👉 Laurence Muller-Bronn, Sénatrice du Bas-Rhin
👉 Louis-Jean de Nicolaÿ, Sénateur de la Sarthe
👉 Elsa Schalck, Sénatrice du Bas-Rhin
👉 Sylvie Valente-le-Hir, Sénatrice de l’Oise
👉 Michaël Weber, Sénateur de la Moselle

👉 Sabine Drexler, Sénatrice du Haut-Rhin
👉 Michèle Gréaume, Sénatrice du Nord
👉 Ludovic Haye, Sénateur du Haut-Rhin
👉 Christine Herzog, Sénatrice de la Moselle
👉 Christian Klinger, Sénateur du Haut-Rhin
👉 Vivette Lopez, Sénateur du Gard

Les signataires :

👉 Mathilde Ollivier, Sénatrice des Français établis hors de France
👉 Jacques Fernique, Sénateur du Bas-Rhin
👉 Cédric Chevalier, Sénateur de la Marne
👉 Ronan Dantec, Sénateur de Loire-Atlantique
👉 Franck Dhersin, Sénateur du Nord
👉 Elisabeth Doineau, Sénatrice de la Mayenne

👉 Nous nous battrons, lors du débat du Projet de Loi de Finances (PLF) au Sénat — comme nos collègues l’ont fait à l’Assemblée nationale — pour que cette dotation soit maintenue.

Car préserver ces trains, c’est défendre une France et une Europe du rail, connectées, sobres et ambitieuses.

Alors que certains projets ferroviaires se développent partout en Europe, la France ne peut pas tourner le dos à la renaissance des trains de nuit.

❌ Supprimer ces lignes serait une erreur politique, écologique et stratégique.

📣 Écologistes, socialistes, centristes, les Républicains, communistes : nous partageons la conviction que ces lignes sont stratégiques pour l’avenir du transport ferroviaire européen, pour la décarbonation de nos mobilités et pour le rayonnement de Strasbourg, capitale européenne.

👉 Laurence Muller-Bronn, Sénatrice du Bas-Rhin
👉 Louis-Jean de Nicolaÿ, Sénateur de la Sarthe
👉 Elsa Schalck, Sénatrice du Bas-Rhin
👉 Sylvie Valente-le-Hir, Sénatrice de l’Oise
👉 Michaël Weber, Sénateur de la Moselle

👉 Sabine Drexler, Sénatrice du Haut-Rhin
👉 Michèle Gréaume, Sénatrice du Nord
👉 Ludovic Haye, Sénateur du Haut-Rhin
👉 Christine Herzog, Sénatrice de la Moselle
👉 Christian Klinger, Sénateur du Haut-Rhin
👉 Vivette Lopez, Sénateur du Gard

Les signataires :

👉 Mathilde Ollivier, Sénatrice des Français établis hors de France
👉 Jacques Fernique, Sénateur du Bas-Rhin
👉 Cédric Chevalier, Sénateur de la Marne
👉 Ronan Dantec, Sénateur de Loire-Atlantique
👉 Franck Dhersin, Sénateur du Nord
👉 Elisabeth Doineau, Sénatrice de la Mayenne

👉 Nous nous battrons, lors du débat du Projet de Loi de Finances (PLF) au Sénat — comme nos collègues l’ont fait à l’Assemblée nationale — pour que cette dotation soit maintenue.

Car préserver ces trains, c’est défendre une France et une Europe du rail, connectées, sobres et ambitieuses.

Alors que certains projets ferroviaires se développent partout en Europe, la France ne peut pas tourner le dos à la renaissance des trains de nuit.

❌ Supprimer ces lignes serait une erreur politique, écologique et stratégique.

📣 Écologistes, socialistes, centristes, les Républicains, communistes : nous partageons la conviction que ces lignes sont stratégiques pour l’avenir du transport ferroviaire européen, pour la décarbonation de nos mobilités et pour le rayonnement de Strasbourg, capitale européenne.

Nous devons garantir la dignité, la sécurité et l’avenir de nos jeunes.

🎓 L’université n’est pas un marché : c’est un bien commun.

Nous devons au contraire réformer le système de bourses
et garantir un véritable soutien social pour chaque étudiant·e !

Quand on sait que certaines étudiantes se voient proposer du “marchandage sexuel” pour se loger, c’est tout notre modèle qui vacille.

Nous, écologistes, l’avons soutenu dans cette démarche
et nous nous sommes également opposés à cet axe.

La hausse des frais aggravera la situation avec des étudiant·es contraint·es, endetté·es, parfois en détresse.

🚫 On ne lutte pas contre la précarité en la renforçant.

La droite sénatoriale a maintenu l’axe 5 qui proposait “d’ouvrir une réflexion sur l’augmentation progressive des droits d’inscription et la sélectivité”.

⚠️ Une ligne rouge pour nous.

👉 Face à cette orientation, David Ros rapporteur socialiste, a refusé l’axe 5 et s’est retiré de la mission.

Cette situation fragilise profondément l’enseignement supérieur, les personnels comme les étudiant·es.

Face à cette crise, nous souhaitions travailler ensemble pour restaurer la confiance, sans sacrifier la justice sociale.

Malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu…

Une mission d’information au Sénat s’est penchée sur les relations entre l’État et les universités.

Le constat est alarmant : la confiance est rompue, les budgets sont en déficit et les universités asphyxiées.

📉 À la fin de l’année 2024, 58 établissements sur 75 étaient déjà en déficit.