Je ne peux que souscrire (je partage la vie d’une personne ayant témoigné dans votre livre et je le vis de l’intérieur). Si les têtes d’affiche tombent, j’espere qu’un système (la restauration) globalement problématique (du « café du coin » aux « grands chef », commencera vraiment sa mue.

« S’agissant de la répartition des pourboires volontaires collectés par les salariés à l’occasion du service, cette répartition relève de la responsabilité des salariés eux-mêmes.» c’est anecdotique ici mais symptomatique de la toxicité ce métier.
Votre livre (indispensable) mérite une suite.

Je fais ce métier depuis presque 25 ans, en tant que salarié puis maintenant employeur, je n’ai jamais été plus certain que le pourboire devrait disparaître. Et les conditions (salaires, horaires…) encore améliorées. Le pourboire est au détriment des salariés.

L’homme qui tua liberty valance
Butch Cassidy et le kid
L’affaire thomas crown (1ere version)

Amadeus
Les incorruptibles
Les virtuoses
Cuisine et dépendance
Un monde parfait
…
Quelques autres encore

J’allais le dire !

Peut on en déduire qu’au boy’s club les b**** con verge(nt) et la bêtise est con-génitale ?