Une association abolitioniste catholique transphobe et opposée à la GPA, en partie financée par la thune confisquée aux TDS via l'AGRASC, a fait une étude sur un panel de leurs usagères dont 81% ne sont plus TDS, en partenariat avec une psy de leur assoc.

On va y aller mollo sur les conclusions.

Sinon on peut aussi arrêter de conditionner l'accès aux aides à la sortie de la prostitution et de criminaliser les proches et les soutiens des TDS, lutter pour leurs droits et leur accès aux soins, pour les droits des sans papiers, contre les VSS...

Sinon on peut sortir les chifffres et les études sur les conséquences délétères des lois abolitionistes et de la répression policière et politique sur les TDS et sur les victimes de traite humaine qu'elles prétendent aider ?
Juste comme ça, pour voir...

Une association abolitioniste catholique transphobe et opposée à la GPA, en partie financée par la thune confisquée aux TDS via l'AGRASC, a fait une étude sur un panel de leurs usagères dont 81% ne sont plus TDS, en partenariat avec une psy de leur assoc.

On va y aller mollo sur les conclusions.

Cette pratique d’identification s’est développée et a été tolérée pendant des années. Pourtant, elle est totalement contraire à l’esprit du TES et aux avis du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État et de la CNIL. Nous demandons que le ministère de l’Intérieur rende des comptes et soit sanctionné

Ceux-ci peuvent ensuite comparer la photo du visage à d’autres images, notamment de vidéosurveillance, pour confirmer ou infirmer leurs soupçons sur l’identité d’une personne.

Elle s'arroge ainsi le pouvoir d'identifier toute personne, à partir de ses données biométriques, ce qui lui est normalement interdit. Aussi bien l’ANTS qui gère la partie informatique que les agents des préfectures qui instruisent les dossiers transmettent des photos et empreintes à des policiers.

La police judiciaire ne dispose d’aucun accès direct au TES sauf dans les cas de terrorisme. Pourtant elle contourne cet interdit en exigeant, via des réquisitions judiciaires, que les administrations chargées de la fabrication et de la délivrance des titres leur transmettent les informations du TES

Pendant des années, on nous a promis qu'au grand jamais le TES ne pourrait être utilisé pour identifier des personnes et qu’il y avait suffisamment de garanties pour éviter les abus. Nous venons de transmettre à la CNIL des preuves démontrant pourtant que ce risque s’est bel et bien concrétisé.

Depuis toujours, le fichier TES est massivement critiqué. En centralisant au même endroit les liens entre données biométriques et identité civile de la quasi-totalité de la population, il permet à quiconque y accédant de d'identifier une personne à partir de son visage ou d'une empreinte digitale.