Et que dire de cette revendication d'accompagner "la folie", retour à une étiquette moyenâgeuse vide de sens faute d'accepter les classifications diagnostiques internationales?🫨

logique de l efficacité évaluée sur des données probantes en ce qui concerne les thérapies non pas des concepts philosophiques tels que la liberté. La question du financement porte sur les soins et non sur des concepts philosophiques. Le parallèle était fallacieux. Bonne soiree également.

Étiqueté « TDAH » rappelons que le psychiatre psychanalyste invité conteste l existence des troubles neuro developpementaux. @quentinlafay.bsky.social un débat avec une psychologue TCCiste en plus de @franckramus.bsky.social

ramus-meninges.fr/2021/07/12/l...

D'ailleurs, à propos de la désinformation des psychanalystes (dont Elsa Godart) sur le TDAH:
ramus-meninges.fr/2017/09/26/l...
et:

précédente à 18:55. Ce qui lui a permis de conclure l'émission en désinformant sur le TDAH sans aucune contradiction.

Mais enfin @quentinlafay.bsky.social la répartition du temps de parole !!!

Oui je vois aussi dans cet échange un signal d'autorisation pour tous les fafs du monde qui niaient être fascistes à désormais dire qu'ils le sont, "bien sûr, LOL". Une étape de plus dans le pourrissement. Ça devrait pas nous faire marrer.

Les commentaires en mode virilistes aussi.
Et alors ceux qui joue le "Mamdani I a snake charmer", comment dire🙃
Snap out of it.

la récupérer. Difficile de les interrompre quand ils sont lancés dans leurs grandes tirades grandiloquentes. Et pour couronner le tout, au bout de 5 minutes de délire, ils n'ont toujours pas répondu à la question. Quentin s'en est aperçu et a commis l'erreur fatale de reposer à Sciara la question

Dommage... débat déséquilibré : 2 vs 1.
La base de la psychanalyse est bidon sauf pour ceux qui y croient. Que la médecine prenne peu/mal les pb psychologique c'est un fait. Que la médecine s'améliore : oui.
Autrement, ça ouvre la porte à des dingueries comme bsky.app/profile/gmil...

La moindre des choses, quand on prétend vouloir soutenir une victime d'agression, est d'écouter ce dont a besoin cette victime. Ne pas décider à sa place.
Est-ce qu'un soutien comporte un coût? Oui, toujours. Est-ce qu'on s'expose à la violence de l'agresseur en soutenant une victime? Oui, aussi.

A gauche on a tendance à vouloir soutenir une victime d'agression (enfin, j'espère). C'est la manière dont on le fait qui varie. Celleux qui appellent "à la paix" sous prétexte de vouloir que la boucherie cesse (on le souhaite toustes), semblent le faire par excès de souci de "protection" des civils

Si l'on transpose à la situation en Ukraine: un pays clé de l'espace post-soviétique, agressé par une puissance neoimpérialiste qui a perdu le contrôle sur ce pays, et, du coup, l'agresse. Une situation de violences post-séparation.

D'abord un résumé des travaux de Hester qui s'inscrivent dans la sociologie des orgas. Elle part du constat des mères victimes de violences (maj post-séparation) & professionnel.le.s qui les accompagnent. Elle explique que ces mères sont confrontés à 3 planètes: pénal, civil, protection des enfants.

Ces 3 planètes ont chacun leur histoire, pratiques pro et normes, et surtout, des objectifs différents. Le pénal punit sans protéger, le civil tente de médier sans prendre en compte les rapports de force, le social protège les enfants, en écartant les conditions des parents (en gros, c'est +nuancé)