Ashka
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Ashka
@jacasses.bsky.social
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J’aime bien les flims et le jeu vidéal
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Une petite course après un mois de flemme.
November 15, 2025 at 10:53 AM
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24-Hollow Knight : Silksong (Switch 2 ✅100%)
Key art de Hollow Knight Silksong. On voit Hornet, un corps noir très fin drapé d’une toge rouge, armée d’une auguille et à la tête blanche en forme de U avec deux grands yeux noirs, se tenant accroupie prête à attaquer avec des fils de soie tournoyant autour d’elle sur un fond aux couleurs enflammées.
November 14, 2025 at 8:52 PM
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#letterboxedfriday #FourLastWatch
Vendredi 13 chapitre 6 Yoroï Kaamelott Deuxième Volet, Partie 1 Predator Badlands
November 14, 2025 at 7:58 PM
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207-Vendredi 13, Chapitre VI : Jason le Mort-Vivant (Tom McLoughlin 1986 blu-ray)
⭐️⭐️⭐️
Embrassant complément un côté camp, ce Vendredi 13 vire vers la pire comédie horrifique. À la fois très drôle et ne négligeant pas le gore et l’aspect boogeyman de la franchise. Mené remboursé battant, entre les séquences de meurtres bien gores, les morceaux d’action et de courses poursuites, et un tempo comique ravageur, le film ne s’arrête jamais. Et niveau drôlerie, on sent que le réalisateur s’amuse comme un fou puisque ça joue sur plein de registres avec du graveleux, de l’absurde, des jeux de mots et du burlesque. Le film a été énormément réfléchi de ce côté puisque la mise en scène joue énormément de ses transitions pour créer des décalages, des associations d’idées desquelles surgissent de l’absurde et de l’humour noir. Sans mauvais jeux de mots, le découpage est hyper efficace. Pour l’instant, c’est mon épisode préféré de la saga et l’un des films m’ayant le plus fait rire cette année.
November 14, 2025 at 3:39 PM
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206-Yoroï (David Tomaszewski 2025 cinéma)
⭐️⭐️
Je vais saluer d’office les grandes qualités de Yoroï à commencer par sa grande générosité, il y a des monstres en plastoc vraiment réjouissants, montrés en full frontal, mis en scène avec un soin particulier en fonction des spécificités visuelles et thématiques de chaque yokai. On peut aussi apprécier la sincérité de Orelsan lorsqu’il convoque toute la culture qui l’a forgé depuis l’enfance jusqu’à encore récemment, et des références il y en a à foison, de Saint Seya à Totoro en passant par les œuvres de Shigeru Mizuki et Satoshi Kon, c’est un festival et ce n’est pas que pour du cosmétique puisque les références sont thématiquement cohérentes avec le parcours des personnages. Malheureusement, le film coince à cause de deux éléments principaux. En premier lieux, Orelsan. S’il est parfois marrant, son attitude de gars qu’on vient de tirer du lit dessert complètement son interprétation. Il est mou comme pas permis, faisant systématiquement tomber à plat les moments d’humour, d’émotion et de tension. Son parcours est classique mais plutôt prenant cependant avec ses symboliques vraiment évidentes, ses sur-explications inutiles et inutilement rabâchées, le film en devient lourdingue, tire en longueur et ennui alors qu’il commençait pas trop mal. Et pour parachever l’affaire, c’est un gros non pour tout ces plans en AI. L’effort est à saluer, mais l’exécution fait s’effondrer ce château malgré tout bâtit avec les meilleures intentions.
November 14, 2025 at 1:16 PM
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Ça y est, je suis enfin arrivé à bout de Hollow Knight : Silksong !
Écrans de fin de Hollow Knight Silksong avec le pourcentage de complétion (100%) et le temps de jeu (70h 16min 23s)
November 13, 2025 at 9:15 PM
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205-Kaamelott : Deuxième Volet, Partie 1 (Alexandre Astier 2025 cinéma)
⭐️⭐️
J’ai trouvé ça moins désagréable que le premier, notamment parce que le film a de la gueule. La photo est (la plupart du temps) vraiment chiadée, les décors sont superbes, il y a un travail incroyable sur les costumes. Le film est un régal pour les yeux, d’autant plus que les effets spéciaux numériques sont hyper bien faits. Les personnages et les dialogues sont toujours aussi savoureux. Mais là où Kaamelott : Deuxième Volet, Partie 1 réussi d’un côté, il se foire dans les grandes largeurs de l’autre. L’écriture n’a rien d’une écriture pour un film de cinéma, Alexandre Astier en est resté au stade de la série mais sans les contraintes du format. L’histoire n’est pas inintéressante mais c’est structuré n’importe comment. En plus, le film dure 2h20 en n’étant qu’une introduction où les personnages font du surplace, et quand certains avancent, ils font immédiatement demi tour. Ça n’avance tellement pas que ça bégaye des morceaux de la série originale. Astier n’arrive pas à gérer la quantité hallucinante de personnages, avec des arcs scénaristiques qui partent dans tout les sens en faisant fi de toute cohérence de temporalité. La mise en scène est inexistante et le montage est fait en dépit du bon sens. On savait Astier control freak sur son œuvre mais pas au point de ne pas avoir écouté les critiques faites à l’encontre du premier film. C’est vraiment une saga qui va droit dans le mur si son créateur n’apprend pas à déléguer.
November 13, 2025 at 11:21 AM
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À chaque fois !
Meme de Mr Bean avec écrit sur lui Sony, copiant sur son voisin sur lequel est écrit Nintendo.
November 11, 2025 at 11:26 PM
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204-Predator Badlands (Dan Trachtenberg 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️1/2❤️
Dan Trachtenberg revient au Predator après lui avoir mis deux coups de fouets avec Prey et Killer of Killers, cette fois ci il met le chasseur intergalactique au centre de son récit avec un yautja comme personnage principal. De faible constitution, ce yautja est un peu le vilain petit canard de son clan et il veut prouver sa valeur en allant chasser une des proies les plus dangereuses connue par leur espèce. Sur place, la tache va être plus ardue qu’il ne l’imaginait et s’associera avec une gynoïde endommagée de la compagnie Weyland-Yutani, en mission de recherche scientifique sur cette planète. Predator Badlands avant tout du film concept excitant mais au potentiel de foirage très élevé et, malgré la présence de Disney à la production, il faut avouer que le film est une franche réussite. Foutrement bien réalisé, avec des effets spécieux majoritairement réussis, doté de décors naturels bien mis en valeur, Badlands a tout du divertissement grand public ultra efficace. Né durant que 1h45, l’intrigue est resserrée, ne souffre d’aucun temps mort et est parfaitement rythmé. On s’attache aux personnages et à leurs évolutions. L’action est malheureusement parfois un peu trop brouillonne mais fourmille de bonnes idées avec l’utilisation d’éléments naturels, un retour au coté primal ainsi que de chorégraphies bien travaillées. En voyant Predator Badlands, on ressent l’enthousiasme d’un réalisateur passionné, qui s’amuse comme un enfant avec ses boites de jouets, transmettant tout son amour et la joie qu’il a de pouvoir manipuler une matière qui a pu le faire fantasmer petit. C’est clairement un grand spectacle, un divertissement pas fin pour un sous, mais absolument généreux et réjouissant !
November 11, 2025 at 7:03 AM
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De belles découvertes éclectiques !
Four Last Watch de Letterboxd avec La Disparition de Josef Mengele, Good Boy, La Légende de Baahubali - L’Épopée et Ça - Chapitre 2.
November 7, 2025 at 5:08 PM
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203-Vendredi 13, Chapitre V : Une Nouvelle Terreur (Danny Steinmann 1985 Paramount+)
⭐️
Une belle purge stupide, ridicule, montée avec les pieds. Le film n’est jamais inventif (excepté un seul meurtre), ne fait que bégayer les acquis de la franchise. Ennuyeux et terriblement bête.
November 7, 2025 at 1:46 PM
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202-Vendredi 13 : Chapitre Final (Joseph Zito 1984 Paramount+)
⭐️⭐️1/2
Peut-être mon préféré pour l’instant, mais la barre entant assez basse c’est pas génial non plus.
Au moins il est vraiment pas mal rythmé avec une bonne inventivité pour les meurtres. Le minimum syndical.
November 7, 2025 at 1:43 PM
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201-Vendredi 13 : Meurtres en trois Dimensions (Steve Miner 1983 VOD)
⭐️1/2
Je crois que les téléphones et les réseaux sociaux ont été inventés pour supporter ce genre de films.
D’un ennui abyssale, aucune inventivité dans les mises à mort, même pas un semblant d’écriture de personnages ou d’intrigue.
Jason y est ridicule malgré l’arrivée du fameux masque de Hockey.
Juste à sauver quelques plans plutôt bien chiadés avec pas mal de machinerie, mais l’utilisation de la 3D est trop grotesque et ne propose pas grand chose d’autre que de simple jaillissements assez basiques.
November 7, 2025 at 1:41 PM
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200-La Disparition de Josef Mengele (Kirill Serebrennikov 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️⭐️
La Disparition de Josef Mengele fait partie de ces films que l’ont peut difficilement dire qu’on « aimé » (comme La Liste de Schindler ou La Zone d’Interet) mais en tout cas, c’est un sacré gros morceau qui m’a bien roulé dessus. Narrant l’errance de Josef Mengele en Amérique du Sud après avoir fait mumuse avec des etres humains à Auschwitz, le film arbore une structure mélangeant les époques avec pour fil conducteur la confrontation en 1975 entre Mengele et son fils qu’il n’a pas vu depuis des décennies. Il nous dépeint, non pas un monstre (car les monstres peuvent etres positifs) mais un homme, ayant vécu et participé à une folie. Une folie des grandeurs ayant mis le monde occidental à genoux, ayant éradiqué des millions d’êtres humains, une folie qui l’habite encore. Mais toute cette haine, toute cette xénophobie qu’il ne peut plus exercer librement et qui l’oblige à vivre cacher va peu à peu le pousser à disparaître. À disparaître de la civilisation, au risque d’être retrouvé et jugé, et a disparaître aux regards de ses propres idéologies, à s’effacer et devenir ceux qu’il méprisait. Il y a un motif présent constamment dans Ma Disparition de Josef Mengele, c’est celle du miroir. Le miroir qui renvoi le reflet d’un Mengele qui évite de le regarder en face, comme le fait de regarder en face les atrocités qu’il a commis. Une négation de la réalité, des faits, des actes, de son identité et de ses origines. Se cachant derrière de belles théories et excuses, il arrive parfois, pendant quelques secondes, à être crédible et être pris en pitié, mais où à chaque fois il est renvoyé face à la réalité des faits, annihilant immédiatement tout début de formation d’empathie. Un geste de cinéma très fort, qui en scrutant le passé nous rappelle que les racines du mal sont toujours là, et que c’est par la négation, par la non représentation de ces horreurs, et par l’enrobage de beaux discours et belles excuses, que ce fascisme revient 90 ans après sa naissance.
November 6, 2025 at 6:50 PM
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J’ai l’impression d’être le seul à me souvenir de ce banger et ça me rend si triste. 😞
Sur un fond bleu nébuleux, on voit une planète, ressemblant à la Terre. En haut de l’image, le titre : Orbient avec le sous titre - Art Style- C’était un jeu sorti sur Wii Ware en 2009 (évolution d’un jeu sorti sur GBA 3 ans plus tôt).
November 6, 2025 at 8:56 AM
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199-Good Boy (Ben Leonberg 2025 Shadowz)
⭐️⭐️⭐️1/2❤️
November 3, 2025 at 9:45 PM
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198-La Légende de Baahubali - L’Épopée (S. S. Rajamouli 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️1/2❤️
J’ai passé un super moment. Mais après je ne trouve pas que ce soit la révolution du cinéma à grand spectacle qu’on me vend depuis des années, principalement parce que j’ai déjà vu des films similaires dans la démesure visuelle et narrative notamment avec deux premiers volets de Creation of the Gods (auxquels je n’ai cessé de penser pendant la séance de Baahubali). Je suis vraiment curieux de voir la version en deux films notamment parce que j’ai l’impression que le montage a parfois été fait à la va-vite. Il y a des plans qui se répètent à 1 ou 2 secondes d’écarts, une grosse demi-heure de film est salopée par des recadrages qui semblent faits de façon automatiques à partir d’une image IMAX, entraînant des sautes d’images à sein d’un même plan, et un passage où la violence a été flottée (doigts coupés). Mais sinon, c’était super cool. J’en suis ressorti rassasié et épuisé par ce spectacle Bryant et roboratif, ampoulé et enjoué.
November 3, 2025 at 4:06 PM
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L’incroyable Chants of Sennaar de @rundisc.bsky.social !
Keyart de Chants of Sennaar Trois personnages encapuchonnés à droite de l’image, au milieu d’un désert surplombé par un ciel jaune vif avec deux nuages. Sur la gauche, on devine la base d’une cité cyclopéenne.
November 2, 2025 at 7:52 PM
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Les fils en eu eux ont creusé les leurs hier !
October 31, 2025 at 10:16 AM
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197-Ça - Chapitre 2 (Andrés Muschietti 2019 HBO Max)
⭐️⭐️1/2
Cette seconde partie souffre énormément des stigmates de l’écriture de la première. En l’aidant de côté la narration sur deux temporalités, le chapitre 2 doit forcément se concentrer sur l’histoire du point de vue des adultes, tout en trouvant un subterfuge pour que leur parcours à la recherche de leur mémoire oubliée ait un intérêt pour des spectateurs ayant encore en mémoire les événements précédent film.
Tout l’acte central où les personnages doivent retrouver leur artefacts du passé est la véritable épine dans le pied de ce second film. Cette quête aux morceaux d’histoire du passé sort complètement le spectateur du film car ces pièces manquantes sont sensées se trouver durant des moments du premier chapitre déjà vu mais complètement sortis du chapeau. Ça alourdit toute la narration, plombe le liens avec le premier film, fait faire des apparitions vraiment grotesques (aux VFX ratés) à Pennywise et flingue de rythme.
C’est vraiment dommage parce qu’autour de cet acte central balourd, le film fonctionne vraiment bien, notamment la dernière heure avec l’affrontement final contre Ça.
Une fin malheureusement en demi-teinte.
October 30, 2025 at 2:06 PM
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196-Ça - Chapitre 1 (Andrés Muschietti 2017 HBO Max)
⭐️⭐️⭐️1/2
Un ride horrifique visuellement très soigné, porté par une troupe de jeunes comédiens vraiment convaincants et touchants.
La relecture du texte de King fonctionne plutôt bien pour cette première partie (ce qui ne sera pas le cas pour la seconde), et si l’on perd en perversion, on y gagne en bourrinage horrifique, efficace et spectaculaire à souhait. Ce n’est pas fin du tout mais le ride est vraiment plaisant. D’autant plus qu’il ne lésine pas sur la violence faites aux jeunes victimes.
October 30, 2025 at 2:04 PM
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Tiens, Bluesky a changé son logo !
Nouveau logo de Bluesky d’un papillon sur fond bleu avec plus de détails dans les ombrages.
October 29, 2025 at 8:06 AM
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Moi ça se bastonne entre France Gall et U2 !
October 28, 2025 at 7:33 AM
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195-La Petite Dernière (Hafsia Herzi 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️
Premier film de Hafsa Herzi réalisatrice que je vois et même si je n’ai pas été séduit à 100%, il y a beaucoup de belles choses dans La Petite Dernière. Le récit, adapté de l’autobiographie de Fatima Daas, suit le parcours de Fatima, lycéenne musulmane en plein parcours de la découverte de son lesbianisme. Un parcours compliqué par la pression sociale, familiale et religieuse, l’apprentissage de sa sexualité et la conciliation de celle-ci avec sa construction sociale. L’une des forces du film est qu’elle ne fait pas de ces difficultés le centre de son intrigue, non, le cœur du film se trouve à l’endroit où son personnage apprend à être, apprend à vivre en pleine conscience ce qu’elle est. Un apprentissage du langage, mettre des mots sur ce qu’elle vit, ce qu’elle ressent. Par ses rencontres nocturne et interlopes, elle se découvre, découvre le corps des autres, les mots qui la définissent. Par son étude de la philosophie, elle apprend à réfléchir à sa condition de femme, musulmane, lesbienne et à concilier ces aspects de sa vie plutôt que de les cloisonner. Si la résolution de ses conflits internes ne se fait pas à l’image, on assiste surtout au parcours d’une femme qui s’arme pour faire face a ces difficultés. Comme je le disais, je n’ai pas été à 100% pris par l’émotion ou convaincus par certains choix scénaristiques, il y a beaucoup de belles choses dans le film, l’angle choisi pour abordé le sujet, mais aussi par de très beaux moments de mise en scène, surtout dans les moments d’intimité, des regards échangés, des corps qui se touchent, des moments de complicités tendres ou amusés. Hafsa Herzi réussi par moment à encapsuler des petits moments de grâce et de vérité profondément touchants. Et comment passer à côté de la révélation Nadia Melliti ! Absolument parfaite de bout en bout, forte et fragile à la fois, d’un charisme ébouriffant, elle fait indéniablement partie de ces comédiens•nes qui sont aimés par la caméra et qui bouffent l’écran. Une révélation !
October 27, 2025 at 7:50 PM
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194-Le Tueur du Vendredi/Friday the 13th Part 2 (Steve Miner 1981 blu-ray)
⭐️⭐️
On m’avait vendu ce Vendredi 13 Part 2 comme vachement mieux que le premier, surtout moins chiant. Et malheureusement je l’ai trouvé vraiment plus ennuyeux, sauf pour le dernier acte avec la final girl, que j’ai trouvé bien mieux rythmé que dans l’original. Il y a même quelques bonnes idées de mise en scène et de cadrage, cependant ça bégaye un peu trop dans les situation. Et la fin qui essaye de refaire un twist similaire à celui du premier film qui tombe complètement à plat par manque de réelles conclusion, à l’histoire en général et à certains persos.
October 26, 2025 at 7:54 PM