Avant même la protection sociale, pour ces gens, même le travail n'est qu'un coût, qu'un poids, des charges, c'est bien trop généreux d'en "donner".

Ça ne résout pas le mystère de la non ouverture 🧐

Et moi à l'arrache tout d'un coup 😅
Mais en vrai j'aime bien clore/commencer l'année dessus, j'ai l'impression de retrouver une visibilité sur l'année écoulée.

Mais oui c'est vrai ?!
(en regardant les autres années, je m'aperçois qu'il ouvre dès l'été, alors que je ne m'en préoccupe qu'en décembre genre 🤣).

Il n'aurait pu voir le jour sans le financement et l'appui du Défenseur des droits et de ses équipes, l'implication des collègues membres de l'équipe de recherche, des collègues administratifs à notre appui logistique et, bien sûr, les participant(e)s à ces travaux des "deux côtés du guichet". 2/2

Non, bien sûr, aucune solution parfaite... Ce qui me convient bien aussi dans celle-ci, c'est de me rendre aussi mieux compte moi-même de mes rythmes de taf.

C'est ce que je faisais également, mais le souci que j'ai souvent rencontré, c'est qu'il suggère que je suis devant mon ordi et/ou réactive au téléphone..
Je trouve ça plus cool d'affirmer au passage le droit à s'organiser comme on le veut/peut de part et d'autre et le droit à la déconnexion aussi.

(Re)pensons-y quelques instants, mais fort, oeuvrons pour devenir une espèce moins cruelle.

Je me souviens ainsi d'un, donnant des chatons au petit frère,"regarde les bien comme ils sont mignons les petits chats, caresse les bien les petits chats, tu les entends ronronner les petits chats ?", avant d'en prendre un et de l'exploser contre le mur, puis tous, ravi de terroriser mon frère.

Plutôt que de les faire stériliser, on trouvait "plus pratique" d'exterminer systématiquement les portées de chatons. Souvent c'était une personne dédiée, qui pouvait varier les techniques, probablement les plaisirs aussi : noyade, bris de nuque, étouffement en sac plastique, enterrement vivant...

J'ai été élevée dans cette idée que les chats des fermes ne pouvant être exploités, sont ainsi des nuisibles. On en garde un pour satisfaire la sensiblerie des meufs, mais on voit ses os, son oeil infecté ne sera pas soigné, on refuse catégoriquement de contrôler sainement les naissances.

Les amis avec lesquels j'en ai discuté, venus des Antilles ou du Maghreb, entre autres, me confiaient, honteux, le sort réservé aux chats, dans l'idée que ce serait hélas "la culture". On n'est certainement pas en reste ici... ce n'est pas abusif de dire que c'est hélas généralisé.

Je me permets de mettre l'accent dessus car, sans en connaître les détails, la petite Azure que j'ai adoptée en refuge ces derniers jours est née à la Martinique. En cherchant, j'ai découvert des pratiques d'une cruauté sidérante au cœur même des refuges : la1ere.franceinfo.fr/martinique/con…