Il ne bénéficie pas non plus d’un soutien unanime sur certains sujets

À peine paru le voilà. Kauffmann est sans doute l’auteur dont j’attends avec impatience chaque nouveau livre. Il a construit une œuvre plutôt discrètement, à l’écart de toute forfanterie, mais au final qu’est ce que c’est bien !

Mais je suis en ce moment entre Besançon et Dijon ! J’ai peut être l’honneur d’être conduit par notre Vil Faquin ! 😁

Le problème avec ce genre de livre remarquable (sur le fond et la forme d’ailleurs) c’est la tentation de surligner et annoter à tour de bras. Finalement j’ai posé mon crayon pour une lecture plus apaisée

Lecture de Les misérables. Le roman que l’on croit connaître. Qui l’a lu ? En tout cas pas moi. Ce roman est monstrueux dans sa forme, les digressions de Victor Hugo. On sent bien qu’il ouvre des parenthèses politiques, historiques, architecturales selon ses envies. La grande liberté d’un auteur.

C’est ma lecture de Noël, Les misérables. Jamais lu alors qu’on croit le connaître par cœur, moi le premier. Réflexion à laquelle je ne m’attendais pas : en 2023, l’humanisme d’Hugo est loin… très loin ! 🙁

On va pas se mentir que le samedi début d’après midi est un truc toujours incroyable : la sieste avec le fidèle Jarvis

On débute la lecture de ce retour du capitaine Nemo de Schuiten et Peeters. Nemo l’un des plus beaux et fascinants personnages de fiction

Dans la série « je suis faible » et qui me poursuit depuis plusieurs décennies… sorti pour faire quelques courses… et voilà !

Un petit tour dans ma bibliothèque 😉 le voici… non il avait été édité chez Flammarion

Terminé La danseuse ce dimanche... un très court roman. Toujours cette part de mystère et de non-dit des personnages. Ils sortent de l’ombre le temps d’un texte pour y retourner dès le livre refermé. Quelques pointes d’un érotisme à peine suggéré étonnent pour un Modiano.

Séance des États Généraux dans le tome 1 de Révolution (La liberté) de Grouazel et Locard. Chez Actes Sud. Somptueux ! 🤩🤩

Très agaçant quand on achète cette exceptionnelle BD et qu’une verrue autocollante, très difficile à enlever, abîme la couverture 😡😡

Revu #JFK ! Vu au ciné en 1991. La version Director’s cut est trop longue. Trop didactique. Toujours admiratif du montage. Mais cela reste un sacré exercice complotiste, une auberge espagnole d’explications bancales et de falsifications de la réalité. En 91 le complotisme posait 1 première pierre !

Ce soir début de lecture du Department of Truth, paru il y a quelques mois chez Urban Indies. On en dit plutôt du bien. À vérifier !

Le mien aussi s’appelle Jarvis 😊😊😊