Gisèle HALIMI était contre cette introduction du consentement dans la loi. Cela introduit un élément subjectif / oblige à se demander quel était l’état d’esprit de la victime.
Autre problème : ajouter un critère en plus à la définition existante, c’est rendre encore difficile les condamnations
April 10, 2025 at 2:01 PM
Gisèle HALIMI était contre cette introduction du consentement dans la loi. Cela introduit un élément subjectif / oblige à se demander quel était l’état d’esprit de la victime.
Autre problème : ajouter un critère en plus à la définition existante, c’est rendre encore difficile les condamnations