôler davantage les mobilités au sein de Schengen. Il participe de la criminalisation des personnes en migration, en faisant d’elles des suspects, du seul fait du franchissement de la frontière.

2/3 🚨Les informations collectées sont conservées pendant trois ans et peuvent être interconnectées avec d’autres bases de données, créant ainsi une traçabilité qui s’apparente à une mise sous surveillance. Le système facilitera également l’identification et l’expulsion des personnes exilées.

2/2 🇬🇷 Grèce : Séjour irrégulier = peine jusqu’à 5 ans de prison et 10 000 € d’amende.
🇪🇺 UE : Volonté d'élargir encore le mandat de #Frontex pour organiser des expulsions entre États tiers.
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➡️ Cette politique restrictive condamne les personnes en migration à l’insécurité juridique et à la précarité. Ce texte est la version amendée d’une loi censurée en juillet par la Cour constitutionnelle, il illustre ainsi la volonté du gouvernement de réduire drastiquement les mouvements migratoires.

👉 Ces tirs répétés contre les acteur·ice·s civil·e·s de sauvetage en mer ne sont jamais dénoncés officiellement.
🇪🇺 En finançant, formant et équipant les “garde-côtes” libyens, l’UE se rend complice de ces violences qui entravent la solidarité et bafouent les droits des personnes exilées.