Les cloches sonnent
Dans un effet de manche
Le polymorphe donne
De la voix
A sa joie
C’est dimanche
Il se penche
Sur sa page
Il se met
A l’ouvrage
C’est parfait
Les cloches sonnent
Mon sonnet sonne
Les cloches sonnent
Dans un effet de manche
Le polymorphe donne
De la voix
A sa joie
C’est dimanche
Il se penche
Sur sa page
Il se met
A l’ouvrage
C’est parfait
Les cloches sonnent
Mon sonnet sonne
lepolymorphe.blogspot.com/2025/12/100-...
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Chaque jour ,la vie du jour
Parfois elle fait envie
Et on aime son parcours
Et d’ailleurs on le raconte
Pour que dans le souvenir
Là à la façon des contes
On puisse y revenir
Aujourd’hui c’est samedi
Dont on pousse le caddie
Bien sûr on va le remplir
Ça va nous faire plaisir
Chaque jour ,la vie du jour
Parfois elle fait envie
Et on aime son parcours
Et d’ailleurs on le raconte
Pour que dans le souvenir
Là à la façon des contes
On puisse y revenir
Aujourd’hui c’est samedi
Dont on pousse le caddie
Bien sûr on va le remplir
Ça va nous faire plaisir
Qui revient
Pour étoffer
Le matin
De ce jour phare
Qui éclaire
Nos regards
Sur l’univers
C’est une fée
Qui t’emporte
Juste une fée
Qui ma foi
Ouvre la porte
A la joie
De voir les fées
Étoffer
Ce mercredi
Qui revient
Pour étoffer
Le matin
De ce jour phare
Qui éclaire
Nos regards
Sur l’univers
C’est une fée
Qui t’emporte
Juste une fée
Qui ma foi
Ouvre la porte
A la joie
De voir les fées
Étoffer
Ce mercredi
Au cœur même de l’image
Qu’il va définir
La pensée dérive
Comme un feu qui se propage
Rapproche les rives
La légèreté
Se fait de plus en plus vive
Gaie et agitée
La pensée dérive
Dans l’aire de ce sourire
Le jour fait plaisir
A voir aujourd’hui
C'est bien vendredi
Au cœur même de l’image
Qu’il va définir
La pensée dérive
Comme un feu qui se propage
Rapproche les rives
La légèreté
Se fait de plus en plus vive
Gaie et agitée
La pensée dérive
Dans l’aire de ce sourire
Le jour fait plaisir
A voir aujourd’hui
C'est bien vendredi
Du vice à la vertu
C’est l’affaire du temps
Mais les faits sont têtus
Du vice à la vertu
Où est la retenue
Qui voit le mouvement
Du vice à la vertu
C’est l’affaire du temps
Sourire du jour
Du vice à la vertu
C’est l’affaire du temps
Mais les faits sont têtus
Du vice à la vertu
Où est la retenue
Qui voit le mouvement
Du vice à la vertu
C’est l’affaire du temps
Sourire du jour
lepolymorphe.blogspot.com/2025/11/mill...
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De donner ce qu’on a , ces petits riens
Qui viennent en nous éveiller l’être libre
Il ne faudrait pas oublier de vivre
Pour donner à l’âme son équilibre
Cet accord qui tisse le quotidien
Il ne faudrait pas oublier de vivre
De donner ce qu’on a ,ces petits riens
De donner ce qu’on a , ces petits riens
Qui viennent en nous éveiller l’être libre
Il ne faudrait pas oublier de vivre
Pour donner à l’âme son équilibre
Cet accord qui tisse le quotidien
Il ne faudrait pas oublier de vivre
De donner ce qu’on a ,ces petits riens
Sur la palette des humeurs
C’est l’heure du choix, à toi de voir
Laquelle ici est la meilleure
Sur la palette des humeurs
Celle du tendre a la chaleur
Qui convient à l’air de l’histoire
Sur la palette des humeurs
C’est l’heure du choix, à toi de voir
Mais je crois que c’est déjà vu
Sur la palette des humeurs
C’est l’heure du choix, à toi de voir
Laquelle ici est la meilleure
Sur la palette des humeurs
Celle du tendre a la chaleur
Qui convient à l’air de l’histoire
Sur la palette des humeurs
C’est l’heure du choix, à toi de voir
Mais je crois que c’est déjà vu
A peine en franchit-on le seuil
Le sourire nous accapare
Le jour nous fait un bon accueil
A peine en franchit-on le seuil
Cette émotion que l’on recueille
Donne de l’éclat à nos regards
A peine en franchit-on le seuil
Le sourire nous accapare
Le jour nous fait un bon accueil
A peine en franchit-on le seuil
Le sourire nous accapare
Le jour nous fait un bon accueil
A peine en franchit-on le seuil
Cette émotion que l’on recueille
Donne de l’éclat à nos regards
A peine en franchit-on le seuil
Le sourire nous accapare
Le jour nous fait un bon accueil
On évoque la mort
Toujours avec prudence
Puis on fait le mort
On évoque la mort
Jamais sa propre mort
C’est dire d’évidence
Qu’on évoque la mort
Toujours avec prudence
On est dans l’entre deux
Tous les saints on honore
Comme il faut sous les cieux
On salue tous nos morts
On évoque la mort
Toujours avec prudence
Puis on fait le mort
On évoque la mort
Jamais sa propre mort
C’est dire d’évidence
Qu’on évoque la mort
Toujours avec prudence
On est dans l’entre deux
Tous les saints on honore
Comme il faut sous les cieux
On salue tous nos morts
Parfois ça suffit
Et si on s'entête
La méthode couette
Laisse dans la tête
Le pli de ses plis
La méthode couette
Parfois ça suffit
A faire l'origami
D'une journée réussie
Parfois ça suffit
Et si on s'entête
La méthode couette
Laisse dans la tête
Le pli de ses plis
La méthode couette
Parfois ça suffit
A faire l'origami
D'une journée réussie
Que la chance est favorable
A qui sait la saisir là
Mais que nous dit l’almanach
Lundi n’est pas que tracas
Le hasard peur être aimable
Et la chance bien favorable
A qui sait la saisir là
C’est ce que dit l’almanach
Alors écoutons-le là
C’est lundi et pourquoi pas
Que la chance est favorable
A qui sait la saisir là
Mais que nous dit l’almanach
Lundi n’est pas que tracas
Le hasard peur être aimable
Et la chance bien favorable
A qui sait la saisir là
C’est ce que dit l’almanach
Alors écoutons-le là
C’est lundi et pourquoi pas
Il a bien le goût des fables
Il le dit dans un sourire
Aussi trouble qu’improbable
Il a bien le goût des fables
Et cette folie aimable
Toujours le pousse à écrire
Tous ces vers à l’air des fables
Qui bien sûr nous font sourire
Dans l’air doux de ce dimanche
Il a bien le goût des fables
Il le dit dans un sourire
Aussi trouble qu’improbable
Il a bien le goût des fables
Et cette folie aimable
Toujours le pousse à écrire
Tous ces vers à l’air des fables
Qui bien sûr nous font sourire
Dans l’air doux de ce dimanche
On tisse le soi
En taillant le moi
Et on s’aperçoit
Dans un vif émoi
Que déjà le moi
Après taille reste
Là par devers soi
Capable d’un geste
Débordant de joie
Là loin de l’ego
On redevient soi-
Même c’est cadeau
Qui point ne déçoit
A tisser le soi
On tisse le soi
En taillant le moi
Et on s’aperçoit
Dans un vif émoi
Que déjà le moi
Après taille reste
Là par devers soi
Capable d’un geste
Débordant de joie
Là loin de l’ego
On redevient soi-
Même c’est cadeau
Qui point ne déçoit
A tisser le soi
Il faut trois fois plus d’énergie
Certains jours pour tenir son rang
Cela ressemble à de la magie
Il faut trois fois plus d’énergie
Pour trouver cette synergie
Qui donne de l’allant à l’élan
Il faut trois fois plus d’énergie
Certains jours pour tenir son rang
Il faut trois fois plus d’énergie
Certains jours pour tenir son rang
Cela ressemble à de la magie
Il faut trois fois plus d’énergie
Pour trouver cette synergie
Qui donne de l’allant à l’élan
Il faut trois fois plus d’énergie
Certains jours pour tenir son rang
Il est temps maintenant de dire
Ce qui en toi est invisible
La face cachée du sourire
Il est temps maintenant de dire
Tout ce qui là te fait souffrir
Dire et répéter l’indicible
Il est temps maintenant de dire
Ce qui en toi est invisible
Le Polymorphe errant
Il est temps maintenant de dire
Ce qui en toi est invisible
La face cachée du sourire
Il est temps maintenant de dire
Tout ce qui là te fait souffrir
Dire et répéter l’indicible
Il est temps maintenant de dire
Ce qui en toi est invisible
Le Polymorphe errant
Les mots que je trace
Sur ma feuille de papier
Font vibrer l’espace
D’un plaisir bien vif
Je m’y livre tout entier
Les mots intuitifs
Posent le poème
Dont l’humeur de l’écriture
Porte haut le thème
Du cadre idéal
De ce jour qui s’aventure
D’un air magistral ....
Les mots que je trace
Sur ma feuille de papier
Font vibrer l’espace
D’un plaisir bien vif
Je m’y livre tout entier
Les mots intuitifs
Posent le poème
Dont l’humeur de l’écriture
Porte haut le thème
Du cadre idéal
De ce jour qui s’aventure
D’un air magistral ....
Pour changer le réel
Il faut oser l’humour
Lui faire la part belle
Et aller au plus court
En déployant les ailes
Du rire sans détour
Il faut oser l’humour
Pour changer le réel
D’un mot qui étincelle
Dans l’espace du jour
Tourner la manivelle
Pour changer le réel
Il faut oser le réel
Pour changer le réel
Il faut oser l’humour
Lui faire la part belle
Et aller au plus court
En déployant les ailes
Du rire sans détour
Il faut oser l’humour
Pour changer le réel
D’un mot qui étincelle
Dans l’espace du jour
Tourner la manivelle
Pour changer le réel
Il faut oser le réel
Il y a la vie
Sa part de rêve
Et son cauchemar
Il y a l’envie
Qui alors s’élève
Au point d’équilibre
Laissant l’être libre
De vivre sa vie
Ses rêves éblouis
Sortant du brouillard
De ses cauchemars
Il y a la vie
Toutes ses envies
Qui touchent à l’étrange
De la vie de l’ange...
Il y a la vie
Sa part de rêve
Et son cauchemar
Il y a l’envie
Qui alors s’élève
Au point d’équilibre
Laissant l’être libre
De vivre sa vie
Ses rêves éblouis
Sortant du brouillard
De ses cauchemars
Il y a la vie
Toutes ses envies
Qui touchent à l’étrange
De la vie de l’ange...
L’écho de la vie
Est le son du jour qui point
Qu’on entend ravi
Qui vient de la nuit
Pour briller dans cet écrin
Qu’on ouvre pour lui
L’éclat cristallin
De ses vers tintinnabule
Au petit matin
L’émotion circule
A la lumière du regard
Le jour s’en empare
L’écho de la vie
Est le son du jour qui point
Qu’on entend ravi
Qui vient de la nuit
Pour briller dans cet écrin
Qu’on ouvre pour lui
L’éclat cristallin
De ses vers tintinnabule
Au petit matin
L’émotion circule
A la lumière du regard
Le jour s’en empare
Il souffle ses vers
A visage découvert
On voit qu’il s’amuse
Le temps de 3 vers
Sous le regard de sa Muse
Il essuie ses vers
Et là tout est net
Il sourit d’un air hardi
Et pourtant honnête
On voit le tableau
Il fait entrer vendredi
Au cœur du tableau
Il souffle ses vers
A visage découvert
On voit qu’il s’amuse
Le temps de 3 vers
Sous le regard de sa Muse
Il essuie ses vers
Et là tout est net
Il sourit d’un air hardi
Et pourtant honnête
On voit le tableau
Il fait entrer vendredi
Au cœur du tableau