Johann Fleuri
@jfleuri.bsky.social
Journaliste indépendante basée à Tokyo.
✍️Correspondante Japon pour @ouest-france.fr et @mediapart.fr Bosse aussi pour TempuraMag.
✍️Correspondante Japon pour @ouest-france.fr et @mediapart.fr Bosse aussi pour TempuraMag.
« Traditionnellement, c’est un sport d’hommes », répétait pourtant Nobuyoshi Hakkaku, président de la Fédération nationale japonaise du sumo, lors d’une conférence de presse donnée en début d’année. Ignorant ainsi celles qui ont marqué les annales du sumo, comme par exemple Waka Midori (1911-1977).
November 6, 2025 at 4:14 AM
« Traditionnellement, c’est un sport d’hommes », répétait pourtant Nobuyoshi Hakkaku, président de la Fédération nationale japonaise du sumo, lors d’une conférence de presse donnée en début d’année. Ignorant ainsi celles qui ont marqué les annales du sumo, comme par exemple Waka Midori (1911-1977).
Mais durant Meiji, alors que le Japon est en pleine transformation sociale et politique, les femmes perdent le droit d’être des sumos reconnues. Jugées impures du sang de leurs règles, les femmes ne peuvent plus poser le pied sur le dohyo sacré, sous peine de « mettre en colère » le dieu du sumo.
November 6, 2025 at 4:13 AM
Mais durant Meiji, alors que le Japon est en pleine transformation sociale et politique, les femmes perdent le droit d’être des sumos reconnues. Jugées impures du sang de leurs règles, les femmes ne peuvent plus poser le pied sur le dohyo sacré, sous peine de « mettre en colère » le dieu du sumo.