Une quarantaine d’entre eux sont hospitalisés, notamment pour des "coups de matraque à la tête" attestant de la violence des affrontements. Deux autres ayant reçu des coups de feu ne survivent pas à leurs blessures. L’un décède la nuit même et l’autre 10 mois plus tard, à 23 ans .
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Les malades eux-mêmes créent parfois l’événement. Depuis 1840, l’hospice de Bicêtre possède une classe de chant pour les aliénés, grâce au Dr Leuret. À la fin du siècle, le Dr Bourneville reprend le flambeau, réclamant à l’administration des instruments de musique pour la fanfare qu’il met sur pied.