Ca fait plaisir à personne, je pense. Justement, c'est ça que souligne le CEMA : ca fait plaisir à personne, mais il va falloir l'appréhender.

"Régler" la question masculiniste dans une loi "influenceurs", alors qu'il s'agit de milieux radicaux pouvant susciter l'acte terroriste, c'est un peu du foutage de gueule. Imaginez que des députés avaient proposé de lutter contre la propagande djihadiste dans un texte régulant les achats en ligne?

4. l'apologie du crime, l'incitation à la violence, c'est déjà interdit par la loi. Y'a pas besoin de nouvx textes. Il y a besoin de moyens pour rendre les textes existants effectifs. Et si leur solut° à la propagande mascu c'est juste qques lignes dans le Code Pénal, ça ne va pas le faire messieurs

2. Idem. Rendez les lois existantes en matière de lutte contre les propos sexistes effectives avant *d'élargir* quoique ce soit. Et hello "haine antifemmes", on voit bien comment dans un climat transphobe ça risque d'être détourné.

3. define "masculinisme" dans "apologie du masculinisme" ?

Idem quelle différence entre un Glucksmann et un Mélenchon qui parlent tout les deux de "faire la paix" - l'un pour Gaza, l'autre pour L'Ukraine- mais oublient le mot "juste". Une paix *juste*. Un oubli commode pour céder aux agresseurs les territoires qu'ils ont illégalement conquis.

"ohlala c'est sale, et voici un 🧵 de trouzemille skeets pour justifier notre harcèlement"

Traduisons le : "je ne parle plus de MP, j'affiche juste les fils des autres qui la diffame".

Ouais, comme t'as outsourcé un peu près tout ton travail, y compris le taf de harcèlement.