Résultat : votre commentaire est faux. En fait et en droit.

Bonne journée.

La cour a estimé que les garanties de représentation de M. Sarkozy étaient évidentes, d'où sa libération. Mais les risques de pression sur les témoins et sur... la justice sont réels, de sorte que la cour a assorti la liberté d'un contrôle strict.

Et cela change tout. Dès lors, la détention doit être l'«unique moyen» pour atteindre un certain nombre d'objectifs, recensés dans l'article 144 du Code de procédure pénale (www.legifrance.gouv.fr/codes/articl...).

Alors, non. Les raisons d'un mandat de dépôt (à s'avoir l'«exceptionnelle gravité» des faits) sont différentes des critères de maintien en détention à partir du moment où le détenu a fait appel. Il redevient présumé innocent et ne purge plus une peine mais, étant considéré en détention provisoire.

Et ce besoin de le faire savoir...

Autre extrait… ;)

Je ne suis pas d’accord. Justement, c’est un film qui veut le beurre et l’argent du beurre. Je suis de ceux qui pensent que la fiction a une dette vis-à-vis du réel dont elle s’inspire aussi précisément. Team Scorsese, Lumet, Pakula ;)

Bonne journée !

Si elle n’est pas une victime, c’est qu’il n’y a pas d’abus de faiblesse. D’où le problème, par exemple, de cette scène.

Extrait de l’article.

S’il n’y a pas de faiblesse de Bettencourt/Huppert (pas de surdité, pas de démence, pas de perte de mémoire massive, pas de désorientation spatio-temporelle, etc…) alors il n’y a pas d’abus de faiblesse.

Bizarre de commenter un article sans l’avoir lu, non ? ;)

Parce que ce n’est pas « simplement » une comédie. C’est tout l’objet de l’article.

Bien à vous.