Battons nous toujours pour que jamais plus ne puissent arriver de tels drames, rejetons toujours les discours de haine, de stigmatisation et de division. Portons la parole des derniers témoins.

Ces millions de destins brisés, de vies arrachées nous rappellent ce que l’humanité peut produire de pire. La haine de l’autre, l’antisémitisme, le rejet de toute une partie de la population ont conduit à l’horreur et à l’inimaginable.

L’horreur des camps, à la fois si proche et si lointaine, est inscrite dans notre histoire commune. Nous devons pour toujours nous souvenir de ces millions de victimes, de ces milliers de survivants et de cette mémoire collective à jamais meurtrie.

Car ils étaient Juifs, car ils étaient Tziganes, homosexuels, en situation de handicap ou militants politiques. Ils furent arrêtés, raflés, emprisonnés, tués.

Auschwitz, où 1,3 millions de personnes furent déportées, où 1 million de personnes furent exterminées. C’était des femmes, des hommes, des enfants. Ils ont subi le pire.