3/3 Il faut donc limiter ces visites au strict nécessaire permettant de marquer le soutien appuyé de la nation

2/3 Contrairement aux apparences #médiatiques, ce ne sont pas les #politiques qui gèrent les #crises, ils relaient tout au plus les constats et demandes des professionnels en charge des opérations.

5/5 Dans tous les cas, les délais de mobilisation, de transit et de mise en œuvre des secours et du soutien, laisseront hélas les sinistrés livrés à eux même, dans une difficulté extrême durant de nombreux jours voir semaines…

4/5 La coopération civilo-militaire est un point clé en la matière mais sera sans doute elle aussi insuffisante.
Le soutien de l’Europe, voir de l’ONU doit être massif et rapide…

3/5 C’est vrai pour les besoins primaires comme : eau ; nourriture ; hébergement ; santé, comme pour les besoins logistiques, notamment de transport aérien en nombre suffisant (hélicoptères gros porteurs ou autres vecteurs).

2/5 En effet, si la sécurité civile Française dispose de savoirs faire dans chacune des phases d’intervention sur catastrophe, les moyens des ESOL (établissement de soutien opérationel et logistiques de la SC) ne sont pas dimensionnés pour des (centaines de) milliers de personnes.