L’appel des amours Amphibies
Aussi s’est perdu
Noyé dans le staccato hurlant
De la course dépourvue du monde
Obscurité et dissonances
Et je l’attends
Ce chant éperdu
Dans l’intervalle des silences
Alanguis
#poésie
L’appel des amours Amphibies
Aussi s’est perdu
Noyé dans le staccato hurlant
De la course dépourvue du monde
Obscurité et dissonances
Et je l’attends
Ce chant éperdu
Dans l’intervalle des silences
Alanguis
#poésie
Là
Dans l’embrasement d’une étoile
aux parfums de racines
L’aube
Les fragments vermillon du jour
Pour dire
L’éloquence de nos matins cinabres
#poesie
Là
Dans l’embrasement d’une étoile
aux parfums de racines
L’aube
Les fragments vermillon du jour
Pour dire
L’éloquence de nos matins cinabres
#poesie
au fond du jardin
l’enfant s’invente des fables de fin d’été
gaieté de mûres
et badinage de figues
les lèvres et les joues grenadines
Et quand vient le soir
par la fenêtre entrebâillée
il se parle
et rit
et rit encore
toute une nuit
#poesie
au fond du jardin
l’enfant s’invente des fables de fin d’été
gaieté de mûres
et badinage de figues
les lèvres et les joues grenadines
Et quand vient le soir
par la fenêtre entrebâillée
il se parle
et rit
et rit encore
toute une nuit
#poesie
Toutes les rosées du printemps
Les lèvres tiédies de mes passions vagabondes
Le cœur ami du vent léger
Dans l’attente des jours qui portent ton nom
#poésie
Toutes les rosées du printemps
Les lèvres tiédies de mes passions vagabondes
Le cœur ami du vent léger
Dans l’attente des jours qui portent ton nom
#poésie
La gravité d’un matin d’avril
Abandonné à l’impatience versatile du vent
Qui invente la grève, vierge du silence
#poésie
La gravité d’un matin d’avril
Abandonné à l’impatience versatile du vent
Qui invente la grève, vierge du silence
#poésie
Pleuré par l’azur
Le pas gorgé de sel et de résine
Ne croyez pas devoir me répondre
Je ne suis plus là
Je vis dans les pensées
D’un criquet mélomane
Les oscillations d’un épi de blé
A la commissure des lèvres
Pleuré par l’azur
Le pas gorgé de sel et de résine
Ne croyez pas devoir me répondre
Je ne suis plus là
Je vis dans les pensées
D’un criquet mélomane
Les oscillations d’un épi de blé
A la commissure des lèvres
frontière de l’exil pour ces corps trop jeunes usés
interdits au rivage fraternel, qui échouent à l’ossuaire
des saluts amers, offense à la Méditerranée
Ainsi vont les bateaux de l’incertitude
dans le pâle matin, en leur triste solitude
frontière de l’exil pour ces corps trop jeunes usés
interdits au rivage fraternel, qui échouent à l’ossuaire
des saluts amers, offense à la Méditerranée
Ainsi vont les bateaux de l’incertitude
dans le pâle matin, en leur triste solitude