C’est très furtif

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En fait, cette phrase est souvent mal comprise parce que la plupart des gens omettent la suite de la chanson. Parce que l’idée est bien de dire que le travail ruine la santé : « Le travail, c’est la santé, rien faire, c’est la conserver »

Et Prix Unifrance d’interprétation féminine pour le court métrage de genre « Les Dents du bonheur » !

Le manque d’alchimie avec Valérie Lemercier était flagrant, il y avait un truc qui ne passait pas niveau énergie. Un peu le même ressenti avec Paul Mirabel. Et l’épisode de la finale est le moins bon en terme de sketchs. Un comble.

Je ne pense pas qu’ils aient beaucoup de temps pour l’écriture. Mais oui, il faudrait davantage insister sur l’aspect création, et imposer un thème que chacun·e peut traiter avec son style plutôt qu’imposer des genres comme l’absurde ou l’humour noir, où tout le monde n’est pas à l’aise

Oui. Le concept est à revoir encore une fois, en misant sur un jury permanent de quatre ou cinq humoristes confirmés aux profils variés. Et il faudrait que le casting sélectionne des candidat·e·s qui ont le même nombre d’années d’expérience sur le même type de scènes

Alors pourquoi l’avoir repêché ? Le roast était réussi (mais quand ça vire aux tacles répétitifs sur le père de Dudley ou quand les scuds envers Camille visent à la sexualiser, ça me navre quand même)

En finale, Antony Giuliani fait un hors sujet en n’évoquant pas le thème imposé « en haut de l’affiche ». Le gagnant est primé par rapport à ses passages précédents plutôt que sur son sketch de final. Ironie : le repêché a fait le meilleure sketch des quatre finalistes mais pas assez pour gagner