Bref, entre ça et la programmation de Slaughter to Prevail au Motocultor (lire l‘article de @lebenjung.bsky.social sur @mediapart.fr : www.mediapart.fr/journal/fran...), encore un beau mois d’août sous le signe de la perméabilité de la scène metal « mainstream » aux idéologies d‘extrême droite.

"Je pense que tous les dirigeants européens rencontrés à Paris nous soutiennent. Nous ne sommes pas seuls. C'est un mauvais signal pour Poutine."

"Je pense que la sécurité de l'Europe repose aujourd'hui sur l'Ukraine. Les décisions doivent être prises rapidement. L'Ukraine n'a pas le même tempo que le reste du monde."

-Zelensky

"Poutine n'est pas près aux négociations en direct, alors que je suis prêt à une n'importe quel format de négociation dans le but de mettre fin à cette guerre, je n'ai pas peur. Poutine, lui, a envie que cette guerre perdure."

-Zelensky

"Nous insistons sur le besoin de partager les licences de systèmes d'armements avec nos partenaires, pour que nous puissions produire ces armes plus vite et à moindre coût."

-Zelensky

"Le mandat d'un contingent international concernerait la formation de l'armée ukrainienne, la co-production de technologie militaire, et la sécurité."

-Zelensky

"L'Europe doit être présente à la table des négociations pour la paix. C'est une des conditions ukrainiennes. Nous souhaitons que l'Europe y soit représentée par le tandem franco-britannique."

-Zelensky

"Nous voulons que les garanties de sécurité soient maintenues par par une présence en Ukraine de l'Europe mais aussi des États-Unis. Je ne sais pas quelle est la position des USA sur la question pour l'instant."

-Zelensky

"Nos partenaires insistent sur le fait que les sanctions contre la Russie ne seront pas levées. Il y aura même de nouveaux paquets."

"Nous parlons avec E. Macron et K. Starmer de renforcer l'armée Ukrainienne."

"Il y aura une rencontre franco-brit, avec d'autres pays, pour réfléchir à un contingent international."

"La Russie ne peut pas dicter la manière dont les autres pays gèrent leur armée."

-Zelensky

"Pour l'instant je n'ai pas prévu d'aller à Washington. Ce n'est pas à l'ordre du jour."

Concernant un accord sur les sols Ukrainiens : "Nos juristes y travaillent. Je ne veux pas que les USA pensent que l'Ukraine est contre. Nous sommes pour la coopération."

- Zelensky

"Le Kremlin cherche à séparer l'Europe des États-Unis. Nous voulons une Amérique plus forte et nous avons besoin que les États-Unis soient plus fermes à l'égard de la Russie."

"Je veux aussi remercier la grande Bretagne. Ces deux pays sont les moteurs et accélérateurs de la coalition des audacieux."

-Zelensky

"Je tiens à remercier l'audace de la France dans son soutien à l'Ukraine face au défi que représente l'agression de la Russie, notamment en soutenant notre armée et aussi nos civils."

-Zelensky