@amnestyfrance.bsky.social a déposé une plainte auprès de l'Arcom pour manquement de #TikTok à ses obligations au titre du #DSA.

La Commission européenne doit de toute urgence examiner ces nouvelles preuves dans le cadre de son enquête en cours sur #TikTok.
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Les principales fonctionnalités de conception de #TikTok mises en œuvre par défaut, notamment la lecture automatique, le défilement infini et les recommandations de contenu dans son fil "Pour toi", contredisent les lignes directrices de l’UE sur la protection de mineurs dans le cadre du #DSA.

#TikTok met notamment en avant l’application préventive de sa charte, les filtres et la fonction "rafraîchir" pour renouveler le fil.

Des mesures, déjà en place en 2023, qui s’avèrent inadéquates et insuffisantes au regard des résultats de notre enquête technique.
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Microsoft doit désormais examiner tous ses contrats, ventes et transferts de matériel de surveillance et systèmes d'IA à Israël, et s'assurer qu'ils ne sont pas utilisés dans le cadre des violations des droits humains commises par Israël contre des Palestinien·ne·s.
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Suite à une enquête menée par The Guardian, +972 Magazine et Local Call, Microsoft aurait mis fin à l'utilisation d'une partie de sa technologie de stockage Azure Cloud par l'unité 8200, une unité militaire d'élite israélienne, dans le cadre de la surveillance de masse des Palestinien·ne·s.

Les entreprises et de nombreux pays, tels que la Chine, les EAU, la France, l’Allemagne, le Canada et les USA, continuent de manquer à leur devoir de réglementer, contrôler et assurer la transparence des exportations de technologies de surveillance qui contribuent à des violations de droits humains.

Le système LIMS permet l'interception de la localisation des téléphones, des appels téléphoniques et des SMS par des agents de l'État, y compris des agents des services de renseignement pakistanais.

Il permet de surveiller plus de 4 millions de personnes à la fois.

Cette technologie, qui a permis le déploiement d'un nouveau pare-feu au Pakistan en 2023, utilise des composants matériels et logiciels fournis par Niagara Networks (États-Unis) et Thales (France).

@amnesty.org estime que la technologie fournie par l'entreprise chinoise Geedge Networks pour le WMS 2.0 est une version commercialisée de la "Grande Muraille électronique", un outil exhaustif de censure étatique élaboré et déployé en Chine et maintenant dans d’autres pays également.

Au Pakistan, le nouveau Système de surveillance d’Internet (WMS 2.0) et le Système de gestion des interceptions légales (LIMS) fonctionnent comme des tours de guet, espionnant en permanence la vie des citoyens ordinaires.

SMS, appels et accès à Internet, tout est surveillé.

. @amnesty.org attire l’attention sur le pouvoir que les grandes entreprises technologiques, notamment #Google, exercent sur l’accès à Internet et appelle les États à limiter leur domination. 👇
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Le juge fédéral américain Amit Mehta a décidé que #Google n’avait pas à vendre son système d’exploitation Android ni son navigateur Chrome, mais que l'entreprise devait partager ses données de recherche avec la concurrence.

Voici le lien : www.amnesty.org/en/documents...

. @amnesty.org appelle la Commission européenne à élargir ses enquêtes actuelles sur X afin d'inclure la manière dont la plateforme traite les risques encourus par les personnes #LGBTI.
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Les manquements répétés de X en Pologne démontrent que l'entreprise n'a pas su répondre aux risques systémiques qu'elle fait peser sur les droits fondamentaux, comme elle est tenue de le faire en vertu de la loi sur les services numériques #DSA.

Selon une militante polonaise, comparer les personnes #LGBTI à "des animaux, des violeurs, des pédophiles" est acceptable sur X.

La plateforme est devenue un terrain propice aux contenus constitutifs de violence liée au genre facilitée par la technologie.
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