Etoile lit - Dramalit ✨Moon 🌙
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Etoile lit - Dramalit ✨Moon 🌙
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Prêtresse des scènes futures 😈 Goddess of the night ✨ @Bonsoirchaton plus rapide que l’ennuie 🖤 Stay Spooky 🎃
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Etoile lit - Dramalit ✨Moon 🌙 @etoilelit.bsky.social · Mar 30
Petit mémo 😈
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Un peu de douceur dans ce monde de brut 🖤
L’air glaciale dans le studio de photo est mordant. Je me surprends à frissonner, ce qui en soit n’est pas si étonnant. Ma tenue couvre à peine mon corps et visiblement le chauffage coûte trop cher pour qu’on daigne m’en faire profiter. Sterling remarque que ma peau se couvre de chair de poule. Il retire sa veste avant de la poser sur mes épaules. Dorénavant c’est lui qui se retrouve à la merci des températures glaciales, ça ne paraît pas le déranger pour autant. — Je ne voudrais pas que tu attrapes froid. — Dommage, je t’aurais eu à mon service le temps d'être guérie. Il rapproche son visage de mon oreille, je sais à coup sûr qu’il va me dire quelques chose qui va me faire rougir instantanément — Je suis sous tes ordres quand tu le désire. La combustion spontanée ça n'existe pas rassurez moi ? Je ne voudrais pas m’enflammer devant la masse de personne présente dans le studio. Bien entendu, Nathan Jenkins choisit ce moment pour apparaître. J’essaie de reprendre mon sérieux du mieux que je le peux, sentant toujours la chaleur irradiée mes joues. Il scrute mon partenaire des pieds à la tête avec une sévérité certaine dans son regard. — Où est votre ceinture Sterling ? Je n’avais pas remarqué qu’il n’avait pas emmené avec lui son titre. Il se doit de l’exhiber dans tous nos moments professionnels, c’est un des privilèges d’en avoir un. Sterling ne prend pas la peine de répondre à Jenkins, une animosité est palpable entre les deux hommes. Je suppose que leur précédente altercation dans le bureau de Jenkins n’y est pas étrangère. L’équipe en charge de nous photographié nous invite à les rejoindre devant le font blanc prévu pour la séance. Sterling saisit ma main pour m’y conduire, il doit sentir que le stresse commence à monter. Dans un sursaut de lucidité je retire sa veste de mes épaules pour lui rendre. Il s’empresse de l’enfiler avant d’écouter les consignes données. — Nyx pour cette première prise tu poseras un genoux au sol devant Sterling qui se tiendra debout …
November 20, 2025 at 12:29 PM
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Si jamais vous savez pas quoi faire vendredi soir ✨
etoilelit.bsky.social Etoile lit - Dramalit ✨Moon 🌙 @etoilelit.bsky.social · 7d
SURPRISE !!!

Pour fêter la fin du deuxième et dernier tome de The Wicked One on se retrouve vendredi à 21h sur la chaine twitch de @yunie_tv !!

Soirée blabla et lecture d’extrait du 1er tome dans la bonne humeur et la détente la plus totale.

A vendredi 🖤✨
November 18, 2025 at 7:09 AM
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SURPRISE !!!

Pour fêter la fin du deuxième et dernier tome de The Wicked One on se retrouve vendredi à 21h sur la chaine twitch de @yunie_tv !!

Soirée blabla et lecture d’extrait du 1er tome dans la bonne humeur et la détente la plus totale.

A vendredi 🖤✨
November 17, 2025 at 7:53 PM
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J’avais pas eu le temps de regarder la video de @maritzajaillet.bsky.social ! C’est partiiiii
November 14, 2025 at 11:06 AM
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L'amour, l'amour, l'amour 🖤
La main de Carter sur mon épaule me fait sursauter. — Tu veux en parler ? Mon frère est maladroit dans sa façon d’être quand je côtoie un homme. Je suppose que l’épisode Adrian en est la cause. Il ne veut que mon bien, mon bonheur et tout ce qui va avec. — Je sais que tu as fait ton boulot d’agent, de grand frère, en me mettant en garde contre Sterling. Il m’a avoué que cette image que la presse lui donne est fausse, Rust à confirmer ses dires. J’ai créé un gouffre entre lui et moi en pensant me mettre à l'abri alors que je n’avais aucune craintes à avoir. — Tu l’aimes ? Je veux plus avec lui que cette simple amitié, seulement la peur reste présente, emmenant avec elle le fantôme de mon histoire avec Adrian. — Je n’en sais rien. Je vois bien que l’attitude de mon frère change. Je n’ai pas clairement dit non, ou oui, juste que je me trouvais dans une incertitude, qui n’en ai finalement pas une. J’essaie simplement de garder ce potentiel début de quelque chose avec Sterling, pour nous. — Même si je te le demande, tu n'en feras qu'à ta tête, mais je me dois de le faire. Je t’en prie si ça se passe mal, parle moi, pas comme la dernière fois. Il a l’amabilité de ne pas prononcer le nom de mon ex. Sa demande me touche, je suis certaine que Sterling ne me fera jamais vivre les mêmes choses qu’Adrian. — Promis. Je l’étreint fortement avant de murmurer à son oreille. — Tu es un super grand frère n’en doute jamais. Retourner dans la suite après le monologue déchirant de Sterling, n’est pas si évident. J’hésite, piétinant dans le couloir. Jusqu'à me décider à entrer. Si quelqu’un est à même de comprendre mes doutes, mes faiblesses et mes angoisses c’est bien Sterling. Il n’est pas dans la pièce de vie ou je m’attendais à le voir en entrant, ni dans la salle de bain. Il ne reste que sa chambre dont la porte est close. Je frappe un coup avant de m'annoncer. — C’est ouvert. La pièce est à l’image de ma chambre, l’agencement est juste inversé. Nos lits sont collés au même mur.… — Est-ce que Jake Dash a des désirs ? Il est étonné qu’on lui pose la question, hormis Will, personne ne s’est jamais intéressé à ses envies, ses besoins, ce qui le fait vibrer. — Je suis enfin libre, c’est déjà un grand pas. J’ai toujours Ghost, et Will. J’ai retrouvé ma petite sœur. Il ne manque qu’un élément pour que mon bonheur soit complet. Retenant son souffle, elle scrute le visage de Jake, ne sachant comment réagir s’il venait à dire son prénom. C’est le moment parfait pour elle de se jeter à l’eau, de poursuivre la déclaration loupée de Paris. — Je te hais tellement, mais jamais autant que je ne peux t’aimer. Je suis partie chez mes parents après Paris, pour réfléchir, sur moi, sur nous. Je pensais que j’aimais Cincinnati pour la ville en elle-même, ce qui était vrai au début de ma vie là-bas. Mais ma perception a changé le jour où tu es entré dans mon monde. Le jour où je t’ai salué la première fois au déménagement de Will et Carolyn. Puis ce fameux soir où l’on s'est défiés. Je t’ai menti quand tu m’as avoué tes sentiments, j’aurais pu en faire de même ce soir-là. Tu avais déjà mon cœur Jake, mais j’avais trop peur. Bêtement, j'ai cru que tu serais comme Pierre, bêtement, j'ai mis une distance inutile entre nous, je nous ai fait perdre un temps précieux. Et après, il s’est passé le pire. Je n’ai pas cessé de penser à toi, chaque jour, sans exception, même quand j’ai voulu t’oublier dans les bras d’un autre. Personne n’est comparable à toi, personne ne me comprend comme tu es capable de le faire. On est tous les deux fissurés, brisés à notre manière, je veux être l’or qui recolle tes morceaux, je veux être celle qui guérira tes blessures. Parce que tu es le seul capable de soigner les miennes, tu es celui qui m’a redonné foi en l’amour. Je t’aime Jake Dash, entièrement, avec toutes tes parts d’ombres, et ton passé. Toi, encore toi, toujours toi. Estomaqué, il se fond sur elle pour l’embrasser en roulant dans le sable. Les vagues lèchent leur corps, la robe… Il n’a besoin de rien de plus que de tranquillité. Dans les recoins les plus éloignés du lycée, il parvient à trouver une salle vide où il pourra remettre ses idées au clair. Qu’est-ce qui a pris à Carolyn de rentrer dans le jeu de Jordan ? Pire encore, son air déterminé avait quelque chose de charmant. La porte s’ouvre, le tirant de ses réflexions. Le tourbillon de boucles auburn suffit à le faire sourire. — Personne ne t'a suivie ? s’inquiète-t-il alors qu’elle verrouille la porte. — Si c’est le cas, la personne ne pourra pas entrer. — Tu as agi de façon stupide. — J’ai remis Jordan à sa place, il en avait besoin. — Tu aurais très bien pu le faire sans m’y mêler ! Son ton est plus virulent qu’il ne l'aurait voulu, il est trop tard pour modifier ses paroles. — Car’... S’excuser serait ridicule, car à force de le faire, ça perd tout son sens. Il s’avance vers elle, conscient que personne ne peut briser cet instant. — J’ai pensé chaque mot que j’ai prononcé, Will. Son cœur bat la chamade, c’est improbable. Elle mérite tellement mieux que lui. — Tu devrais rejoindre les autres, Jordan va sûrement te chercher. — C’est avec toi que je veux être pour le moment. Cette proximité le brûle à petit feu. — Pardonne-moi d’être un vrai connard. — Arrête de t’excuser, je te l’ai déjà dit. — Mais cette fois… Elle place son index contre ses lèvres. — Chut Price, un mot de plus et je me fâche. Il donnerait cher pour voir ça. Les sourcils froncés, elle n’a rien de terrifiant. Le temps fige sa course lorsqu’elle se love contre lui. D’une caresse sur sa joue, il replace une mèche derrière son oreille. Sa main s’attarde quelques minutes de trop. S’il ne s'arrête pas maintenant, il va franchir la limite qu’il s’est fixée. — Sors de ta cachette Carolyn ! On va être en retard. Leur moment de quiétude prend fin avec l'intervention de Jordan qui martèle du poing sur la porte. — J’arrive. Elle se tourne vers Will. — Cache-toi, lui chuchote-t-elle. La salle est vaste, mais il y a peu de c…
November 13, 2025 at 3:58 PM
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La cuisine c’est important chez moi ☺️
November 6, 2025 at 8:33 AM
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Mes personnages sont de vrais gourmands 😉

TW 🔞
— Tu ne vas pas le laisser détruire ce qu’on s'efforce de construire depuis deux mois ? Tu veux que j’aille à la soirée avec lui ? J’aurais eu mille occasions avec Jordan si je l’avais voulu, mais une seule m’a suffi. Et tu sais quoi ? C’est toi que je veux dans ma vie depuis dix ans. Aucun autre n’est à la hauteur, tu es mon âme sœur, je l’ai toujours su. Bon dieu Will, comment je dois le dire ? Je t’aime ! Dix ans qu’il attend d’entendre de nouveau ces deux mots de la part de Carolyn, dix ans qu’il en rêve chaque nuit sans espérer que ça puisse se reproduire. — J’aime ces mots dans ta bouche, mon ange. Il la prend dans ses bras, la serrant le plus fort possible. — Je refuse qu’un autre soit à ton bras au bal, je serai ton cavalier, personne ne me prendra ma place cette fois. Un autre a déjà volé ton premier baiser. — Will, depuis combien de temps tu m’aimes ? demande-t-elle, incrédule. — Je ne sais pas vraiment, depuis toujours peut-être. Tout ce que je peux dire, c’est que lorsque tu t’es mise avec Adam Jones au collège, je l’ai détesté. Et quand tu m’as dit qu’il t’avait embrassée, j’étais fou de jalousie. J’aurais voulu être le premier à effleurer tes lèvres et à te faire sentir spéciale. Il joint la parole au geste en touchant les lèvres charnues de Carolyn de la pulpe de son pouce. — Je t’aime, Carolyn. Les joues de la jeune femme s’empourprent, tandis que Will ne peut réfréner l’envie de l’embrasser à nouveau. Il n’a pas été son premier baiser, ni son premier amour, mais il espère bien être le dernier. — Un jour, tu m’apprendras à cuisiner ? La soirée a repris son cours, avec des moments plus légers, tous deux attablés pour un dîner aux chandelles, Carolyn se régale. Décidément, la gastronomie française à son charme, encore plus quand c’est Will derrière les fourneaux. — Alors que je peux te préparer de bons petits plats ? Jamais ! — Et je fais comment quand tu es absent, monsieur l’homme d'affaires ? — Je peux faire du batch cooking. — Tu auras toujours une… Ils passent l’après-midi ensemble, dans les rues de Cincinnati. Le soleil blanc de l’hiver fait scintiller la couverture de neige fraichement tombée. La ville s’est paré de ses habits de fêtes. Thanksgiving puis Noël vont se succéder dans l’euphorie grisante de la fin d’année. Jake reste alerte, tout en profitant au maximum de ces instants de plénitude. Vivre dans l’angoisse depuis cinq ans en feignant d’aller pour le mieux aurait dû lui créer un ulcère, par chance ça ne s’est pas produit. Mais en cet instant, entourée des proches qu’il s’est choisi, qui croit en lui et lui donne de l’importance, avec une femme merveilleuse dans sa vie, il ne pourrait pas rêver mieux. Le problème de Jake, c’est qu’à force d’engendrer du positif, il s’attend au retour de bâtons. Et dans son cas, il pourrait faire mal. Se poser à la Castellini Esplanade avec une pâtisserie du marché de Noël fait partie de ces plaisirs simples que Jake découvre au fur et à mesure. Tout ce qui pour les autres peut s’apparenter à un acte banal devient pour lui une vraie révélation. — Qui prend du pain d’épice ? demande Penny face à la commande de Jake. — Visiblement moi, tu as pris quoi toi ? — Un roulé à la cannelle. — Choix plus que discutable dans ce cas, réplique Jake pour la taquiner. — Tu reviendras me parler quand tes papilles seront remises en fonctionnement. Ton cerveau a besoin d’une mise à jour ! Et comme à chaque fois, un rien la fait démarrer au quart de tour. — Fais-moi goûter, propose-t-il. — Comme si tu n’avais jamais mangé de Cinnamon roll ! Si seulement elle savait. — Pas celui-ci en tout cas, qui sait si ceux que j’ai déjà mangés ont le même goût. — Une seule bouchée ou je me fâche ! — Tu sais qu’une seule ne me suffit pas. Cette fois-ci, elle se retrouve sans répartie. L’allusion badine de Jake fait son effet, comme le confirme les joues pivoines de Penny. — Tu triches ! — C’est toi qui interprètes mes paroles comme tu l’entends. Le sourire qu’il esquisse ne laisse pourtant pas de pla… En parfait gentleman, je tire la chaise de Tala pour qu’elle puisse s’asseoir. Jenkins a tout prévu, la table qui nous est attribuée se trouve tout près des diverses vitres de la devanture. Les paparazzi déjà présents sur le trottoir n’ont plus qu'à mitrailler le moindre de nos faits et gestes. Difficile d’apprécier le cadre dans une telle situation. — On peut parler ? Je voudrais crever l’abcès une bonne fois pour toute. Je n’avais aucunement l’intention de la blesser, pourtant c’est bien le cas. Comme toujours, j'ai foncé pour mes intérêts sans réfléchir aux répercussions. — Pour les photos, ça fera plus réel, mais ne t’attend pas à un sujet très passionnant. Évidemment qu’elle n’allait pas se repentir en m’offrant un récit complet et détaillé de sa relation avec Adrian Brody. — Qu’est-ce que tu veux savoir de moi ? Le point qu’elle a soulevé précédemment est bien réel. J'ai voulu tout connaître sur elle, avant même de lui donner des informations à mon sujet, pensant à tort que ma célébrité ferait le job. Elle m’observe circonspecte, alors qu’un serveur s’approche pour prendre notre commande. Nous choisissons tous deux un apéritif et elle ne tique pas lorsque je demande un cocktail sans alcool. Le serveur nous informe ensuite que la compagnie a choisi pour nous le menu dégustation. Même notre repas nous est imposé. Il s’éclipse enfin, nous laissant tout le loisir de poursuivre notre conversation. — Tu vas me tendre un piège après, c'est ça ? réplique-t-elle méfiante concernant ma précédente question. — Non. Tu as dit que je me cachais alors, je te donne une occasion d’en apprendre plus. Je répondrai à chaque question que tu me poseras. — Ok, je peux faire pareil. Seulement, si tu prononces de nouveau le nom maudit, je me casse et je te laisserais le soin de t’expliquer avec la presse et le grand patron après, compris ? — C’est tout bon pour moi. J’étais sûr qu’elle en reparlerai pour m’inviter à garder le silence sur le sujet. J’ai l’intime conviction que la parol…
October 30, 2025 at 6:30 AM
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Les murs ne sont pas épais, certains bruits devrait pourtant rester de l’ordre du privée 😏

TW 🔞
— Ça fait combien de temps que tu as mangé dans un fast-food ? Sa question étonnerait le commun des mortels, mais pour notre discipline nous devons suivre une diète très stricte. — La dernière fois ça devait être à Cleveland au Shake Shack Downtown — J’y allais souvent quand j’étais au lycée. — On en a jamais parlé, tu es de quel coin de Cleveland ? — Ohio city, et toi ? — Downtown. Pas étonnant qu’on ne se soit jamais croisés. — Cleveland est une ville immense, on s’est peut-être déjà vu sans vraiment se voir. Notre choix se focalise sur un Wendy’s. L’enseigne est juste au pied de l'hôtel, après avoir commandé, je me rend au fast food. Certains clients me dévisagent, d’autres m'accostent avec gentillesse. Même la caissière semble me reconnaître quand elle me tend ma commande. On s’est régalés, Tala était aux anges de manger un truc aussi gras sans culpabiliser une seconde. Sa performance ce soir méritait bien une récompense autre que mon baiser fougueux. Je ne rivalise pas devant une montagne de nuggets bien chaud et des frites dorées. Mais voila, il est deux heures du matin et je suis incapable de fermer l’oeil. Mes insomnies s'intensifient à mesure que je passe du temps avec Tala, parce que mon esprit ne parvient pas à se contenter des instants que nous partageons, il en crée d’autres avec une montagne de « Et si ». Des bruits de vibration parviennent de sa chambre, au travers du mince mur qui la sépare de la mienne. Son lit est certainement adossé au mien sans qu’elle ne l’imagine. Je colle l’oreille à la cloison, je dois être certain de ce que j’avance sans quoi je vais me ridiculiser. Lorsque j’entends sa porte s’ouvrir je saisit l’occasion d’aller à sa rencontre afin de tenter le tout pour le tout. A pas de loup elle avance dans le couloir en vue de rejoindre la cuisine. Elle sursaute quand je laisse ma porte se fermer dans un claquement. — Tu ne dors pas ? bafouille-t-elle prise sur le fait. — Tu aurais préféré ? Ma voix est teintée p…
October 23, 2025 at 5:49 AM
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J’ai un peu abusé du menage ce matin… j’ai besoin de me détendre et me concentrer sur autre chose que mon roman je crois 🥲
October 19, 2025 at 11:51 AM
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Le syndrome de l’imposteur fait son retour
October 18, 2025 at 8:25 AM
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C’est mon 2eme jour de repos écriture (je le vis bien pour le moment c’est fou !).

Un peubde lecture ne me ferais pas de mal. On va essayer de s’y mettre 😉
October 16, 2025 at 7:36 AM
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TW : Sang
L'extrait de The Wicked One (le N°2 ) est un spoil ;)

Un miroir renvoi ton reflet mais aussi tes pires craintes. Que discerne ces portails dans mes romans ?
Le froid glacial de l’hiver le force à rentrer lui aussi. Il serait bien resté à déambuler dans les rues pour réfléchir, mais mourir gelé ne fait pas partie de ses plans. Quand il entre dans la maison, il ne la trouve pas dans l’entrée. Blossom miaule fortement devant la porte close de la salle de bains, grattant le bois par la même occasion. Un frisson parcourt Will : il se souvient de la dernière fois qu’elle a agi de la sorte, et même dix ans après, ça le terrifie. — Mon ange ? tente-t-il en frappant un coup contre la porte. Face au silence que lui renvoi Carolyn, la peur grandit, sournoise. Elle s’insinue dans la moindre parcelle de Will et prend le contrôle de ses réactions. Il tambourine contre la porte à en perdre haleine. — Carolyn, ouvre-moi ! Ses cris sont masqués par les coups de poing qu’il assène sans discontinuer. Il refuse que ça puisse être réel, qu’elle ait pu choisir de replonger sans qu’il n'ait rien vu et pourtant l’évidence est aussi douloureuse qu’une gifle. Il la voit se lever de table, s’éclipser quelques minutes puis revenir, le visage plus pâle qu’avant. Après ça, elle a décliné la majorité des plats et n’a fait que boire des verres d’eau à répétition. Un fracas le tire de sa réflexion, ne faisant qu’augmenter son rythme cardiaque. Merde, il a été stupide et aveugle de croire qu’elle allait bien. — Ouvre-moi ou je défonce cette porte ! Il ne supporte plus de la savoir derrière cet obstacle et le bruit qui vient de retentir est bien loin de le rassurer. Il s'apprête à prendre l’élan nécessaire quand le cliquetis du verrou se fait entendre, lui procurant une bouffée d’air nécessaire. Reste à savoir ce qui l’attend de l’autre côté. Lorsqu’il ouvre, il ne voit que du rouge, de l’hémoglobine et des bouts de verre. Au milieu de ce carnage, Carolyn à genoux, les mains en sang, ces derniers s’écorchant sur les milliers d’éclats qui jonchent le sol. Quand il la regarde, il se retient de craquer, de lui montrer qu’il souffre en la voy… Je n’ai pas mieux dormi malgré les conseils et le soutien de Rust. J’ai pleinement conscience que je merde, et quand il vera la une des magasines dans les jours à venir je risque de me prendre un sacré savon. Pour le moment je dois me concentrer sur mon objectif, parler à Tala. J’ai la boule aux ventres quand j’empoigne la poignée de sa loge, et si elle n’est pas seule ? J'entrouvre la porte délicatement, sans un bruit. Mes pas ne sont pas aussi discrets que je l’aurais espérer, ça ne suffit pas à détourner son attention du miroir devant lequel elle se maquille. La première chose qui me heurte c’est sa tenue. Pas de collants noirs, ni de petits ensembles en cuir, mais une robe rose perle qui lui ceinture la taille. — Je venais te souhaiter bon courage pour le combat, je doute que ça te sois utile. Ses épaules se tendent en entendant ma voix, puis elle se reprend aussi vite que possible, pensant à tort que je n’ai pas remarqué cet écart. Elle ne prend pas la peine de se tourner vers moi. Je cherche à capter son regard au travers du miroir mais rien n’y fait. Puis l’évidence me frappe, comme un bug dans la matrice, un glitch. — Depuis quand tu es blonde ? La longue rivière d’or coule le long de ses épaules, raide. Pas une trace de sa précédente coloration noire. Pas une trace de Nyx. — C’est récent. Même sa voix n’est plus qu'un simple filet. Tout à coup je comprend la capuche qu’elle porte abaisser sur son crâne depuis notre rupture. — Et qu’en dit Carter ? Je n’ai pas parlé à son frère depuis une semaine, je n’avais pas la tête à ça, je crois qu’il l’a compris de lui-même. Je vois ses mains se poser sur ses cuisses. Je jurerais voir ses ongles s’implanter dans sa chair. — Il n’est plus mon agent. J’ai envie de retourner son siège pour qu’on soit face à face, pour lire dans son regard ce que sa bouche garde sous scellé. Je ne reconnais pas la ténébreuse et dangereuse déesse de la nuit que j’aime à en crever. Je ne reconnais pas Nyx. — Tu déconnes… Les lumières s'éteignent, puis un spot éclaire uniquement le podium et là dans cette lumière aveuglante, une silhouette apparaît. La musique s'enclenche quand le modèle défile. Ses talons claquent sur le catwalk en rythme. Le regard à moitié couvert par un chapeau en feutre. Jake croit rêver quand il reconnaît Penny et ses yeux pleins de promesses. La soirée devient tout de suite plus passionnante. Ses longues jambes sont fuselées dans un pantalon de costume noir des plus classique. C’est le reste de sa tenue qui est époustouflant. Sur une chemise blanche, qu’elle aurait pu piquer à son petit ami, est superposé un magnifique corset en porcelaine violette marbré d’or. Il ignore comment cette prouesse est possible, mais le rendu est divin. De longues pampilles de perles pendent le long de ses hanches, rappelant les couleurs du corset. Elle a même ajouté des moulures à l’ancienne pour relier les pièces, c’est une vraie œuvre d’art. Les premiers boutons de la chemise sont ouverts et il donnerait tout pour devenir l’un des colliers qui se perdent dans le décolleté de la jeune femme. Il pourrait l’admirer des heures, totalement absorbé par son aura de femme fatale. Finalement, venir ici était une excellente idée. Quand elle laisse sa place sur le podium, le défilé perd de son intérêt pour Jake. Il continue tout de même à en suivre le déroulé, car, après tout c’est la raison première de sa venue. Ce qu’il voudrait éclaircir c’est la présence de Penny sur ce podium, et il n’obtiendrait ses réponses que de la principale intéressée. À la fin du défilé, il patiente, scrutant la foule à sa recherche. Quand il la débusque enfin, elle est en pleine discussion avec la fondatrice de la maison Abacchio, Jake attend qu’elle soit enfin libre pour passer à l’action. Discrètement, il s’approche d’elle, alors qu’elle lui tourne le dos. — Ta tenue était exceptionnelle, même si tu l’étais encore plus. Penny se retourne sans savoir de qui venaient ces compliments. Quand elle croise les…
October 16, 2025 at 6:48 AM
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Spoil ou pas demain matin pour l’éclat de texte ??? @maritzajaillet.bsky.social
October 15, 2025 at 4:59 PM
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Euuh j’ai écris 12000 mots en 5 jours. Et vous ca roule ?
October 11, 2025 at 7:35 AM
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Ya pas a s’ambiancer autant en ecrivant quand même ! Surtout que clairement je met toujours les meme chansons, les memes albums et j’aime toujours comme à la 1ere écoute
October 10, 2025 at 1:00 PM
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TW : 🔞

La dentelle, tissus délicat et ajourée, apportant une touche de sensualité sur les courbes féminine.
Evidemment présent dans mes œuvres sous toutes sorte de déclinaisons.
— Tu as de l’ambition, c’est bien. — Ne me mets pas au défi trésor. — La dernière fois que je l’ai fait tu as perdu, dois je te le rappeler ? — Je compte bien me rattraper, Sokrovishche. La peau de Penny se couvre de chair de poule, elle ne s’attendait visiblement pas à cet accent. — Je suis plein de surprises. Elle meurt d’envie qu’il répète ce mot encore et encore sans savoir ce qu’il signifie. — Ça veut dire trésor en russe, argumente Jake, ayant visiblement lu dans ses pensées. — Redis-le, supplie Penny. — Je pourrais t’en dire d'autres. Par exemple ty krassivaïa, ça veut dire que tu es magnifique. — Depuis quand tu parles russe ? — Depuis toujours. Elle se redresse dans l’incompréhension. — Ma mère est russe. Trêve de bavardage, je n’en peux plus de t’admirer sur ce lit sans te toucher. — Tu comptes vraiment te défiler après une telle information ? — Ce n’est qu’un détail, ça me sert pour dire des choses avec une voix profonde et suave. Peu convaincue, Penny continue de le fixer avec dédain. — Bon ok, souffle-t-il. Ma mère est russe, mon père américain. J’ai vécu à Seattle, plus particulièrement à Magnolia Boulevard. Ma petite sœur s’appelle Cassandra, elle a dix-huit ans. Je n’ai jamais eu d’animal de compagnie, mes parents ne sont pas fans. Ça te va ? — C’est parfait. Je suis toute à toi, si tu me dis encore de jolies choses dans ta langue maternelle. — Que le jeu commence Sokrovishche. Trente minutes avaient suffi pour qu’elle se jette sur lui à même le tapis du salon. Elle dévore les lèvres de Jake à cheval sur lui. Il agrippe les fesses de Penny à travers le tissu de sa robe. — Je te hais, souffle-t-elle à son oreille. — Montre-toi plus convaincante trésor, ça manque de réalisme. Elle lui retire son pull, dévoilant son torse nus, sur lequel elle distingue de légères cicatrices. C’est la première fois qu’elle y prête attention. De ses doigts, elle en suit le tracé. Elle sent les muscles de Jake se tendre à son contact. — Tu veux qu… — J’ai besoin d’un café pour affronter cette fournaise. Je surjoue en faisant mine de m’éventer, une main sur le front prête à m’évanouir en cas de refus. — Tu m’en diras tant. Celui de ce matin ne fait déjà plus effet ? — Si, j’avoue penaude. — Une boisson fraîche ne serait pas plus indiqué dans ton cas ? — Eh non ! Moment scientifique, boire chaud quand les températures sont hautes fait remonter la température corporelle et donc nous fait transpirer davantage ce qui permet d’évacuer la chaleur. — Si c’est la science qui le dit, je dois te croire dans ce cas. File prendre ton café je t'attends juste devant. Je lâche sa main pour entrer dans la petite boutique. Il n’y a pas beaucoup de clients ce matin, un couple dans nos âges grignote une pâtisserie en bavardant. Je commande un Caramel Macchiato ainsi qu’un muffin tout chocolat. J’en prend un pour Sterling au passage, si jamais il venait à avoir faim dans la matinée. La serveuse se trompe évidemment de nom sur le goblet, me nommant Tara, ce qui m’arrive plus souvent qu’on ne le pense et pas qu’au Starbuck. J’en ai tellement l’habitude que c’est Sterling qui me le fait remarquer quand je le rejoins. — Tu m’as menti pendant tout ce temps ? Je suis outré ! — C’est ma jumelle que tu as côtoyé depuis le début. Salut moi c’est Tara enchantée. Je lui tend le sachet contenant son muffin avant de croquer dans le mien, le cœur coulant est un délice. — Je me suis dit que tu aurais un petit creux dans la matinée. Son visage vire au rouge. Je rêve j’ai réussi à faire rougir Sterling Wright, sacrée prouesse. Je dépose un baiser sur sa joue en me mettant sur la pointe des pieds. — Tu feras attention, tu as déjà pris un coup de soleil. Il rougit encore plus ce qui me fait rire. — Je me vengerais, tu en as conscience ? — Ah oui et comment ? Je ne devrais pas le chercher à ce point, son sourire en coin n’augure rien de bon. — Attends ce soir et tu verras. Il n’y a pas de sous entendu je vois clairement de quel côté à basculé notre d… Il déverrouille la voiture rouge garée devant le bâtiment, une Shelby GT500 flambant neuve. Elle ne peut s'empêcher de repenser à sa vieille New Beetle. — Tu n’as plus ta moto ? — Si, mais dans cette ville ce n’est pas très prudent passé une certaine heure. Il enclenche le contact, faisant rugir le moteur, avant de s’élancer dans le trafic. Il profite des bouchons qui se forment pour échanger avec Carolyn. — Je sais que l’endroit est mal choisi, mais je voudrais reprendre notre conversation de ce matin. Il maintient sa main fermement posée sur le levier, même s’il n’a pas à changer de vitesse. — Qu’est-ce que ça changera ? Tu l’as deviné tout seul. — Je voudrais simplement comprendre et voir comment t’aider. — Tu ne peux rien pour moi Will, les faits sont là. — Qui t’a fait du mal ? À part lui, bien entendu. — Quoi ? La question la prend au dépourvu. Elle ne peut même pas compter sur la circulation qui est totalement à l'arrêt. — Je veux des noms, Car’. Qui t’a traitée de la pire des manières pour que tu perdes la moindre estime de toi-même ? — Laisse tomber, ça n'a aucune importance. — Détrompe-toi. Elle ne veut pas penser à ces hommes qui se sont joués d’elle à la manière de Wade. Encore moins aux connards qui l'avaient contactée sur les sites de rencontre pour des relations uniquement sexuelles. Elle avait découvert que certains hommes voulaient garder leur image intacte en sortant publiquement avec des filles dites « normales », mais qu’avoir une grosse dans leur lit est un vrai fantasme. — Je n’ai aucune envie d’en parler ! La répulsion qu’elle éprouve pour elle-même, ajoutée à la haine de ceux qui l’ont blessée, produit un cocktail explosif. C’est la première fois de leur vie qu’elle hausse le ton sur Will. — Ok, répond-il pour clore le débat. Le trafic reprend doucement après leur échange houleux. Tous deux restent enfermés dans un mutisme affreusement pesant. Will se gare enfin sur un parking déjà bondé. — Si tu veux des vêtements plus adaptés à la chale…
October 9, 2025 at 8:58 AM
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J’ai encore remarquer une erreur dans ma partie 1 ca m’enerve !!!
October 3, 2025 at 3:10 PM
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TW : 🔞

Foison de désir, de sommeil ou de clown, un jolie méli mélo chez mes persos xD
Ce n’était qu’une mise en bouche. Will n’en a pas fini, encore moins quand Carolyn se retrouve dos à lui, lui offrant une vue incroyable sur ces liens d’un rouge invitant à toutes les fantaisies. Cette robe va finir au sol dans peu de temps dorénavant, mais en un seul morceau. Il s’en voudrait de ruiner une œuvre d’art pareille. Silencieusement, il s’approche et défait le nœud dans le creux des reins de Carolyn. Il tire progressivement les liens pour les décroiser. Concentré à sa tâche, il ne dit pas un mot, mais ses mains s'aventurent sous le tissu désormais libre d’accès. Une fois son ouvrage terminé, il garde la ficelle carmin entre ses doigts tandis que Carolyn pivote pour lui faire face. D’un geste assuré, elle fait glisser l’une des bretelles qui maintiennent sa robe en place, puis la seconde. La robe choit à ses pieds, elle porte toujours ses talons. Elle donne un coup de pied pour envoyer sa tenue valser un peu plus loin avant de s’éloigner de lui, comme si de rien n’était. — Où comptes-tu aller comme ça ? lui demande Will en saisissant son bras au passage. — À toi de voir où tu veux que je me rende. Elle est au plus près de lui, uniquement vêtue de cette tenue d’Ève enchanteresse et dangereuse. Il la prend au mot et s’installe sur le canapé, encore habillé. Elle peut effeuiller chaque couche de vêtements qu’il porte, même arracher sa chemise si elle en a envie. Elle l’enjambe, se retrouvant sur ses genoux. C’est elle qui domine cette fois-ci. Les bretelles de Will ne tardent pas à glisser le long de ses épaules. Carolyn s’attaque ensuite aux derniers boutons de sa chemise, dévoilant au fur et à mesure le torse ciselé de son amant. Will pousse un râle quand elle fait glisser un ongle le long de ses abdos avant de s'arrêter au niveau de son pantalon. Le temps semble s’étirer à l’infini. Devant son absence de réaction, Will s'apprête à défaire lui-même sa ceinture pour mettre fin au supplice. Carolyn ne lui en laisse pas le temps, plaquant sa main sur la bouc… Jake à beau essayer, il ne parvient pas à comprendre ce qu’il peut bien faire à Seattle. Jamais il n’aurait pris consciemment un tel risque, ça n’a aucun sens. Une femme blonde avec des yeux bleus intense entre dans sa chambre. Elle pourrait être sa sœur, même s’il ignore à quoi elle ressemble depuis tout ce temps. — Bratishka… C’est la confirmation dont il avait besoin. Il ne réalise pas encore que sa précieuse petite sœur se trouve devant lui. Les sanglots serrent la gorge de Cassie. Elle saisit la main de son frère en s’asseyant près de lui. — Qui t’a fait ça ? ajoute-t-elle en replaçant une mèche de cheveux de son frère avec délicatesse. Jake aimerait être capable de donner une réponse, mais rien dans les milliers de flashbacks qui l’assaille n’a de rapport avec les derniers événements. — Pourquoi je suis à Seattle ? C’est la chose qui le tracasse depuis son réveil, rien dans ses souvenirs ne lui donne une réponse. — J’ai besoin de contacter Will et Penny, qu’ils sachent où je suis. L'inquiétude qui étreint Jake est en train de le tuer. Elle n’a pas le temps de répondre qu’une voix haut perchée brise le silence. La grande blonde ne tarde pas à prendre la place de Cassie non sans l’avoir bousculée au préalable. Cette dernière ne quitte pas la pièce pour autant. — Oh mon pauvre chéri, roucoule Brianna de sa voix de crécelle. — Dégage d’ici, tu n’es pas la bienvenue ! Nous n’avons plus rien à faire ensemble. — Les informations qu’on m’a transmises sont donc vraies, tu ne te souviens pas. Je vais te rafraîchir la mémoire mon coeur. Cassie ne l’entend pas de cet oreille, elle se rapproche de Brianna, plus menaçante qu’elle ne l’a jamais été. — Mon frère t’a ordonné de partir. Fais-le, ou tu subiras ma colère. — Essaie un peu pour voir. Les deux femmes se toisent, tandis que Jake reste encore perdu devant leur apparition. Cette vie, il l'a reniée, en passant des jours heureux avec Penny, Will et Carolyn alors pourquoi ne sont-ils pas présents ? Pourquoi ce sont ces f… Le doute. Ce sentiment que tout ce qui arrive est trop beau, que tout est trop calme et qu'à un moment ou un autre la roue finira par tourner. On connait tous cette sensation désagréable qui met à mal notre quotidien. On attend avec appréhension l’instant ou un petit grain de sable va enrayer cette mécanique si bien huilée. C’est exactement ce que je ressens depuis mon réveil, nous sommes à Paris, je devrais être heureuse et insouciante. Pourtant je soupçonne qu’un changement va rapidement ternir la vie si paisible que je suis parvenue à me construire. Le combat de Sterling hier soir est sans doute la première fissure dans les fondations de ma sérénité. Il devait affronter un français, pensant à tort à un catcheur connu dans l'hexagone. Quelques heures avant son entrée en scène Sterling à appris qu’il s’agissait d’un influenceur, à la recherche de buzz et de renommé. Et quoi de mieux qu’un combat contre Wicked pour parvenir à ce résultat ? Sterling fulminait de rage, demandant à Rust si Jenkins ne le prenait pas pour un con. S’il m’avait demandé mon avis, j'aurais dit oui sans hésiter. Des catcheurs clownesque, bon à faire un show en vue d'amuser la foule il y en a à foison dans la firme, Sterling n’en fais pas parti. Il est l’image de la NWF, son porte étendard, certainement pas le bouffon du roi qui fait des cabrioles pour divertir le public. L’aura de Wicked ne se prête pas à ce type d’exercice, il est trop imprévisible, dangereux, sulfureux pour se réduire à un rôle pareil. Pourtant Jenkins à abdiquer sûrement devant les sommes mirobolantes que cet influenceur à dû avancer, et pour la pub dans un pays qui n’est pas le nôtre. Les règles étaient simples, pas d'hôpital pour ce pauvre youtubeur qui est venu tenter le diable, autant dire que le combat perd tout son charme. Sterling s’est muré dans le silence, préférant ne pas répondre aux recommandations de son agent. Il n'avait qu’une envie : aller choper Jenkins et l’envoyer se faire foutre. Le match s’est vite…
October 2, 2025 at 7:46 AM
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Fêtes de fin d’années, fêtes un peu arroser ou victoire bien mérités mes persos on l’embarras du choix

Tw : alcool/drogue/sexe
September 25, 2025 at 5:53 AM
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Je vous ai dit que j'aimais la mer ? xD
Retrouver sa chambre d’ado fait l’effet d’un flashback. Les murs en papier peint prune sont couverts de poster, d’ébauche de tenue inspirée de celle vue dans des clips ou dans les Disney original movie qu’elle regardait en boucle à l’époque. Elle est presque certaine qu’elle se souvient encore de la chorée de We’re all in this together d’High school musical 1. Vu l’heure et la fatigue accumulée par le vol, elle ne se sent pas d’esquisser le moindre pas de danse, préférant tomber tête la première sur son oreiller. Elle ronchonne un peu en se souvenant que dormir en jean slim et corset est loin d’être une tenue confortable, ce qui l’oblige à se relever. Après s’être changé, elle s’enfonce sous la couette, plus vraiment habituée à dormir dans un lit une place qu’elle trouve beaucoup trop petit. Elle s’imagine déjà finir la nuit sur le tapis. Un dernier regard vers son portable, ou un message de Carolyn lui assurant qu’ils sont rentrés à bon port apparaît. Ainsi qu’un message de remerciement pour ce voyage fabuleux. Il est temps de dormir et Penny ne se fait pas prier. Le jetlag est vicieux, on tombe de fatigue et on se réveille au beau milieu de la nuit en pleine forme. C’est ce qu’il se passe quand Penny ouvre les yeux aux alentours de cinq heures ce matin-là. Pleine d’énergie, elle enfile une tenue de sport, qu’elle avait embarqué au cas où dans ses bagages, mais dont elle n’a pas eu l’utilité avant. Silencieusement, elle se rend dans la cuisine ou elle écrit sur un papier qu’elle est sortie courir dans l’optique où ses parents se réveilleraient avant son retour. Après avoir enfilé ses baskets, elle s’élance en direction du centre-ville. Peu décidé à courir finalement, elle se dit que marcher est tout aussi bien. Elle poursuit son trajet sur Main street, passant devant l’Église luthérienne puis la caserne de pompier avant de s’engager sur Pierce avenue, pour enfin s'arrêter à Riverside avenue. Le port scintille sous l’éclairage artificiel, le clapotis de l’eau cont… — Excusez-moi, mademoiselle, interpelle Will. Que peut-il bien avoir à lui dire de plus ? Carolyn s’enfonce dans sa chaise quand la grande blonde arrive à leur hauteur. — Il manque quelque chose ? s’enquiert la serveuse. — Oui, du respect envers ma compagne. Vous l’avez purement et simplement ignorée tout le long de votre service, et ce n’est pas admissible. Quand je viens avec mon associé, vous êtes pourtant des plus polies. La jeune femme vire au rouge, balbutiant des excuses, morte de honte. Tous les clients les observent dorénavant. Carolyn est, elle aussi, mortifiée. La serveuse disparaît pour de bon cette fois. — Pourquoi tu as fait ça ? lui demande-t-elle, la gorge serrée. — Tu es un être humain non ? Comme toutes les personnes ici présentes. Je ne permettrai pas qu’on te snobe de cette manière. Cette femme, je la connais, comme je l’ai dit, et à chaque fois que je viens ici avec Jake, c'est la même rengaine. Elle insiste pour nous servir en glissant furtivement son numéro de portable sur la table. Pour appuyer son propos, Will tire la serviette en papier qui se trouve sous son assiette. Dessus se trouve le numéro de la jeune serveuse ainsi qu’une trace de rouge à lèvres. — Elle a agi par pure jalousie en te dévalorisant. Ce genre de personnes sont de vrais requins. Mais pas de chance pour elle, en te choisissant comme proie, elle s’en est aussi prise à moi. Le ventre de Carolyn émet un gargouillis, elle est affamée et la salade n’y changera pas grand-chose. Will avance l’assiette de pizza vers elle. — Je l’ai commandée pour toi, je savais que tu n’oserais pas après les regards dans la rue. Mange, s’il te plaît. La première bouchée lui comprime l’estomac, elle a attendu trop longtemps pour écouter son corps. Au bout de la troisième part, elle se sent déjà mieux, piquant même quelques frites à Will au passage sans que celui-ci y trouve à redire. — Je suppose que si je t’invite à la plage, tu vas me dire que tu n’as pas de maillot de bain. Elle en a acheté un…
September 18, 2025 at 7:48 AM
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On fonce 🖤
September 17, 2025 at 11:14 AM
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J’ai fait au mieux je ne garanti pas le résultat ! Il est encore trop tôt 😅
Les regards en coin que lui lance Cassie à chaque gorgée de champagne qu’il avale, ne suffisent pas à le réfréner. Il laisse l’alcool l’envahir, l’emprisonner et le restreindre. Quand il sort du véhicule, ses yeux sont rouges, le flash des premières photos ne tarde pas. Son sourire charmeur aux lèvres, il donne le change. L’apparition de Brianna, sur les marches de son propre hôtel, provoque des acclamations dans la foule des badauds. Élégamment, elle descend les quelques marches qui la séparent de Jake, ce dernier saisit la main qu’elle lui tend comme un prince charmant. Elle porte une robe couleur or qui brille de mille feux sous la lumière incessante des objectifs. Les hurlements de la foule s'accentuent quand elle se tourne, dévoilant un dos nu vertigineux au creux duquel pend un collier de perles. Elle ne semble pas ressentir le froid ambiant. — Ton nœud est de travers, mon amour. Ses doigts ne tardent pas à caresser le cou de Jake le temps de remettre de l’ordre dans sa tenue. Les paparazzi sont à l'affût, tous attendent un baiser que le couple finit par leur donner. — Tu empestes l’alcool, ronchonne Brianna à l’oreille de Jake qui simule un rire avant de répondre. — C’était soit ça, soit je ne venais pas. À toi de voir ce que tu préfères. La soirée se poursuit, Jake déambule de groupe en groupe, attrapant au passage un verre de Whisky quand les flûtes de champagne se font plus rares. Brianna lui a glissé une boite de chewing-gum dans la main pour faire illusion même si ses yeux suffisent à le trahir ainsi que les perles de sueur sur son front. — Les rumeurs sont donc vraies, vous êtes de retour mon cher. Il ne parvient pas à se rappeler qui est ce vieux bedonnant qui lui parle comme s’ils avaient passé leurs vies ensemble. Aimablement, il sourit, répond par la positive et continue d’écouter des gens déblatérer sur leurs fortunes. Ces hommes le débectent, lui qui a travaillé dur pour obtenir ce qu’il désirait le plus aux côtés de Will, bouillonne de le… Il pianote sur son portable qu’il a caché sous la table tel un ado, les lieux s’y prêtent bien après tout. Il déglutit quand Carolyn croise ses jambes, dévoilant le haut de sa cuisse. Heathcliff : Continue à croiser les jambes de cette manière si tu veux me rendre fou. Car’ : Comme si j’avais besoin de ça. Tu es déjà dingue de moi. La femme fatale est de retour, et elle a du répondant. Heathcliff : Tu ne sais pas de quoi je suis capable. Car’ : Montre-moi dans ce cas. Il se lève et se dirige d’un pas décidé vers Carolyn qui ne semble pas le remarquer jusqu’au moment où il pose ses mains sur ses épaules dénudées. — J’ai besoin de te parler, en privé, chuchote-t-il à son oreille. — Messieurs, je vous emprunte cette charmante jeune femme pour quelques minutes. J’espère que vous n’y voyez pas d’inconvénient, poursuit-il poliment. Tous l’ont reconnu, surtout depuis que Tiffany a propagé la nouvelle, et il s’en moque complètement. Le regard que Jordan pose sur lui pourrait le tuer en un éclair, mais ça aussi, il s’en fout éperdument. Dès qu’ils quittent le gymnase, il l'entraîne dans l’immensité sombre des couloirs. Elle le suit aveuglément sans poser de question. Il essaie d’ouvrir diverses salles de classe, et chaque tentative se solde par un échec, jusqu'à cette dernière porte. Elle glousse quand il l’attire à l’intérieur avant de refermer derrière eux. Il pose son index sur la bouche de la jeune femme pour qu’elle garde le silence. L’obscurité et le froid les enveloppent, mais au contact de Carolyn, la chaleur qu’il dégage se décuple. — Deux semaines, c’est beaucoup trop long mon ange. J’ai pris goût à ta présence, dit-il en plaquant le corps de Carolyn contre le mur. À ton odeur aussi, continue-t-il en enfouissant son visage dans le cou de la jeune femme pour s’enivrer de son parfum. Si on rentrait pour que je te montre combien tout de toi m’a manqué ? Au contact des lèvres de Will contre son cou, Carolyn se couvre de frissons. Il ne résiste pas à …
September 11, 2025 at 5:43 AM
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Mon autel de travail ✨
September 10, 2025 at 10:36 AM
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J’ai écris 1250 mots pour une scene future certes, mais j’ai écris et ca fait trop du bien !! ( @maritzajaillet.bsky.social)
September 9, 2025 at 8:45 PM
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J’arrive a rien ca me désole.
September 8, 2025 at 2:02 PM