C’est un thème majeur des discours sur la langue au Québec depuis les premiers textes publiés. La « première «  pièce de théâtre a d’ailleurs pour titre « L’anglomanie » (c. 1803)

Tardivel, un ultramontain québécois, au publié un tract intitulé « l’anglicisme, voilà l’ennemi » en 1879: beq.ebooksgratuits.com/pdf/Tardivel...

Bravo @lariviev.bsky.social ! Je me sens tout honoré de te connaître et fier qu’on reconnaisse ainsi l’excellence de ton travail.

J’aimerais, je voudrais vraiment qu’il y ait des différences majeures, une distance significative sur ce point. Je suis triste et ahuri de voir un tel discours être au pouvoir chez nous aussi. Au moins, nous n’avons pas de ICE… J’en suis rendu à être content de cela

On déprime? On rêve de lancer un wrench dans les engrenages de l’IA? On écrit des textos fâchés sur Bluesky?

S’il y avait une collectivisation, ou du moins l’espoir d’un contrôle public, peut-être que je verrais cela différemment. Mais en ce moment-ci, je ne sais plus si je défendrais à fond la nationalisation, tant j’ai peu confiance aux responsables politiques actuels.

C’est le lien entre l’IA, le quasi monopole des géants de la tech, les formes de collecte omniprésentes de données, l’extractivisme capitaliste ainsi engendré et l’alliance avec les fachos. Voilà ce qui m’inquiète.
Après qu’on puisse faire de magnifiques choses avec l’IA, certes.

Très bon épisode! Il y a de quoi réfléchir en effet aux médias de gauche, et pas tant (de mon point de vue) en termes de populisme que de langages, formes et publics. Avoir un Chartrand et un Piotte, ensemble, dans un mouvement, cela élargit et approfondit les luttes, il me semble.

Quand ta grille d’analyse reprend à peu près celle de la thèse de MBC, je me pose des questions.

Perso, je sais quelles sont mes positions sur ces sujets, et je sais qu’elles sont idéologiques, car il y a là plusieurs combats, mais je ne prétendrais pas que la science parle à travers moi.

Le contraste est tellement gigantesque entre la prétention à la scientificité et à l’ouverture, d’une part, et la combativité dogmatique de leurs positions, qui ramènent à l’essentialisme « naturel » et au « gros bon sens ».