C'est très particulier - je n'ai pas voulu parler de son cas hier précisément puisqu'elle a retiré sa publication, pour ensuite afficher une nouvelle annonce de désistement aujourd'hui, plus longue, plus... soignée. Voilà. J'imagine que le parti a eu son mot à dire dans cette reformulation.

Je disais aux enfants (quand ils étaient encore petits!) en passant du bitume plein soleil aux endroits bordés d'arbres: "Prenez une grande gorgée d'ombre" 🌳

Ouiiiii C'était un super de beau but, ça !

Je passe par là très souvent, les virages sont compliqués même pour les cyclistes en raison de l'achalandage et l'emplacement de la piste ! Mes pensées à cette cycliste accidentée.

Faire la démonstration d'autres possibilités - en permettant un temps d'adaptation - et laisser le temps faire son oeuvre pour arriver au fameux point de bascule.

Il est alors important de mettre en place des systèmes alternatifs pour «retranscrire» dans notre imagination l'éventail de possibilités de déplacement, la relation espace-temps; passer trop rapidement à une interdiction automobile provoquera un mouvement de refus en raison de cette confrontation.

Celui ou celle qui s'attaque à cet enjeu devra s'armer de patience car il ne s'agit pas d'une simple négotiation entre modes de déplacement: il s'agit d'une confrontation dans les expériences internalisées d'espace-temps, totalement reconstruit par le paradigme automobile.

L'exemple que j'ai donné (la place de l'automobile dans les Villes) est un système transformationnel bien enraciné, et qui génère des enjeux tels que : pollution atmosphérique (GES) visuelle et sonore; sécurité publique, inéquité dans l'attribution de l'espace public; étalement urbain entre autres.