Conclusion

Nécessité de plus d’études fiables et robustes

Nécessite de financements et partenariats locaux pour d’autres publics : addiction ? Handicap ? Hommes victimes de violences sexuelles ?

Attention à la fatigabilité des soignants et patients.

11/

Mais ce n’est pas sans risque.

Attaques de panique

Frustration

Anxiété

Dissociation.

Est-ce vraiment du soin ?

A suivre donc.

A creuser.

10/

Le surf c’est dur.

Réapprendre à se lever. Tout réapprendre.

Planche encombrante, peu maniable.

Combinaison qui protège mais parfois quasi impossible à enfiler.

Le trauma impose une régression.

Le surf en propose une autre, à dépasser.

Il peut y avoir du rire + plaisir
9/

« Être de nouveau tendre avec moi-même. »

Mais l’océan c’est ambivalent. Apaisant mais aussi hostile. Ça peut être dangereux.
La nature est belle mais peut aussi être mortelle.
Ou inconfortable.
Soleil qui brule.
Sel qui ronge.
Courants.
Grosses séries.

La chute qui vient. 8/

Programme de surf-thérapie immersive pour femmes victimes de violences :

Projet né à l’USAP
Parcours de soin global
Cadre théorique : Van der Kolk 2014, Porges 2011, Fosha 2000

Demande des usagers :
« Sortir de ma bulle »
« Sortir de chez moi »

7/

3 études seulement avaient des critères scientifiques suffisants.

Donc nécessité d’avoir des études avec une méthodologie + fiable et + robuste.

Un outil innovant de réhabilitation psychosociale, parmi d’autres, mais d’abord et avant tout une source de plaisir.

6/

sentiment de confiance.

2021, Walter et al., Surf Vs randonnée chez des militaires actifs avec PTSD : amélioration dans les deux groupes mais maintien des bénéfices plus durables dans le groupe surf. Étude avec plusieurs biais.

5000 études (Carneiro et al.) : seulement 5/

diminution des ruminations anxieuses.

Amélioration image de soi, expérience de dépassement de soi

Diminution du stigma social

Satisfaction des besoins fondamentaux notamment autour des interactions sociales dans et en dehors de l’eau (groupes de surfeurs)

Maîtrise et 4/

Quels mécanismes de la surf thérapie ?

Avant tout une activité physique mais pas que.

Immersion dans l’eau ? Piste de recherche du blue space (si eau < 14 degrés)

Lumière naturelle ? Reconnection à l’environnement, vitamine D, pleine nature, focalisation externe avec 3/

de l’anxiété, de la dépression et des symptômes de l’état de stress post-traumatique par la pratique du surf.

Sarkisian et al. : introduction to the special issue on surf therapy around the globe.

Initialement chez les vétérans de guerre mais aussi les enfants traumatisés 2/