Si si, J’ai du beurre mou dans le frigidaire que je ne sais pas débiter en petites quantités, je vais leur écrire

20 Minutes qui réinvente l’eau chaude, littéralement.

Le pétrole de mon pétrole est mon pétrole.

Détention probablement aussi liée au fait que leur secteur psy ne souhaite pas particulièrement les prendre en charge à temps plein. Sempiternel paradoxe de ces enfermés - trop et toujours mal enfermés, que prisons et hôpitaux se renvoient mutuellement (le CRA entrant dans la danse en cas d’OQTF).

Si on se contente d’inverser les termes, il admet que la prison est faite pour les pauvres, ce qui est bien davantage un aveu (et un hommage probablement involontaire à Foucault) qu’une hot take.

C’est probable. L’histoire des droits de la défense est rythmée par le cycle de différents scandales criminels impliquant des personnes riches ou puissantes, de Panama à Pechiney.

Ah remarque, c’est une idée.

On va peut-être avoir besoin de plus de mots.

L’histoire fait des ronds dans l’eau comme ça, qui s’épuisent en s’élargissant. Là où l’histoire n’est pas plus un souvenir que le souvenir d’un souvenir, elle devient autre chose, qui ne peut plus se transmettre comme elle nous a été transmise. Ça m’angoisse comme toi.

Sur le terrain du champ lexical, je me faisais également la réflexion qu’il était étrange de ne pas parler du « libéralisme punitif » ; puisqu’apparemment il est accepté d’accoler ce terme à des mouvements politiques, n’en laissons pas l’exclusivité à l’écologie.

Oui, je ne doutais pas que nous serions d’accord à ce sujet :)

Les US leur ont fourni les armes, oui, et l’Europe en a créé le creuset.

Napo Babies, très étonnée d’être la première à le faire.

Je pencherais pour l’abortif tout court, qui aura le mérite de plaire aux journalistes à la recherche de mots courts pour titres chocs :)

Médicament abortif ? Ou un abortif tout court ?

C’est étonnant pourtant comme ce spectateur parvient à décrire la pièce avec justesse. En vrai, je me demande s’il n’a pas mieux compris ce texte qu’il ne le perçoit lui-même.

My two cents : quand on en arrive à ce genre de cas limites, c’est que la constitution ne joue plus son rôle. Elle n’est plus qu’une To Do list de formalismes dont on perd le sens et la portée, mais ne fonde plus ni n’encadre les institutions qu’elle est supposée définir. Quelle modèle de crise.