C’est décidément habituel chez Kamel Daoud d’oublier des auteurs et personne ne rectifie lors de l’entretien. Personne ne lit en effet « Le fils du pauvre » de Mouloud Feraoun, publié en 1950 ou « La grande maison » de Mohamed Dib paru en 1952. C’est comme dire que personne ne lit Zola aujourd’hui

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Dans le roman « Allô, la place » de Nassera Tamer, ce passage sur la dématérialisation et les soucis qu’elle pose. C’est bien, mes lectures me rappellent le travail. Le robot raccrocheur au nez c’était quand même le summum.

En 2024, grâce au forcing d’une adorée collègue et amie dotée d’un fort accent du Sud, j’ai découvert tardivement Jacques Demy. Quel bonheur, c’est tellement ma D.A. Paillettes, drames, rose et couleurs flashy à tout va. C’était mon bilan de l’année

Un appel à 5 h du matin pardon mais c’est proscrit par la convention de Genève. Quelqu’un qui t’appelle à 5 h à l’aube ne veut pas ton bien.

Il pleut quoi !

C’est elle qu’il aurait fallu inviter à la fête pour la réouverture de Notre-Dame.

Même Le Monde ne se retient plus pour chroniquer Macron qui ne touche plus Terre. Ce début d’article est lunaire. Tout le monde a lâché la rampe. www.lemonde.fr/politique/ar...

La reine évidemment. On ne s’en lassera jamais

Ce roman est l’un des meilleurs que j’ai lu ces cinq dernières années. C’est brillant, prenant, plein de drames (on aime) et très attachant. Je ne connais rien à l’histoire de la Géorgie donc j’ai sûrement raté des trucs mais c’est une très belle expérience littéraire de 700 pages qui les valent !

Moi à la découverte de mon premier blocage sur BlueSky. Choquée et déçue

Si vous avez bon goût, allez suivre @vintagearab.bsky.social qui a écrit le meilleur livre sur l’immigration populaire à Paris notamment de ces vingt dernières années, « Barbès blues ». C’est excellent, avec une vibes Adelmalek Sayyad.

Quand tu décides de migrer sur BlueSky mais tu ne sais pas trop comment te comporter